Règne de Louis Philippe, 1830 à 1848: Élias Régnault. Histoire de huit ans, 1840-1848, faisant suite à l'Histoire de dix ans par Louis Blanc, et complétant le règne de Louis-PhilippeF. H. Jeanmaire, 1882 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 82
Page 15
... députés . Cette divi- sion existe depuis longtemps , elle existe depuis le commencement de la révolution ; elle partage la Chambre en deux fractions bien distinctes , indépendantes des subdivi- sions dont elles ont pu être surchargées ...
... députés . Cette divi- sion existe depuis longtemps , elle existe depuis le commencement de la révolution ; elle partage la Chambre en deux fractions bien distinctes , indépendantes des subdivi- sions dont elles ont pu être surchargées ...
Page 36
... députés . Les pairs circonvenus par la royauté . Faiblesse de M. Thiers . Le Luxembourg rejette le projet de conversion . Discussion sur le renouvellement du privilège de la banque . M. Thiers et . Adoption du projet dans les deux ...
... députés . Les pairs circonvenus par la royauté . Faiblesse de M. Thiers . Le Luxembourg rejette le projet de conversion . Discussion sur le renouvellement du privilège de la banque . M. Thiers et . Adoption du projet dans les deux ...
Page 37
... député de Ver- sailles , qui se fit l'interprète de ce désinté- ressement improvisé . Le 28 mars , il déposa sur le bureau une proposition ainsi conçue : << Les membres de la Chambre des députés ne peuvent être promus à des fonctions ...
... député de Ver- sailles , qui se fit l'interprète de ce désinté- ressement improvisé . Le 28 mars , il déposa sur le bureau une proposition ainsi conçue : << Les membres de la Chambre des députés ne peuvent être promus à des fonctions ...
Page 39
... députés fonctionnaires . Pour ma part , j'en suis cho- qué et j'en ai le droit . » Cette vive sortie amena une réplique de M. Thiers . Il avait à cœur de prouver aux conservateurs qui lui restaient fidèles qu'il ne s'agissait pas de la ...
... députés fonctionnaires . Pour ma part , j'en suis cho- qué et j'en ai le droit . » Cette vive sortie amena une réplique de M. Thiers . Il avait à cœur de prouver aux conservateurs qui lui restaient fidèles qu'il ne s'agissait pas de la ...
Page 40
... députés conservateurs reçurent une lettre confidentielle signée du ministre des travaux publics , qui les invitait à se rendre avec exactitude à leurs bureaux , s'ils voulaient avec le ministère enterrer la pro- position Rémilly . Dans ...
... députés conservateurs reçurent une lettre confidentielle signée du ministre des travaux publics , qui les invitait à se rendre avec exactitude à leurs bureaux , s'ils voulaient avec le ministère enterrer la pro- position Rémilly . Dans ...
Expressions et termes fréquents
acte affaires anglais appel arrivé assez aurait avaient avant c'était cabinet cause Chambre chargé chef chose commencement communication compte conduite conseil conservateurs considérables côté coup cours d'autres déclaration demander députés dernier devait dire disait discussion donner doute effet enfin engagements faisait fond force forme garde général gouvernement guerre Guizot haute hommes intérêts jour journaux juges juillet l'Angleterre l'opposition laisser lettres liberté lieu Londres lord Louis-Philippe lui-même lutte main majorité Mars menaces ment mesure mettre ministère monde montrait moyens n'avait n'était nation nationale nouveau nouvelle paix parler paroles passé pays pendant pensée personne peuple place porter position pourrait pouvait pouvoir premier présent presse prince pris projet public publique puissances qu'à qu'une quatre question radicaux réforme reine représentant reste révolution rien s'était s'il semblait sentiments serait seul situation sorte suivant système Thiers tion traité troupes trouvait venait véritable vive voie voix vote voulait vrai
Fréquemment cités
Page 4 - Le Sultan se réserve, comme par le passé, de délivrer des Firmans de passage aux bâtiments légers sous pavillon de guerre , lesquels seront employés, comme il est d'usage, au service des Légations des Puissances amies.
