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bailliage de Saint-Mihiel, cour souveraine pour leur faire déclarer où ils avaient caché leur argent.

de Nancy. Le roi en est seul seigneur. La paroisse a pour patron saint Maur, évêque de Verdun.

La chambre de Metz pour les réunions, avait rendu son arrêt le 29 mai 1680, par Vers l'an 980, la comtesse Mathilde qui lequel elle réunissait Hatton-Châtel au doétait maitresse de Hatton-Châtel, du chef maine du roi, à cause de l'évêché de Verdu comte Geofroi son mari, s'opposa dun; mais cet arrêt a été cassé comme fortement au roi Lothaire, qui voulait tous les autres de même nature, par le s'emparer de la Lorraine, et se défendit si traité depuis passé à Riswic. Le duc Charbien dans ce château et dans celui de Scar-les IV fut rétabli en 1661, en la jouissance ponne, qu'elle empêcha Lothaire de péné- de Hatton-Châtel, comme de ses autres trer dans le pays (1). domaines.

Adalberon II du nom, évêque de Verdun, et fils de la comtesse Mathilde, se retira avec sa mère et son frère Herman, en 983, dans le même château d Hatton-Châtel, où ils se défendirent contre les Français qui avaient pris Verdun (2).

Cette forteresse de Hatton-Châtel fut toujours depuis, considérée comme une place de conséquence, par sa situation sur une montagne qui domine sur toute la plaine qui est au-dessous, et qui est très-vaste.

Hatton-Châtel a titre de marquisat ; cette ville est près la source de l'Iron ; il y a eu une prévôté royale jusqu'en 1751. Elle est aujourd'hui du bailliage de SaintMihiel.

Le 16 novembre 1610, sous François de Lorraine, marquis de Hatton-Châtel, comte de Vaudémont, sur quelques différens meus entre ses officiers et ceux du duc Henri son frère, intervint une explication et réglement de ce qui appartiendrait ciaprès audit comte de Vaudémont, comme marquis de Hatton-Châtel, contre ce qui En 1352, par une charte de cette an-devait demeurer audit duc Henri, comme née, on voit que Hatton-Châtel était le lieu principal où les évêques de Verdun faisaient frapper leurs monnaies. Mais de puis l'aliénation de Hatton-Châtel, ils ont plus ordinairement fait fabriquer leurs monnaies à Dieuleward, près le Pont-àMousson.

Les évêques de Verdun eurent à HattonChâtel, le siége principal de leur justice, depuis l'affranchissement de la ville de Verdun jusqu'en 1546, qu'elle fut aliénée par l'échange entre Nicolas de Lorraine, évêque de Verdun, et Christine de Dane. marck.

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prince souverain; dans cette explication on donne au marquis de Hatton-Châtel, un pouvoir presqu'égal à celui d'un souverain indépendant.

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HAUSSONVILLE, ou Hossonville, ou Hessonville. Haussonville, village avec titre de baronie, situé entre Rosières et Bayon, à une lieue de la Meurthe et de la Moselle; c'était autrefois un lieu considérable, comme il paraît par les ruines du château, par le chapitre qui y subsiste encore et par un hôpital qui y a été fondé. Mais Haussonville a été ruiné pendant les guerres de Lorraine. La maison d'Haussonville qui tirait son nom de ce village, était une des plus anciennes et des plus illustres de Lorraine; elle portait d'or à la croix de gueules frettée d'argent; support, deux cygnes au naturel : cimier, un cygne d'argent, courbé, membré et becqué de gueules.

Le village d'Haussonville ou d'Ossonville, est annexe de Domptaille, près

Bayon, différent d'un autre Domptaille | taille devant Nancy, la veille des rois près Remberviller et de Magnières. Ces 1477, Balthasar et Jean d'Haussonville, deux lieux tirent leurs noms de Domnus étaient autour du duc René II, apparemment Stephanus saint Etienne est le patron de que dès lors ils étaient rentrés dans l'obéisleur paroisse. sance de René (1).

