| Jules Michelet - 1833 - 288 pages
...Philippe II, la postérité pardonnera beaucoup à l'homme qui disait à son assassin : « Or ça, je veux vous montrer combien la religion que je » tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession : » la vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant »... | |
| Jules Michelet - 1833 - 304 pages
...Philippe II, la postérité pardonnera beaucoup à l'homme qui disait à son assassin : « Or ça, je veux vous montrer combien la religion que je » tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession : » la vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant »... | |
| Jules Michelet - 1834 - 364 pages
...Philippe II, la postérité pardonnera beaucoup a l'homme qui disait à son assassin : « Or ça, je yeux vous montrer combien la religion que je tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession : la vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr , n'ayant reçu... | |
| Charles Lacretelle - 1844 - 948 pages
...nière que ce fut, un si puissant ennemi de » leur religion. Or, suivit ce prince, je vous » veux montrer combien la religion que je » tiens est plus douce que celle de quoi vous » faites profession. La vôtre vous a conseillé » de me tuer sans m'ouïr, n'ayant... | |
| Théophile Lavallée - 1847 - 516 pages
...prince, je vous » veux montrer combien la religion que je tiens est plus douce que relie de quoi » vous faites profession : la vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'oulr, n'ayant » reçu de moi aucune offense; et la mienne me commande que je vous par.lonne, »... | |
| Victor de Chalambert - 1854 - 508 pages
...il le fit venir, et après avoir tiré de lui l'aveu de son crime, il lui dit : « Je vous » veux montrer combien la religion que je tiens est plus...profession : la vôtre vous a conseillé de me tuer » sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune offense ; et la mienne me » commande que je vous pardonne, tout... | |
| Jules Minier - 1854 - 894 pages
...Or ça • je veux vous montrer combien la religion que je liens est plus » douce que celle de quoi vous faites profession ; la vôtre vous a » conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune > offense; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout... | |
| Théophile Lavallée - 1856 - 574 pages
...piété d'oxt rper un si puissant ennemi de leur religion. « Or, répondit le prince, je vous vcm montrer combien la religion que je tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession : la vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'oujr, n'ayant reçu... | |
| Henri Martin - 1857 - 608 pages
...ce fût, un si puissant ennemi de sa religion. » — « Je vous veux montrer, ri pliqua le f rnce, combien la religion que je tiens est plus douce que celle dont vous faites pruîession. La vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu di moi aucune offense,... | |
| Henri Martin - 1857 - 580 pages
...que ce fût, un si puissant ennemi de sa religion. * — « Je vous veux montrer, npliqua le prince, combien la religion que je tiens est plus douce que celle dont vous laites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant re>;ud( moi ancuae... | |
| |