Revue rétrospective, ou Bibliothèque historique [ed. by J.A. Taschereau].Jules Antoine Taschereau 1836 |
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Revue rétrospective, ou Bibliothèque historique [ed. by J.A. Taschereau]. Jules Antoine Taschereau Affichage du livre entier - 1833 |
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Expressions et termes fréquents
affaire arrêt arrivé audit avertir baillis Barras Beaupréau Bibliothèque royale bonne Bourbon Catherine de Médicis Cauterets charge Charles X château cheval chose ci-devant Collection commandé commissaires comte comte de Clermont conseil cousin d'icelle déclare désire digne garde donner Dubayet duc d'Alençon dudit écrit Égisthe enfans envoyé état évêque fils général gens de guerre habitans Henri III HENRY hommes icelle icelui incontinent inoculés j'ai jours l'abbé l'armée l'évêque l'inoculation ladite Cour ledit messire Robert lesdits lettre long-temps Lucas-Montigny mademoiselle main maison Majesté maladie mande Melpomène Ménil-Durand ment Messieurs mois Moncrif Monseigneur Monsieur de Rambouillet mort Nantes occasion officiers ordonné Parlement passé personne petite vérole petite vérole naturelle peuple pièce PINART Pologne présent Priant Dieu prince procès régimens Reine reste rien royaume s'est s'il sainte et digne sainte garde Sainte-Mesme Salères sans-culottes section des manuscrits seigneur sentimens sera service seul sieur sorte sujets tion troupes trouve Villefort Voltaire Zaïre
Fréquemment cités
Page 225 - CAR TEL EST NOTRE PLAISIR : et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 236 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux Conseillers les gens tenant notre Cour de Parlement à...
Page 136 - ... que Dieu vous pardonne, il faut premièrement que « vous pardonniez à vos ennemis. » Sur quoi il répondit : « Oui , je leur pardonne de bien bon cœur. » — « Mais, Sire, » lui fut-il dit, « pardonnerez-vous « à ceux qui vous ont pourchassé votre blessure.
Page 173 - Figurez vous que ce fut moi qui annonçai à la pauvre femme qu'il fallait partir. Elle ne voulait point entendre parler des cérémonies du départ; mais j'étais obligé d'honneur à la faire mourir dans les règles. Je lui amenai un prêtre moitié janséniste, moitié politique qui fit semblant de la confesser, qui vint ensuite lui donner le reste. Quand ce comédien de s...
Page 133 - ... fût en danger, et qu'ils espéroient avec l'aide de Dieu que dans dix jours au plus tard il monterait à cheval. Ce qui donna à Sa Majesté une grande assurance.
Page 224 - Rouergue, de Périgord et Quercy, et à tous nos autres justiciers et officiers ou à leurs lieutenans, présens et à venir, et à chacun d'eux, si comme à luy appartiendra, que, de nos présens dons, libéralité, grâce, cession et transport, ils fassent nostred. nepveu, Louis de Brézé, et sesd. hoirs et successeurs, et à deffaut d'héritiers de sa chair, sesd. frères et sœurs, ainsi et par la forme et manière que dit est,jouiretuser...
Page 116 - ... l'armée de l'Ouest, de celle de Brest et peut-être de toutes les autres de la République, qui a le plus de connaissances militaires. Plans de campagne, dispositions d'une armée, ordre de marche, il connaît parfaitement tout. Il a toute la franchise, le langage, les habitudes, le sans-culottisme d'un vrai républicain; le seul défaut que je lui connaisse, c'est d'être un peu trop dur les jours de combat.
Page 391 - Société, et commence son noviciat; en le faisant, travaille à ses Mémoires d'un homme de qualité, est découvert, a ordre de ne les point continuer. Il aime mieux renoncer aux Jésuites qu'à son ouvrage , les quitte, passe chez les Bénédictins où il achève ses Mémoires. Un prince, qui les lit, se croit insulté, écrit au supérieur pour faire punir l'auteur. Informé de ce qui se trame contre lui, il passe une seconde fois en Hollande...
Page 107 - Comme je vais faire triompher les uns et porter les grands coups sur les autres, je tâcherai de rester ici quelques jours. Je vais faire en sorte aujourd'hui de faire fusiller les grands coupables, ceux qu'on a trouvés nantis des instruments de la rébellion. Tout ira; mais, f , il faut des exemples terribles...
Page 453 - ... un corps unique à des formes qui préservent de ces inconvénients. « Je n'aurais même voulu de veto royal que pour les objets sur lesquels le roi exerce un pouvoir dont l'usage ne peut être soumis à des règles précises, c'est-à-dire, suivant moi, pour la défense et les relations extérieures seulement. La responsabilité peut bien empêcher que les ministres ne fassent la guerre en traîtres; mais elle n'empêchera jamais qu'ils ne fassent mollement une guerre qui leur déplaît.