Voyages dans l'Amérique septentrionale, Volume 1L'Honoré, 1705 |
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Expressions et termes fréquents
affez aifément ainfi Anglois auffi auroit avoient avoit c'eft c'eſt c'étoit Cabanes Caftors Calumet Canada Canots caufe cens chaffe chofe cinq Nations cinq ou fix Confeil Coureurs de bois courfe Defcription deffein deffus déja Denonville derniere Efclaves Effanapés eſt étoient étoit faifant faifoit falut fans fecond femble feroit fervice fervir feul fieurs firent fitué Fleuve foient foit font Fort Frontenac fous fouvent François fufil fuis Monfieur fuivant furpris gens groffes guerre Habitans Hurons Ifle Iroquois j'avois j'étois Jefuites jours jufqu'à jufqu'au jufques laiffe LETTRE lieuës maniere Marchandifes Meffieurs ment Miffilimakinac Monfieur de Frontenac Monreal n'eft Navigation nonville Onnontagues ONSIEUR Orignaux Outagamis Outaouas paffer Païs perfonne plaifir plufieurs plûtôt pofte portage pouvoit prefent prefque prifonniers quatre Quebec raifon Recolets reçû refte rent Riviére Sauvages Soldats tems terre tion toûjours troupe vages Vaiffeau vent Village voyage vûë William Phips
Fréquemment cités
Page 82 - Raquette eft de bois fort dur d'un pouce d'épaiffeur, qui retient les mailles de la manière que celles dont on fe fert pour jouer à la paume, à la referve que celles-ci font faites de cordes de boyau, & les autres de petits lacets de peaux de Cerfs ou d'Orignaux. Vous y voyez deux petites barres de bois qui les traverfent; afin que les mailles tenant à plufieurs endroits foient plus roides & plus fiables.
Page 329 - ... et qui durèrent environ l'espace de trois heures, il ne cessa pas un moment de chanter. On lui tint plus d'un quart d'heure la plante des pieds devant deux grosses pierres toutes rouges; on lui fuma le bout des doigts avec des pipes allumées, et on lui tenait...
Page 77 - Dieu fçait comment. Il eft défendu à toutes fortes de perfonnes, de quelque qualité & condition qu'elles puiflènt être, d'y aller ou d'y envoyer, fous peine de la vie, fans ces fortes de permiffions. Chaque Congé s'étend jufqu'à la charge de deux grands Canots de marehandifes.
Page 40 - Ces canots ne valent rien du tout pour la navigation des lacs, où les vagues les engloutiraient si l'on ne gagnait terre dès que le vent s'élève. Cependant on fait des traversées de quatre ou cinq lieues d'une île à l'autre ; mais c'est toujours en calme et à force de bras, car outre qu'on pourrait être facilement submergé, on risquerait de perdre les vivres.
Page 366 - Laes de Canada, & dans tous les autres Païs de ce Continent, pour les trafiquer avec les Sauvages. Et comme ils entreprennent des voyages de mille lieues en Canot , malgré les dangers de l'eau & des Iroy uoit , on devroit, ce me femble, les appeller plutôt Coureurs de rifques, que Coureurs de Bois.
Page 40 - Vécorce s'entr'ouvrc, et l'eau entrant par les crevasses gâte les vivres, les marchandises et toute la cargaison. Chaque jour il ya quelque nouvelle crevasse ou quelque couture à gommer. Toutes les nuits on est obligé de décharger cette voiture à flot et de la...
Page 78 - Caftbrs, e'eft à dire 4®. chacun , chaque paquet valant cinquante écus ; ce qui fait en tout au retour du voyage la fomme de huit mille écus. Voici comment on en fait la repartition.
Page 12 - L'on m'a conté les circonstances de leur arrivée, et j'aime trop à vous divertir pour ne vous en point faire part. Ce chaste troupeau étoit mené au pâturage conjugal par de vieilles et prudes bergères.
Page 82 - Raquette eft de bois fort dur d'un pouce d'épaificur» qui retient les mailles de la maniere que celles dont on fe fert pour jouer à la paume, à la réferve que celles-ci font faites de cordes de boyau, & les autres de petits lacets de peaux de Cerfs ou d'Orignaux. Vous y 'voyez deux petites barres de bois qui les traverfent ; afin que...