Page 27 - Sa Majesté le sultan, d'une part, déclare qu'il a la ferme résolution de maintenir, à l'avenir, le principe invariablement établi comme ancienne règle de son empire, et en vertu duquel il a été de tout temps défendu aux bâtiments de guerre des puissances étrangères d'entrer dans les détroits des Dardanelles et du Bosphore, et que tant que la Porte se trouve en paix, Sa Majesté n'admettra aucun bâtiment de guerre étranger dans lesdits détroits.
Page 138 - Je suis né d'un père qui descendit du trône, sans regret, le jour où il ne jugea plus possible de concilier avec les intérêts de la France, les intérêts du peuple qu'il avait été appelé à gouverner. L'Empereur, mon oncle, aima mieux abdiquer l'empire, que d'accepter par des traités les frontières restreintes, qui devaient exposer la France à subir les dédains et les menaces que l'étranger se permet aujourd'hui. Je n'ai pas respiré un jour dans l'oubli de tels enseignements. La-...
Page 4 - Méhémet-Ali, ne sera considérée que comme une mesure exceptionnelle adoptée à la demande expresse du Sultan, et uniquement pour sa défense dans le cas seul indiqué ci-dessus. Mais il est convenu que cette mesure ne dérogera en rien à l'ancienne règle de l'empire ottoman, en vertu de laquelle il a été de tout temps défendu aux bâtiments de guerre...
Page 138 - ... tous. Depuis cinquante ans que le principe de la souveraineté du peuple a été consacré en France, par la plus puissante révolution qui se soit faite dans le monde, jamais la volonté nationale n'a été proclamée aussi solennellement, n'a été constatée par des suffrages aussi nombreux et aussi libres que pour l'adoption des constitutions de l'Empire. La nation n'a jamais révoqué ce grand acte de sa souveraineté, et l'Empereur l'a dit : « Tout ce qui a été fait sans elle est illégitime.
Page 62 - Son tombeau, comme sa renommée, n'appartiendra à personne qu'à son pays. La monarchie de 1830 est en effet l'unique et légitime héritière de tous les souvenirs dont la France s'enorgueillit. Il lui appartenait sans doute, à cette monarchie qui la première a rallié toutes les forces et concilié tous les vœux de la révolution française, d'élever et d'honorer sans crainte la statue et la tombe d'un héros populaire. Car il ya une chose, une seule qui ne redoute pas la comparaison avec...
Page 138 - La proscription imméritée et cruelle qui pendant vingt-cinq ans a traîné ma vie des marches du trône sur lequel je suis né jusqu'à la prison d'où je sors en ce moment, a été impuissante à irriter comme à fatiguer mon cœur ; elle n'a pu me rendre étranger un seul jour à la dignité, à la gloire, aux droits, aux intérêts de la France. Ma conduite, mes convictions s'expliquent.
Page 6 - France dans une conduite commune était obligatoire de sa part; il n'en est plus une dans la nouvelle situation où semblent vouloir se placer les puissances. La France ne peut plus être mue désormais que par ce qu'elle doit à la paix, et ce qu'elle se doit à elle-même. La conduite qu'elle tiendra dans les graves circonstances où les quatre puissances viennent de placer l'Europe dépendra de la solution qui sera donnée à toutes les questions qu'elle vient d'indiquer.
Page 6 - Et ces populations, réussirait-on à les soumettre à la Porte après les avoir soulevées contre le vice-roi? Toutes ces questions, on ne les a certainement pas résolues. Mais si cette insurrection est comprimée , si le vice-roi est de nouveau possesseur assuré de la Syrie, s'il n'en est que plus irrité , plus difficile à persuader, et qu'il réponde aux sommations par des refus positifs, quels sont les moyens des quatre puissances ? Assurément, après avoir employé une année à les chercher,...
Page 7 - ... aux puissances d'Europe qu'il n'abandonnerait jamais, et se déclarerait lui-même indépendant. Une pareille déclaration de sa part serait incontestablement le démembrement de l'empire ottoman, et, ce qui plus est, ce démembrement pourrait arriver dans des circonstances telles , qu'elles rendraient plus difficile aux puissances d'Europe d'agir ensemble pour forcer le pacha à rétracter une pareille déclaration, qu'il ne l'est aujourd'hui de combiner leurs efforts pour le contraindre à...