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places sur lesdits seigneurs ligués, ils franche; le val de Gueblange, composé s'emploieraient tous ensemble à forces com- des villages de Gueblange, de cinquante munes pour les reconquérir. feux, Audeville, Steinbach, Schweix et Henriville.

ALLAMONT. Allamont, village du diocèse de Verdun, office et comté d'Apremont, recette et bailliage d'Etain, cour souveraine de Lorraine. La paroisse à pour patron saint Hilaire. MM. Les comtes

On ignore quel fut le succès de cette guerre; mais il y a beaucoup d'apparence qu'Alberstroff revint à l'évêque de Metz qui la possède aujourd'hui; c'est une de ses chatellenies; on y voit un château avec des fossés; le bourg a été fermé de murailles; il en reste encore quelques tours et quel-d'Eltz-Gourcy et Churey, en sont seigneurs ques pans de murailles avec les portes. et nomment à la cure.

La cure de ce lieu était à la nomination de l'abbesse de Hesse, ancienne abbaye possédée aujourd'hui par l'abbé et les religieux de Haute-Seille. L'évêque de Metz est seul collateur de la cure, qui est sous l'invocation de St, Adelphe, évêque de Metz.

La maison d'Allamont, maison de nom et d'armes, établie d'ailleurs en Lorraine, où elle a possédé des emplois considérables, portait de gueule au croissant d'argent, au chef de même, chargé d'un Lambel d'Azur.

Allamont (1). Jean d'Allamont seigneur Il y a une chapelle dépendante d'Al- dudit lieu, Malandry, Quincy, etc., gouherstroff, à un quart de lieue, sous l'invo-verneur pour sa majesté catholique à cation de Ste. Anne, fondée par la famille Montmédy, rendit ses devoirs au duc de des Brullands et des Torlotins; c'est un Lorraine, le 8 août 1609, pour le sixième pélérinage pour tout ce pays là. Il y a et un huitième de sixième en toute juridicdeux gardes-chapelle, qui ont un enclos tion dans la seigneurie d'Allamont, qu'il appartenant à la chapelle, qui est très-avait acquis de Louis, Jean et Catherine grand et très-beau. de Lopès-Gallo, enfant de défunt Jean Lopès-Gallo et de Dianne d'Apremont son épouse.

Alberstroff, par corruption d'Albesdorff; car les noms de lieux terminés en troff, viennent du mot allemand dorff, qui signifie village.

Le 2 mai 1625, Antoine d'Allamont chanoine de l'église primatiale de Nancy, Albestroff est le chef-lieu d'une des tant en son nom que comme procureur du châtellenies du temporel de l'évêché de précédent, et de Bernardin d'Allamont Metz, et qui ressortissent au bailliage seigneur dudit lieu et de Dompierre en épiscopal de Vic. Les villages qui dépen-Voivre, grand-prieur d'Ardennes et lieudent, de cette châtellenie, sont : Alberstroff, tenant de la compagnie des pays de bourg de soixante-dix feux; la Valrade, Luxembourg, et de Théodore d'Allamont, cense; Quitteville, moulin, la tuilerie; Givricourt, village de quarante feux, établi par le cardinal de Givry, évêque de Metz; Heylimer, village de soixante-dix feux, dont dix sont de la châtellenie d'Alberstroff; le surplus est Lorraine, suivant la con- En 1665, Louis Bourgeois, seigneur de vention faite entre les commissaires du duc Villers et Brainville, possédait le quart de de Lorraine et de l'évêque de Metz, en la seigneurie d'Allamont, contre le comte de 1615. Hazembourg, Kiwiller, Kapel-Merode pour les trois autres quarts, comme kingue, village de quarante feux, de la il paraît par leur dénombrement donné le chátellenie pour un huitième; le surplus 12 mars de cette même année.

est de la seigneurie de Hinguezange; la Hampatte, hameau, avec une maison

seigneur 'de Brandeville, capitaine d'une compagnie de hauts-Allemands pour le service de sa majesté catholique, ses frères, reprit du duc Charles IV et de la duchesse Nicole, la même terre d'Allamont.

