Bibliothèque historique, et critique du Poitou, contenant les vies des savans de cette province, depuis le troisième siècle jusqu'à présent: une notice de leurs ouvrages, avec des observations pour en juger; la suite historique & chronologique des comtes héréditaires, & celle des evêques de Poitiers depuis Saint Nectaire, Volume 2

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Page 19 - L an mil cinq cens et dix-neuf, à Poitiers, Dont fut natif. Priez donc Dieu, pour l'âme Du bon Blanchet, qui fut digne qu'on l'âme! Erinnern diese Legate „plus à plaisir qu'à singulier proffit" nicht an das Testament Pathelin's?
Page 278 - Chevalier des Ordres du Roi , Confeiller en fes Confeils d'Etat , & privé , Capitaine de cinquante hommes d'armes de fes Ordonnances , Gouverneur , & Lieutenant Général pour...
Page 27 - ... d'une basse jalousie purent mettre en usage. La méthode de Brissot , disaient Denis et ses partisans , est dangereuse pour le corps ; c'est en médecine , une hérésie aussi funeste que le Luthéranisme en religion ; elle est le fruit de l'ignorance et de la témérité. C'est même un attentat sur la religion , une véritable impiété. Pendant la chaleur de ces déclamations , il arriva un événement fâcheux à nos orthodoxes . Charles III , duc de Savoie, mourut le 16 septembre 1553 d'une...
Page 24 - Il n'était pas homme à suivre l'usage en aveugle. La voie de l'examen lui parut préférable à celle de la coutume ou de l'autorité. Il reconnut que les Arabes avaient introduit dans la pratique une infinité de choses opposées à la doctrine d'Hypocrate et de Galien , aussi bien qu'à l'expérience et au raisonnement.
Page 13 - Thefpis fut le premier qui barbouillé de lie , Promena par les Bourgs cette heureufe folie ; Et d'Aâeurs mal ornés chargeant un tombereau , Amufa les paflans d'un fpeâacle nouveau.
Page 475 - Il le quitta pour retourner dans sa patrie où il resta jusqu'en 1 577, qu'il revint à Poitiers pour y occuper la place de doyen de la Faculté , vacante par la mort de François Pidoux. Il mourut aussi lui-même en cette ville en 1590. Il était ami de Salmon Macrin , qui lui confia ce qu'il avait de plus cher , je veux dire la santé de sa chère Gélonis. Il parle de Coyttar dans plusieurs endroits de ses poésies.
Page 86 - Macault est assez net pour le temps , et plus poli que celui de ses contemporains ; on y reconnaît déjà quelques étincelles du génie de notre langue. L'auteur joint ordinairement quelques réflexions politiques ou morales à la traduction du texte. Elles sont courtes et remplies de bon sons ; elles servent aussi à développer l'esprit des bons mots et des traits particuliers qu'il traduit.
Page 231 - Ëauveau ,Nouaillois aftre nouveau , En ta mémoire je chante , Plein d'une jeune bonté , Ces airs que mon Luth monté ,'• Gros de ton amour enfante. L'amour du ficelé féduifit d'abord Deplanches.
Page 481 - ... cabinets des curieux , et en particulier quelques sonnets prouvent qu'elle méritait de partager avec ses illustres parentes la gloire du bel-esprit. On trouve son éloge parmi ceux des dames illustres par leur savoir. La Croix du Maine , en parle dans les additions à sa Bibliothèque française, pag. 497. A la tête des deux harangues prononcées par Pierre Umeau, pour le serment de la Sainte-Union en Poitou, au mois d'août 1589, se lisent ces vers français de Madelaine Chemerault. Si...
Page 431 - Nous mîmes la plume à la main, et comme un Dimanche matin pensant la prendre à l'impourvû, je lui eusse envoyé mon Ouvrage; elle, n'ayant encore fait mettre le sien au net, le mit entre les mains de mon homme, afin que je ne pensasse qu'elle se fût enrichie du mien.

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