Histoire de la littérature française du moyen age aux temps modernesJ. Delalain, 1852 - 536 pages |
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Eugène Geruzez. deux classes principales la première tire ses sujets de l'histoire nationale , la seconde s'empare des ... tiré de la voix du rapsode et de l'habileté de ses doigts un agrément capable de compenser , au profit d'oreilles ...
Eugène Geruzez. deux classes principales la première tire ses sujets de l'histoire nationale , la seconde s'empare des ... tiré de la voix du rapsode et de l'habileté de ses doigts un agrément capable de compenser , au profit d'oreilles ...
Page 20
... tiré son nom d'alexandrin . L'assonance , au lieu de la rime , est un signe plus certain encore d'ancienneté : or , la Chevalerie Ogier de Danemarche , par Raimbert de Paris , est en vers assonants et de dix syllabes . Ce poëme , tel qu ...
... tiré son nom d'alexandrin . L'assonance , au lieu de la rime , est un signe plus certain encore d'ancienneté : or , la Chevalerie Ogier de Danemarche , par Raimbert de Paris , est en vers assonants et de dix syllabes . Ce poëme , tel qu ...
Page 49
... tiré la lugubre tragédie de Gabrielle de Vergy , par la confusion de deux héroïnes parfaitement distinctes . En effet , la dame de Faiel n'était pas châtelaine de Vergy ; et de plus , la châtelaine de Vergy ne s'appelait pas Gabrielle ...
... tiré la lugubre tragédie de Gabrielle de Vergy , par la confusion de deux héroïnes parfaitement distinctes . En effet , la dame de Faiel n'était pas châtelaine de Vergy ; et de plus , la châtelaine de Vergy ne s'appelait pas Gabrielle ...
Page 64
... tiré des entrailles de la terre pour circuler , et non pour s'y cacher de nouveau , après avoir pris la forme de monnaie ; travaillez sans relâche , et ne vous nourrissez pas aux dépens d'autrui ; croissez et multipliez si ces pré ...
... tiré des entrailles de la terre pour circuler , et non pour s'y cacher de nouveau , après avoir pris la forme de monnaie ; travaillez sans relâche , et ne vous nourrissez pas aux dépens d'autrui ; croissez et multipliez si ces pré ...
Page 77
... tiré du règne animal comme moyen de satire sociale . Un poëte contemporain de Jean de Meung et de Jacquemart Gelée , François de Rues , autre auxiliaire de Philippe le Bel , a fait de Fauvel ou la Jument un type des vanités du monde et ...
... tiré du règne animal comme moyen de satire sociale . Un poëte contemporain de Jean de Meung et de Jacquemart Gelée , François de Rues , autre auxiliaire de Philippe le Bel , a fait de Fauvel ou la Jument un type des vanités du monde et ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 510 - Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables:" Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne!
Page 310 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme gerait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui. L'univers n'en sait rien.
Page 332 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez; ce sont des portraits à plaisir où l'on ne cherche point de ressemblance, et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature; on veut que ces portraits ressemblent , et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnoître les gens de votre siècle.
Page 404 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 457 - Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique , pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher , si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête j et ils ont le nez si écrasé , qu'il est presque impossible de les plaindre.
Page 248 - Un malheur inconnu glisse parmi les hommes , Qui les rend ennemis du repos où nous sommes : La plupart de leurs vœux tendent au changement ; Et comme s'ils...
Page 308 - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis , ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant...
Page 170 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage...
Page 282 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 403 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.