Celui dont nous parlons ici, et dont Le château d'Haussonville fut démoli Haussonville est une dépendance, a pour comme la plupart des châteaux de Lorpatron, l'invention de S. Etienne; et l'au-raine, par les ordres du roi Louis XIII, tre Domptail a pour patron, Ste. Céline, en 1633. mère de S. Remi.

Le chapitre d'Haussonville fut fondé en 1435, sous l'invocation de S. Claude, avec un petit hopital joignant, pour y recevoir les pauvres passans (1).

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HAUTE-SEILLE, abbaye de citeaux. Haute-Seille ou Haute-Silve, Alta sylva (2), abbaye de l'ordre de câteaux, fondée assez près de Badonviller et de Blamont, diocèse de Toul, par Agnès de LangesLe nom ancien d'Haussonville, est Hes-tein comtesse de Salm; elle est située sur sonis-villa; le premier seigneur du nom la Vezouze, dans un lieu nommé ancienned'Haussonville qui nous soit connu par ment Tanconville. Les comtes de Salm ont l'histoire, est Simon d'Haussonville, mari fait de temps en temps du bien à cette abd'Ide, fille d'Odouin de Froville. lde ayant baye, et quelques-uns d'entr'eux y ont la dévotion de se faire enterrer dans le choisi leur sépulture; mais aussi de temps monastère de Beaupré, lui donna son al- en temps ils lui ont causé des préjudices leu de Franconville, de l'aveu d'Odelric de considérables, ce qui a obligé les évêques Neuville son oncle, d'Adalbert de Frovil- de Metz et de Toul, d'employer contr'eux le, frère d'Ide, et de Drogon de Nancy, les armes spirituelles. On peut voir la son beau-père, père de Simon d'Hausson- chronique de Richérius, religieux de Senoville son mari. La donation est de l'annes, et notre histoire de Lorraine; et Ruyr, 117 Voyez les preuves de l'histoire de antiquités des Vôges, tome 5, pages 436 Lorraine. et 437. Ainsi la maison d'Haussonville est une La comtesse Agnès de Salm, fondatrice branche de celle de Nancy ou de Lenon-de Haute-Seille, est, dit-on, enterrée à Raon-les-Leau, et a établi un péage sur le chemin qui y conduit.

court,

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Pendant la guerre du duc Charles-leHardi contre le duc René II, quelques HAYMAIX OU LA HEYMEIX (14) gentilshommes Lorrains, et entr'autres Petit village à six lieues de Bar, à deux de Balthasar d'Haussonville, quittèrent le S.-Mihiel. Il y a dans ce village un fief parti de René et embrassèrent celui du duc aussi sous le nom de la Heymeix, érigé le de Bourgogne, de qui ils espéraient appa-17 mars 1720. La Haymeix est annexe de remment de plus grands avantages, ou Tillombois, diocèse de Verdun. Il y a une pour quelques mécontentemens qu'ils église sous l'invocation de S. Victor. L'ab avaient reçus de René. Celui-ci confisqua bé de St. Benoit en Voivre y est seigneur tous leurs biens et les réduisit à lui venir foncier. faire satisfaction, pour pouvoir rentrer dans leurs offices et dans leurs terres. Henri d'Haraucourt prit de même le parti du duc de Bourgogne; cependant je lis dans de fort bons mémoires, qu'au jour de la ba

(1) Histoire de Lorraine, tome 2, page 470 at 747.

HEILLECOURT, les cháteaux de Fléville et de la Malgrange. Heillecourt, viliage dans le Vermois, diocèse de Toul, doyenné de Port, souveraineté de Lor

(1) Histoire de Lorraine, tome 2. page 106,

et 1068.
(2) V. Hist. de Lorr., t. 2, p. 81, et cecxlix.
Preuves.

raine; le patron de la cure, est saint

Martin.