(1) Archives de Lorr., Layette, Apremont.

ALTROFF.-Altroff, village du dio

ALTHEIM.-Nous connaissons deux à l'abbaye d'Horubach pour toutes les villages d'Altheim, fort voisins l'un de causes de justice foncière, sauf l'appellal'autre, au diocèse de Metz, du patronage tion pardevant les juges du comté de Bitche, de l'abbé d'Hornbach (1). Ces deux villages etc. Ce traité fut passé à Deux-Ponts, le sont à quatre lieues des Deux-Ponts, Ils premier février 1617. Encore aujourd'hui répondent au bailliage de Bitche; les le village d'Altheim avec le hameau de seigneurs d'Altheim ont reconnu qu'ils Waldtzheim est mi-parti avec le duché de relevaient de l'évêque de Metz, par lettres Deux-Ponts. du lendemain de la St. Barthelemy, 1320, par lesquelles, Burkard, seigneur de Ge-cèse de Metz, dans la Lorraine-Allemande, rolsekh, prie Henri, évêque de Metz, de à une lieue d'Insming, paroisse de Leving, confirmer et agréer l'assignal de 500. et sur un même ruisseau qui se jette dans mares, que Hugues son fils a constitué au la Zelle, baillage de Dieuze, cour souveprofit de sa femme, pour douaire sur les raine de Lorraine. villes de Viller, Altheim, Orviller, etc. que ledit Burkard déclare reprendre en fief dudit évêque.

Ce village est différent d'un autre Altroff, située sur une hauteur à droite de la route de Thionville à Sarre-Louis. On Le village est situé à quatre lieues de nomme ce village Altroff-sur-le-Haut, pour Bitche, une et demie de Deux-Ponts, le distinguer du précédent. Ce dernier une de la rivière de Blise (2). Le Neuf-village est du ressort de Thionville, parAltheim ou Wintzrode est un hameau lement de Metz. tent près d'Altheim.

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ALTZING. Altzing; on connaît trois village de ce nom. Le premier Altzing, du baillage de Sarguemine, à deux lieues de cette ville, du diocèse de Metz, du comté de Forbach.

Le second Altzing ou Alzing, est un village situé à un quart de lieues de Bouzonville, et du baillage de ce lieu, diocèse de Metz,

En 1601, il s'éleva entre le duc de Lorraine et Jean, comte palatin du Rhin, des contestations au sujet des limites du baillage de Deux-Ponts et des terres en dépendantes, de celles de l'abbaye d'Horubach et du comté de Bitche, qui ne furent terminées qu'en 1617, par une transaction comme s'ensuit: Que le village d'Altheim et tous les habitans, et le ban commun de Bettweiller, demeureront au duc de Lorraine en tous droits de souve raineté, de haute, moyenne et basse justice, à condition que le village de Bettweiller y enclos demeurera au comte Palatin en tous droits de régale, haute, moyenne et basse justice pour les maisons et adjacens, selon les anciens pourpris, appellés en allemand dorffader, qui seront abornés dans l'état où ils sont; que les officiers dudit comte pourront arrêter et ALZEY OU LEZEY, OU ALTZEYE. transporter les malfaiteurs pris audit vil-nom vient apparemment de l'allemand lage, sans en demander permission; que Altzeye le vieil Etang. Lezey ou Alzey, la création des maire et échevins d'Al- comme il se nommait anciennement, dẻtheim appartiendra, comme d'ancienneté, pendait autrefois de l'abbaye de Remire(1) Arrêt de réunion du 11 juillet 1680, mont (1), qui l'échangea contre d'autres pag. 13. (1) Hist. de Lorraine, tom. I. page 345, preu

Le troisième Altzing, est un village de France, sur une hauteur à droite de la petite rivière d'Alzeitte. Il y a en ce lieu six roueries qui dépendent de la seigneurie de Rodemack et mairie d'Esperange, et huit autres de la province de Luxembourg. La maison cúriale et l'église sont aussi sur ce dernier territoire ; à six lieues de Thionville, dix de Metz, trois de Rodemack et une de Luxembourg, de la juridiction de Thionville diocèse de Metz.

