Gouvernement de la défense nationale ...H. Plon, 1871 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
18 septembre accepter affaires étrangères ambassadeur armée armistice Assemblée Assemblée nationale aurait avons bataillon Bazaine Benedetti Bismarck Bourget c'était cabinet candidature citoyens collègues commandement comte conditions conseil convoquer Corps législatif déclaration défense nationale demande dépêche députés devant devoir dévouement donner élections Émile Ollivier Ernest Picard Étienne Arago Ferrières force Gambetta garde nationale général Trochu Gladstone gouver guerre heures hommes j'ai j'avais j'étais jour Jules Favre Jules Simon l'Allemagne l'Alsace l'Angleterre l'armée l'armistice l'Assemblée l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Europe l'honneur l'hôtel l'opinion laisser liberté lord Granville lord Lyons lutte maire ment Metz militaire ministre des affaires mission Monsieur municipaux n'avait n'avons n'était nation négociation nement octobre officiel paix patrie patriotisme pays pensée peuple politique population pouvait pouvoir président prince de Hohenzollern proposition Prusse prussien puissances raison refus réponse République résistance résolution reste Russie séance Sedan sentiment septembre 1870 serait seule situation Strasbourg télégramme territoire Thiers tion vote voulait
Fréquemment cités
Page 17 - Le Roi a reçu la réponse du prince de Hohenzollern : elle est du prince Antoine, et elle annonce à Sa Majesté que le prince Léopold, son fils, s'est désisté de sa candidature à la couronne d'Espagne. Le Roi m'autorise à faire savoir au gouvernement de l'Empereur qu'il approuve cette résolution. Le Roi a chargé un de ses aides de camp de me faire cette communication, et j'en reproduis exactement les termes. Sa Majesté ne m'ayant rien fait annoncer au sujet des assurances que nous désirons...
Page 311 - Bazaine. Fait vrai, sûr et certain, que le gouvernement de la Défense nationale retient par devers lui, comme un secret d'état et que nous dénonçons à l'indignation de la France comme une haute trahison. Le maréchal Bazaine a envoyé un colonel au camp du roi de Prusse pour traiter de la reddition de Metz et de la paix au nom de Sa Majesté l'Empereur Napoléon III.
Page 27 - Il s'est borné à me dire qu'il n'avait plus rien à me communiquer, et que les négociations qui pourraient encore être poursuivies seraient continuées par son gouvernement.
Page 432 - J'ai exposé fidèlement à mes collègues du Gouvernement de la Défense nationale la déclaration que Votre Excellence a bien voulu me faire. J'ai le regret de faire connaître à Votre Excellence que le Gouvernement n'a pu admettre vos propositions. Il accepterait un armistice ayant pour objet l'élection et la réunion d'une Assemblée nationale. Mais il ne peut souscrire aux conditions auxquelles Votre Excellence le subordonne. Quant à moi. j'ai la conscience d'avoir tout fait pour que l'effusion...
Page 18 - communication des dépêches, et notamment de celles » par lesquelles le gouvernement prussien a notifié sa » résolution aux cabinets étrangers.
Page 13 - Aussi notre surprise at-elle été profonde, lorsque hier nous avons appris que le roi de Prusse avait notifié par un aide de camp à notre ambassadeur qu'il ne le recevrait plus, et que, pour donner à ce refus un caractère non équivoque, son gouvernement l'avait communiqué officiellement aux cabinets d'Europe.
Page 360 - Daru, en vous priant de le faire repartir immédiatement, car nous ne pouvons plus attendre. Pendant que le Roi vous remet d'heure en heure, sous prétexte de se concerter avec le prince de Hohenzollern, on rappelle en Prusse les hommes en congé, et on gagne sur nous un temps précieux. A aucun prix nous ne pouvons donner à nos adversaires aujourd'hui ces mêmes avantages qui ont été en 1866 si funestes à l'Autriche. Et d'ailleurs, je vous le dis nettement, l'opinion publique s'enflamme et va...
Page 321 - Le gouvernement vient d'apprendre la douloureuse nouvelle de la reddition de Metz. Le maréchal Bazaine et son armée ont dû se rendre après d'héroïques efforts, que le manque de vivres et de munitions ne leur permettait plus de continuer. Ils sont prisonniers de guerre.
Page 210 - Soldats! en acceptant le pouvoir dans la crise formidable que nous traversons, nous n'avons pas fait œuvre de parti. Nous ne sommes pas au pouvoir, mais au combat. Nous ne sommes pas le gouvernement d'un parti, nous sommes le gouvernement de la défense nationale.
Page 410 - Il faut que l'envahisseur rencontre sur sa route non-seulement l'obstacle d'une ville immense résolue à périr plutôt que de se rendre, mais un peuple entier, debout, organisé, représenté, une assemblée enfin qui puisse porter en tous lieux, et en dépit de tous les désastres, l'âme vivante de la patrie.