Fléville est annexe de Heillecourt, diocèse de Toul, doyenné de Port; Fléville est un village à deux lieues de St. Nicolas vers le couchant, avec un château appartenant à la maison de Beauvau ; ce château ne fut pas démol en 1636, lorsque la France fit renverser presque tous les autres qui étaient en Lorraine.

Le château de Fléville fut assiégé en 1443 (1), par Jean Baudoche de Metz, chevalier, et Geoffroi de Varise, à la tête de trois cents chevaux de troupes de Metz, et d'environ seize cents hommes de pied. Ils firent le dégât dans les villages des environs et coupèrent les blés, puis donnèrent l'assaut à la forteresse; mais ils furent obligés de se retirer.

Fléville appartenait autrefois à la maison de Lucelbourg dans la basse Alsace, vers Dabo. Mais Nicole qui en étaît héritière, le porta dans celle de Beauvau, par son mariage avec Claude de Beauvau, qui mourut en 1597. Nicole était fille de Nicolas de Lucelbourg, seigneur de Fléville et de Germini, et de Marguerite de Luci. Voyez la généalogie de la maison de Beauvau, dans Moreri.

La maison de Fléville porte vairé d'argent et d'azur.

Le patron de l'église de Fléville est saint Pancrace.

De la même paroisse de Heillecourt dépend Jarville, où il y un oratoire.

Il y a un autre Fléville, village, qui ne fait qu'une communauté avee Lixieres dont il est annexe; diocèse de Ver

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L'année suivante 1444, ceux de Flé-dun, office et recette de Briey; bailliage ville, ayant à leur tête Colart de Fléville de Saint-Mihiel, cour souveraine de firent une course sur les terres de Metz, Nancy. La paroisse a pour patron saint mirent le feu à deux ou trois villages, Laurent. puis s'en revinrent à Fléville, sans avoir Le château de la Malgrange subsistait fait aucune perte. Vers le même temps, dès le temps du duc René II, en 1476, sept ou huit soldats Messins, commandés lorsque le duc de Bourgogne, Charlespar un nommé Jean de Châlons, allèrent le-Hardi, lui faisait la guerre ; puis qu'il prendre et piller le château de Richar-Mé-est dit que les Suisses conduits par nil sur la Moselle, appartenant à Colart de les seigneurs Lorrains, tirèrent droit à la Fléville. Malgrange (1).

Item. Le jeudi avant le dimanche des En 1563 le 19 juin, Nicolas de Lorpalmes 1443, ceux de Fléville et de Com-raine, comte de Vaudémont et de Chalimercy vinrent avec Philippe de Savigny gni, baron de Mercœur, et Jeanne de leur capitaine, au nombre de 400, mettre le Savoie sa femme, vendent au duc Charles feu à Tignomont, Lorry et Vappi, et chas-III, et à Claude de France sa femme, la sèrent les soldats de Metz jusqu'au pont des Malgrange, les jardins, bois, pavillons, Morts. etc., pour cinquante mille francs. Il est La même année 1443, au mois de No-croyable que dès lors c'était une maison vembre, la paix fut faite entre les Messins de plaisance des ducs, qui a été beaucoup et les trois seigneurs de Fléville, et leur augmentée et embellie, d'abord par le capitaine Philippe de Savigny. grand duc Charles III, pour loger Catherine de Bourbon, épouse du prince Henri de Lorraine son fils, et sœur du roi Henri IV, laquelle y faisait faire les exercices do la religion protestante qu'elle professait ; et ensuite augmentée et ornée par le duc Léopold I, et enfin mise dans un nouvel état

La maison de Fléville faisait une grande figure dans le quinzième siècle. Baudouin de Fléville était abbé de Gorze, et Vari de Fléville, bailli d'Allemagne, était un des conseillers de la régence de Lorraine.

(1) Hist.de Lorr., t. 2, p. 828, et preuves, p. ccxlv, ccxlvi.

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de magnificence et de grandeur, par Sta-somption. La terre et le prieuré de Flabas nislas roi de Pologne, et duc de Lorraine sont sur le finage et la dépendance de et de Bar.