(2) Archives de Lorr. Laye. Bitche, domaine.ves 934 ou 345.

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Ce

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terres avec les religieux de Salival, qui en nostræ, nostrarumque successionum firsont aujourd'hui propriétaires. Ce village mumac stabile permane at, absque illius est situé à l'orient de Moyenvic et de Mar-reprehensione vel contradictione, constisal, et a été cédé à la France pour la route pulatione subnixá, actum_publicè ad de Metz en Alsace. sancti Romarici montem Kalend. JuOn lit dans l'archive de Remiremont, lii, regnante Othone Imperatore, S. que sous l'empereur Othon I, et Giselle, Deoderici episcopi (Sic) Autore Monasabbesse de Remiremont, vers l'an 934, terii. S. Gerardi comitis, S. Gissæ Abbal'Abbesse, du consentement des dames de tissæ, quæ hanc notitiam causá pietatis son chapitre, ordonna que la moitié des anatorit præcepit, cæteris Dominabus revenus de cette seigneurie serait employée assentientibus. S. Berthe Segreste, (Seà faire mémoire des habitans d'Azey, qui crette ou Sacristine.) avaient été mis à mort par des étrangers, S. Hildegardis, S. Majorum Almarici, (à ce qu'on croit par des Hongrois ou des Cerberti, Baderici, Martini, Guntheri, Vandales.) L'acte en fut passé à Remire- Rohardi, Lietardi, S. Scabinorum, mont, le 2 des calendes de juillet, sous Gantfridi, Evrardi, Gervini, Gislulfi, l'empereur Othon I, sous Thierry, auteur Stephani, Siebarti, Giraldi. de ce monastère. (Ce Thierry ne peut être Et alibi: Ego Gisla abatissa, do dimiThierry I, évêque de Metz, qui ne com-diam fortemVolfoldo in potestate Hainonis mença qu'en 964 ou 965.) Il est dit que ce curtis, ad servitium reddendum quam Thierry évéque, est auteur du monastère habeat omni tempore. S. Imberti Advode Remiremont. Ce monastère est exempt de la juridiction de l'évêque de Toul, et l'évêque de Toul d'alors ne se nommait pas Thierry; mais il y avait quelquefois des évêques dans les grands monastères d'hommes. Remiremont, était un monastère double pour des religieux et religieuses. Il est donc assez croyable que ce Thierry avait le caractère épiscopal, et qu'il gouvernait la communauté d'hommes qui étoit à Remiremont. Il est à remarquer que dans les souscriptions de cette pièce, il n'est fait mention d'aucun religieux de cette abbaye, sinon de ce Thierry évêque auteur, ou peut-être recteur du monastère.

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cati. Signum Ailberti Cancellarii. Signum Scabinorum, Eudo, Hermiramnus, Hildricus, Amandus, Berthenus, Hurinus, Ainerus, modò est relevata projustitia. Et plus bas: Theodericus causá misericordiæ dedit Sancto Petro Hildeburgin, ad censum solvendum singulis annis.

ALZEZ OU Lezey; ce lieu n'est connu que sous ce dernier nom. Il est à une lieu au midi de Marsal et de Moyenvic, et deux de Vic. Ce village était autrefois lorrain, et de la prévoté d'Einville-au-Jard. Il a été cédé à la France par le duc Charles IV, en 1661, avec d'autres lieux, pour former la route française de Metz à Strasbourg; et depuis ce temps il est du baillage de Sar-Louis, parlement de Metz.

La dîme et la collation de la cure appartiennent à l'abbaye de Salival. Les seigneurs haut-justiciers sont la même abbaye pour deux tiers, M. de Drouart de Vic, pour l'autre tiers, qui est en même temps seigneur voué pour le tout.

