Bibliothèque historique, et critique du Poitou, contenant les vies des savans de cette province, depuis le troisième siècle jusqu'à présent: une notice de leurs ouvrages, avec des observations pour en juger; la suite historique & chronologique des comtes héréditaires, & celle des evêques de Poitiers depuis Saint Nectaire, Volume 2Chez Ganeau, 1754 |
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Bibliothèque historique et critique du Poitou, contenant les vies ..., Volume 2 J. Fr Dreux du Radier Affichage du livre entier - 1754 |
Expressions et termes fréquents
adreffe affez ainfi ajoûte auffi Auteurs Avocat avoient avoit Boiceau Briffon C'eft C'eſt c'étoit Catherine des Roches caufe Chafteignier Charles chofe Choifnin Claude Mangot compofa Confeiller au Parlement connoiffance connoître Coûtume Croix du Maine dédié difcours diftingué Duverdier efprit enfans Epitaphe Epîtres époufa eſt étoient étoit faifoit fans favant favoir fe trouve fecond fervir feul Févre fiécle fille foit fon tems font fous François ftyle fuite fuivant fujet Haye Henry III Hiftoire illuftre imprimé Jacques Jacques Yver Jean Bouchet Jean d'Authon Jofeph Jurifconfulte l'Abbé Goujet l'Au l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Hiftoire Latin Laufon Lettres Livre Loudun Louis Louis XII Macrin Maifon Mangot Mornac mort n'avoit n'eft occafion Ouvrage paffa paroît penfe perfonnes piéces plufieurs Poëfies Poëte Poitevin Poitiers Poitou préfent Préfident prefque Prince queau Recueil Saint Sainte-Marthe Sanzay Savans Scaliger Scévole Scévole de Sainte-Marthe Seigneur talens teur Thou tion Tiraqueau toûjours
Fréquemment cités
Page 19 - L an mil cinq cens et dix-neuf, à Poitiers, Dont fut natif. Priez donc Dieu, pour l'âme Du bon Blanchet, qui fut digne qu'on l'âme! Erinnern diese Legate „plus à plaisir qu'à singulier proffit" nicht an das Testament Pathelin's?
Page 278 - Chevalier des Ordres du Roi , Confeiller en fes Confeils d'Etat , & privé , Capitaine de cinquante hommes d'armes de fes Ordonnances , Gouverneur , & Lieutenant Général pour...
Page 27 - ... d'une basse jalousie purent mettre en usage. La méthode de Brissot , disaient Denis et ses partisans , est dangereuse pour le corps ; c'est en médecine , une hérésie aussi funeste que le Luthéranisme en religion ; elle est le fruit de l'ignorance et de la témérité. C'est même un attentat sur la religion , une véritable impiété. Pendant la chaleur de ces déclamations , il arriva un événement fâcheux à nos orthodoxes . Charles III , duc de Savoie, mourut le 16 septembre 1553 d'une...
Page 24 - Il n'était pas homme à suivre l'usage en aveugle. La voie de l'examen lui parut préférable à celle de la coutume ou de l'autorité. Il reconnut que les Arabes avaient introduit dans la pratique une infinité de choses opposées à la doctrine d'Hypocrate et de Galien , aussi bien qu'à l'expérience et au raisonnement.
Page 13 - Thefpis fut le premier qui barbouillé de lie , Promena par les Bourgs cette heureufe folie ; Et d'Aâeurs mal ornés chargeant un tombereau , Amufa les paflans d'un fpeâacle nouveau.
Page 475 - Il le quitta pour retourner dans sa patrie où il resta jusqu'en 1 577, qu'il revint à Poitiers pour y occuper la place de doyen de la Faculté , vacante par la mort de François Pidoux. Il mourut aussi lui-même en cette ville en 1590. Il était ami de Salmon Macrin , qui lui confia ce qu'il avait de plus cher , je veux dire la santé de sa chère Gélonis. Il parle de Coyttar dans plusieurs endroits de ses poésies.
Page 86 - Macault est assez net pour le temps , et plus poli que celui de ses contemporains ; on y reconnaît déjà quelques étincelles du génie de notre langue. L'auteur joint ordinairement quelques réflexions politiques ou morales à la traduction du texte. Elles sont courtes et remplies de bon sons ; elles servent aussi à développer l'esprit des bons mots et des traits particuliers qu'il traduit.
Page 231 - Ëauveau ,Nouaillois aftre nouveau , En ta mémoire je chante , Plein d'une jeune bonté , Ces airs que mon Luth monté ,'• Gros de ton amour enfante. L'amour du ficelé féduifit d'abord Deplanches.
Page 481 - ... cabinets des curieux , et en particulier quelques sonnets prouvent qu'elle méritait de partager avec ses illustres parentes la gloire du bel-esprit. On trouve son éloge parmi ceux des dames illustres par leur savoir. La Croix du Maine , en parle dans les additions à sa Bibliothèque française, pag. 497. A la tête des deux harangues prononcées par Pierre Umeau, pour le serment de la Sainte-Union en Poitou, au mois d'août 1589, se lisent ces vers français de Madelaine Chemerault. Si...
Page 431 - Nous mîmes la plume à la main, et comme un Dimanche matin pensant la prendre à l'impourvû, je lui eusse envoyé mon Ouvrage; elle, n'ayant encore fait mettre le sien au net, le mit entre les mains de mon homme, afin que je ne pensasse qu'elle se fût enrichie du mien.