Le duc Léopold avait commencé de bâ– tir près l'ancienne Malgrange, un nouveau palais de même nom, mais il n'a jamais été achevé; le roi Stanislas l'a fait démolir, et a employé une grande partie des matériaux de ces démolitions, à la construction de l'église de Notre-Dame de Bon-Secours, qui en est proche, où il a choisi sa sépulture, et où la reine son éponse est inhumée.

Heippes.

HENNAMENIL.-Hennaménil, villa

ge sur le Sanon, à deux lieues au nord-est de Lunéville; bailliage de cette ville, cour souveraine de Lorraine, diocèse de Metz. On voit près de l'église les ruines d'un ancien château.

Il y eut en 1283 (1), contestation entre le duc Ferri et Poincignon, dit le Truant, citoyen de Metz, au sujet de l'hommage que Poincignon refusait de faire au duc HEILLIMER ET AKERBACK.—Heil- pour Hennaménil. Ce différent fut terminé limer est un ancien château situé dans la par l'arbitrange de Jean seigneur de la Lorraine allemande, distant de deux lieues Neuve-Varnesberg et par Poince, dit le de Puttelanges à son couchant, de trois Gronaix, chanoine de Metz, qui décidèlieues de Saint-Avold à son midi, de qua-rent que ledit Poincignon devait se présentre lieues de Morhange à son orient, de ter à l'hôtel du duc, lui rendre son homcinq de Dieuze à son septentrion. Ce châ-mage, et lui déclarer les fiefs pour lesquels teau était une espèce de forteresse à ce qui il est entré en son hommage. paraît par l'épaisseur de ses murs, et par une double enceinte de fossés qui existent encore en partie; on y remarque son antiquité sur une pierre qui porte 1332. Ce château a été ineendié au commencement du siècle dernier et rebâti sur les anciens fondemens; il a souffert différentes attaques, puisqu'on a trouvé dans ses murs plusieurs boulets de canon.

HENRIVILLE.-Henriville,

Henrici Villa, village du diocèse de Metz, bailliage de Sarguemines, cour souveraine de Nancy. Ce lieu est néanmoins régi par la coutume de l'évêché de Metz.

Le village de Henriville est tout nouveau et doit son origine au bon duc Henri. En 1608, un nommé Antoine la Motte et consorts, obtinrent de ce prince à titre d'ascensement, deux mille trois cents arpens

Akerback faisant aujourd'hui partie de la terre d'Heillimer, en est à une petite de-six hommées en fonds et en bois, à prenmi-lieue au midi. Elle était autrefois une dre dans la forêt de Hombourg, appelée commanderie de Malthe, qui a été échan- Bruckversen, sise entre Tolperschweiller, gée pour une part de la terre de Gelloncourt, que possédaient les chevaliers de Malthe

La paroisse d'Heillimer a pour patron S. Martin.

M. le baron d'Heillimer portait fascé d'argent et d'azur à la pointe de gueules, chargée de trois bezants d'or, 1 et 2 sur le

Seinbouze, Cappel et Farschweiller, pour les essarter, et les convertir en nature de prés et de terres arables, et y ériger un village, en payant d'entrée deux mille cent trois francs quatre gros; à charge aussi de payer par an la septième gerbe des grains ensemencés, pour terrages et dimages; trois gros par fauchée de pré, et à chacun jour de saint Martin, six gros par conduit, HEIPES ou HEIPPES. Heipes, deux bichets d'avoine, une poule et un chaHeppia, village du diocèse de Verdun, pon; que les nouveaux habitans seront atoffice, recette et bailliage de Bar, prési-tenus aux aides ordinaires et extraordinaidial de Châlons, parlement de Paris; res, de même que les autres sujets de la le roi en est seul seigneur; la paroisse a (1) Archiv. de Lorr. Layette, fiefs des bailliapour patron la Sainte-Vierge en son As-ges de Nancy et de Vosges.

tout.

châtellenie de Hombourg; qu'arrivant la | Friménil hameau, Herbéviller et Launöy mort d'un chef de famille, après que les villages, Magnéville village, Magnéville héritiers auront pris la meilleure pièce du hameau, en partie de Blâmont.