A quelque distance de ce village et au levant, on voit une élévation de terre, qui couvre un puits d'eau salée. La tradition porte qu'il y avait anciennement en ce lieu

une saline. Il n'en est cependant parlé dans | angles. Sa situation sur une montagne le aucun des mouumens et actes qui parlent rendait une place de réputation. Le bourg des salines. Ce qui pourrait autoriser cette ou la ville d'Amance ne parait pas avoir tradition, c'est que dans le terrain appelé jamais été d'une grande étendue. La croupe Salées-Eaux, outre le puits qui est re- de la montagne sur laquelle elle est bâtie vêtu en bois jusqu'au fond, on aperçoit les est assez resserrée. vestiges d'une enceinte, qui a pu renfermer les salines, et des restes de fondation de formant des espaces carrés-longs, tels que sont les bâtimens où l'on place les poèles à sel.

murs,

L'abbaye de Salival jouit du terrain des Salées-eaux, avec haute-justice, à l'exception du puits, que le roi fit garder par un détachement de la garnison de Marsal, lorsqu'il y fut en 1751, pour faire des épreuves sur les eaux.

Vers l'an 1202, dans le traité de paix qui intervint entre le duc Ferri II, et Thiébaut I, comte de Bar, son beau-père, il fut stipulé qu'Agnès fille du comte Thiébaut et épouse de Ferri, renoncerait à la succession qui lui pourrait arriver aux villes d'Amance, Longwi et Stenay; et dans un autre traité de l'an 1207, il est énoncé que la duchesse Agnès, après la mort du comte de Bar Thiebaut son père, jouirait des châteaux de Longwi, de Stenay et d'Amance.

Il y a sur la paroisse de Lezey, un autre ban séparé avec deux fermes, la haute et Dès l'an 1228 (1), Thiébaut Ier du la basse Recour, et le moulin de Recour, nom, duc de Lorraine, s'étant impruqui composent une haute-justice particu-demment brouillé avec l'empereur Frédéric lière, appartenant à l'abbaye de Salival. II, et ayant fait de grands dégats en AMANCE. Amance, en latin Aman- Alsace, l'empereur vint en diligence en tium-Castrum, ou Asmentia, ou Ementia, Lorraine, et obligea le duc Thiébaut à se Amantia ou Esmentia, est une ancienne renfermer dans le château d'Amance. ville située sur une montagne à deux bon-L'empereur l'assiéga aussitôt, et manda nes lieues au nord méridional de Nancy, au comte de Bar, et à Blanche, comtesse entre les rivières de Meurthe au midi, et de Champagne, de le venir joindre avec de Seille au nord. Au pied de la montagne leurs troupes. Ils y vinrent sans délibérer, où est situé Amance, coule un ruisseau étant bien aises de trouver cette occassion nommé Asmantiola, vulgairement nommé d'humilier Thiébaut. En passant par la Mesule, qui va tomber dans la Meur-Nancy, ils y mirent le feu. Arrivés devant the, au-dessous du village de Lay. On dit Amance, ils grossirent considérablement vulgairement dans le pays, qu'Amance l'armée de l'empereur.

est la plus ancienne ville de Lorraine. Thiébaut comprit alors la grandeur du George Mercator dans sa géographie, l'ap- danger auquel il s'était inconsidérément pelle Scrinium olim et antiqua Lotharin-livré. Il eut recours à ses alliés, et à ses giæ Cancellaria. Le R. P. Donnat dit amis, qui ne jugèrent pas à propos de se de même, que la riche et belle chancelle- commettre dans cette querelle. Il y en eut rie de Lorraine, qui était à Amance, fut même qui firent le dégat dans la Lorraine, consumée par les flammes. comme dans un pays abandonné et sans défenses. Enfin, Thiébaut fut conseillé de recourir à la clémence de l'empereur. Il se rendit dans son camp sans armes, jeta à ses pieds; l'empereur lui promit le pardon, mais, ajouta-t-il, il vous en coûtera quelque chose.

