Histoire philosophique du règne de Louis XV, Volume 1 |
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Histoire philosophique du règne de Louis XV, Volume 2 Hervé de Tocqueville Affichage du livre entier - 1847 |
Histoire philosophique du règne de Louis XV, Volume 1 Hervé ¬de Tocqueville Affichage du livre entier - 1850 |
Histoire philosophique du règne de Louis XV, Volume 1 Hervé de Tocqueville Affichage du livre entier - 1847 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 518 - Mon Henri Quatre et ma Zaïre, Et mon américaine Alzire, Ne m'ont valu jamais un seul regard du roi ; J'eus beaucoup d'ennemis avec très peu de gloire; Les honneurs et les biens pleuvent enfin sur moi. Pour une farce de la foire.
Page 67 - Vous êtes le maître de la vie et de la fortune de vos sujets ; mais vous ne pouvez en disposer que selon les lois. Vous ne connaissez que Dieu seul au-dessus de vous, il est vrai ; mais les lois doivent avoir plus d'autorité que vous-même. Vous ne commandez pas à des esclaves , vous commandez à une nation libre et belliqueuse , aussi jalouse de sa liberté que de sa fidélité, et dont la soumission est d'autant plus sûre, qu'elle est fondée sur l'amour qu'elle a pour ses maîtres.
Page 53 - La bulle fut enregistrée, mais avec la clause suivante qui lui ôtait une partie de sa force : « Conformément aux règles de l'Église et aux maximes du royaume sur les appels au futur concile. » Le parlement était surtout choqué que le pape eût condamné la quatre-vingt-onzième proposition : « La crainte d'une excommunication injuste ne doit jamais nous empêcher de faire notre devoir. » On regardait avec raison cette maxime comme la sauvegarde de la puissance temporelle contre les entreprises...
Page 321 - Je vous prie , madame , et , s'il le faut, je vous ordonne de faire tout ce que l'évêque de Fréjus vous dira de ma part, comme si c'était moi-même, Louis.
Page 67 - ... c'est elle qui les éleva sur le bouclier militaire, et les proclama souverains. Le royaume devint ensuite l'héritage de leurs successeurs; mais ils le durent originairement au consentement libre des sujets. Leur naissance seule les mit ensuite en possession du trône ; mais ce furent les suffrages publics qui attachèrent d'abord ce droit et cette prérogative à leur naissance.
Page 116 - ... d'un pernicieux usage dans une monarchie absolue , telle que la France . où la nécessité d'une guerre mal entreprise et mal soutenue , l'avidité d'un premier ministre; d'un favori, d'une maîtresse, le luxe, les folles dépenses, la prodigalité d'un roi ont bientôt épuisé une banque, et ruiné tous les porteurs de billets , c'est-à-dire culbuté le royaume.
Page 421 - Ce fut dans le cours de ces orages que le lieutenant de police Hérault dit un jour à Voltaire: «Quoi que vous écriviez, vous ne viendrez pas à «bout de détruire la religion chrétienne.
Page 470 - ... être nul, quand il peut être quelque chose-. Un autre que vous ne pourrait croire à quel point les choses sont . portées. Ce qui se passe dans son royaume paraît ne pas le regarder : il n'est affecté de rien ; dans le Conseil, il est d'une indifférence absolue; il souscrit à tout ce qui lui est présenté. En vérité, il ya de quoi se désespérer d'avoir affaire à un tel homme. On voit que, dans une chose quelconque, son goût apathique le porte du côté où il ya le moins d'embarras,...
Page 519 - Ainsi donc vous réunissez Tous les arts , tous les goûts , tous les talents de plaire : Pompadour, vous embellissez La cour, le Parnasse, et Cythère. Charme de tous les cœurs , trésor d'un seul mortel , Qu'un sort, si beau soit éternel ! Que vos jours précieux soient marqués par des fêtes ; Que la paix dans nos champs revienne avec Louis!
Page 421 - Tu veux donc, belle Uranie, Qu'érigé par ton ordre en Lucrèce nouveau, Devant toi, d'une main hardie, Aux superstitions j'arrache le bandeau; Que j'expose à tes yeux le dangereux tableau Des mensonges sacrés dont la terre est remplie, Et que ma philosophie T'apprenne à mépriser les horreurs du tombeau Et les terreurs de l'autre vie.