La maison d'Herbéviller portait d'azur à

meuble, l'autre appartiendra au duc. Le duc s'engage à leur ériger une paroisse, et la croix d'argent, cantonnée de vingt fleurs établir un curé comme au village de la de lys d'or, chaque canton chargé de cinq Chambre, pour l'entretien duquel il assi-fleurs de lys mises en sautoir. gne vingt paires blé et avoine, à prendre sur les dîmes et terrages; de leur créer un maire et une justice à part; en outre, pour les aider à essarter et à construire au plutôt ce village, il les exempte pendant deux ans de toutes redevances, aides ordinaires et extraordinaires.

On connaît encore Herbeuville ou Herbéville, village du diocèse de Verdun, of fice, prévôté et marquisat de Hatton-Châtel, recette et bailliage de St.-Mihiel, cour souveraine de Nancy. Le roi en est seul seigneur. L'église a pour patron S. Viton ou S. Vanne.

En 1620, le duc Henri donna le village HERBITSHEM. village ou bourgde Henriville au sieur Galchier, gentil- du comté de Sarverden autrement nommé homme de sa maison, capitaine d'une Heribodesheim, situé sur la Sâre, au nord compagnie de carabiniers, entretenus en de Saralbe, à l'extrémité septentrionale du la garnison de Marsal, excepté néanmoins comté de Sarverden; a été autrefois consiles droits de haute, moyenne et basse jus-dérable, puisqu'on y trouve une inscriptice, amendes et confiscations; et au cas tion Romaine consacrée au dieu Mercure, que ledit Galchier viendrait à mourir sans la voici : enfans, ladite donation retournera au domaine du duc, qui en pourra faire le rachat, moyennant une somme de 13,000 francs, monnaie de Lorraine.

IN. H. D.D.
MERCVRIO
SEX. IVLIVS.

C'est Sextus Julius dont le nom se trou

HERBAUPAIRE. Herbaupaire, vil- ve dans plusieurs inscriptions antiques, lage du ban de Lusse, et des communau- qui a consacré cette inscription à Mercure, tés de Lusse-Bilistin, et Lusse-Dolot, sur divinité particulièrement adorée par les la Faves, à deux lieues et demie de Saint-Goulois.

Diey. Il y a apparence que ce village n'est Il y avait au même lieu une ancienne compris dans la communauté de Lusse-abbaye de bénédictines, fondée apparemBilistin, que parce qu'il dépendait du château de Bilistin ou de Bildestein, situé vers S. Hyppolite, et appartenant depuis plusieurs siècles à la maison de Lorraine. On peut voir ce que nous en disons sur S. Hyppolite,

ment par les évêques de Metz; on ignore le temps et le nom du fondateur, mais il en est fait mention sous le nom d'Heribodeshem, dans le partage fait en 870, entre les rois Charles et Louis. Elle fut détruite en 1525, dans la guerre des paysans révoltés, qui HERBEVILLER LAUNOY.. Her-furent défaits par le duc Antoine et ses frèbéviller-Launoy, Herberti-Villare, vil-res à Loupestein, à Saverne, et à Cherviller lage du diocèse de Toul, bailliage de Vic, en Alsace.

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parlement de Metz, situé sur le chemin Volzir (1) qui accompagnait le duc Ande Lunéville à Blàmont, au-delà d'Ogé-toine dans cette expédition, dit que les viller. Patron, S. Germain d'Auxerre. paysans révoltés s'étaient emparqués dans Herbéviller-Launoy a titre de châtelle-le clos d'Herboshem, où il aurait été aisé nie, et les lieux qui la composent, sont par tie dépendans de Lorraine et partie de Blâ

mont.

Buriville hameau, Freménil village,

de les détruire, étant encore en assez petit nombre, mais que la providence permit

(1) Volzir, hist. exped. Antonii Ducis, I. i, c. 17.

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