Je ne sais sur quel fondement on avance tout cela. Il est certain qu'Amance est ancienne, et que son château était autrefois fort considérable; mais il n'a été du do maine des ducs de Lorraine, que depuis le treizième siècle. Le château dont on ne voit plus que les ruines, était pentagone, ayant de grosses et fortes tours à ses cinq

(1) Richer chronic. 1, 3, cap 23.

et se

Thiébaut demeura done prisonnier de Frideric, et fut mené en Allemagne, où il demeura assez long-temps. Il n'en sortit qu'en promettant pour sa rançon douze cents livres de forts; dont Conrade, évêque de Metz, se rendit garant, par acte du

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On a vu plus haut que le comte de Bar issit des hommages le duc, qu'il se retira de l'hommage, qu'il refusa l'hommage qu'il devait au duc, apparemment pour d'autres terres, ce qui avait occasionné la guerre, ou les contestations qui étaient mois de mai 1219. mues entre ces deux princes; on peut Thiébaut mourut à Nancy, l'année sui-voir dans l'histoire de Lorraine, tome 2, vante 1220. Agnès de Bar, sa mère, qui page 234, ce qui fut réglé en 1233, avait eu en mariage Amance et Longwi, fut le différent entre le duc de Lorraine et les légua par son testament au duc Ma- le comte de Bar, par Hugues, comte de thieu II, son fils, en 1226. Legqui filio Bourgogne: que Mathieu rendra au comte meo Matthæo, Duci Lotharingie et de Bar, tout ce qui lui appartient à Amance Marchioni, Castrum de Longwi et de et, en la chatellenie. Si les fossés que MaAmantia, quæ de allodio meo sunt; à thieu a faits à Amance, ont été faits avant charge de lui en laisser annuellement la que le comte de Bar se fut retiré de l'hommoitié du revenu tout le reste de sa vie. Image du duc, dans la ville de Troyes, Il paraît que le comte de Bar avait en-ils subsisteront; si non, ils seront démocore une porte à Amance, qu'il s'était ap- lis et comblés. Depuis ce temps-là, Amance paremment réservée en donnant cette place a toujours été possédée par les ducs de à Agnès sa fille, puisque le duc Mathieu Lorraine. fut condamné en 1230, par le comte de En 1254, le château d'Amance était Boulogne et celui de Champagne choisis tenu en fief-lige par Gautier de Vignori, pour arbitre, à rendre au comte de Bar époux d'Alix ou Berthe, fille da duc la porte d'Amance, et ce qu'il tenoit à Ferri II, et sœur du duc Mathieu II, et Amance et en chátellenie d'Amance en relevait de Renaud, comte de Choiseul; Fié et en Domaine, quand il issit de et si ledit Gautier avait des enfans de sadite l'hommage le Duc; et si le Duc avait femme, ou d'une autre, ses enfans reprenpris point de la terre le Comte de Bar, ne dront de même le château d'Amance du de la terre de ses hommes, por faire les seigneur de Choiseul. Noverint universi... Fossés, entour Amance, il abbateroit ces quòd Galterus Dominus Vangionis (de Fossés, et empliroit tant comme la terre Vignori) tenet firmitatem super Asmanle Comte de Bar dure. Ce qui marque tiam in Feodum-ligium à Renardo Doclairement que le Comte de Bar s'était ré-mino Caseoli (de Choiseul,) et Hæredes servé une Porte à Amance, et que le duc prædicti Galteri Domini Vangionis, si Mathieu s'en était emparé, et avait fait faire de Bertha Uxore sua habuerit, vel de des fossés autour du bourg, empiétant sur alia, si aliam duxerit, tenebit dictam le terrain du comte de Bar et ses hommes. firmitatem à Domino Renardo de CaOn lit un peu plus loin dans les mêmes seolis, vel ab Hæredibus suis in Feodamlettres, et d'endroit le Fié d'Amance, que ligium. Actum..... anno 1234. Je ne vois le Cuens de Bar réclaime sour le Duc, pas la raisou de cet hommage-lige, que quand le Comte de Bar l'en savera que Gautier de Vignori était obligé de rendre demander, le Due l'en fera droit; ce à Renaud de Choiseul pour le château qui prouve encore que le dit comte de Bar d'Amance; c'était apparemment à cause s'était réservé le fief ou l'hommage qu'il de sa femme Berthe de Lorraine. Mais prétendait lui être dû par le duc de Lor-pourquoi à Renaud de Choiseul? raine pour Amance, mais la chose demeura indécise jusqu'à plus grand éclaircissement.

En 1575 (1), Jean duc de Lor

(1) Archives de Lor. Layette, Amance.

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