L'Année littéraire: ou, suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volume 1Elie-Catherine Fréron Fréron., 1754 |
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Expressions et termes fréquents
Abdeker affez ainfi Anglois Antiochis auffi auroit Auteurs avoit beau beauté c'eft c'eſt caufe Chant chofes cœur Comédie Confeil conferver Danfe déja difcours Duclos Ecrivain efprit enfuite eſt étoit faifant fans doute Fatmé fçavoir fe trouve feconde felon fens fent feroit fervir feul fiécle fieur Fils de Dieu fimple fingulier foient foit font fous fouvent François ftyle fublime fuccès fuis fuite fuivant fujet fur-tout gens Géorgienne goût Hiftoriques homme Jacques d'Alphée Jacques de Zébédée Jeanne Darc Jefus Judas jufqu'à jufte Karats l'Abbé Raynal L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'Auteur l'efprit l'Eglife l'hiftoire laiffe Lettre Maiſon Maîtreffe Mandarin ment Momus Monfieur Mufe Mufique n'eft obferver Odalique Odes Oufle ouvrage paffer paffions paroît Paros penfe perfonne Philofophe plaifir plaifirs plufieurs Poëfie Poëme Poëte préfente prefque Prince raifon refte roit Rouffeau s'eft s'étoit Satan teur tion Tragédie traits Vauvenargues vrage دو دو رو دو رو رو
Fréquemment cités
Page 101 - Pastor fido avec sa Dame, la houlette à la main, la panetière au côté, le chapeau de paille doublé de satin couleur de...
Page 76 - ... et aux cuisses. Le sang ruisselle, et dans la plus vive douleur, il ne doit pas faire le moindre mouvement, ni donner la plus légère marque d'impatience. Il rentre ensuite dans sa prison, avec la liberté de se coucher...
Page 81 - On devient infame en les fréquentant , & fouillé pour s'être approché d'eux a la diftance de vingt pas. Si quelqu'un des quatre premières Tribus rencontre un de ces objets de l'exécration publique , il jette un cri d'auffi loin qu'il peut le voir , & c'eft un fignal qui l'oblige de fe retirer à l'écart. Au moindre retardement on a droit de le tuer d'un coup de flèche ou de moufquet. La vie de ces malheureux paroît fi méprifable , que quand on veut éprouver fes armes on tire indifféremment...
Page 77 - Lorfque le remps de l'épreuve eft arrivé , on fait jeûner le novice avec plus de rigueur encore que les Capitaines : il eft exténué jufqu'à manquer de forces.
Page 87 - Mandarin ; n je fçais feulement que Votre » Majefté m'a fait jetter dans un noir cachot , pour y » être livré à la mort. » L'Empereur retomba dans une profonde rêverie : il parut furpris & troublé. Enfin , rejettant fur les fumées de l'yvreffe une violence dont il ne confervoit aucun fouvenir , il fit ôter les chaînes au Mandarin ; & l'on remarqua que , depuis , il évita toujours les excès du vin.
Page 104 - Il nous reçût avec joie, nous parla de fes defleins, & nous montra fes Ouvrages ; mais ce -qui nous touc-ha ; c'eft que ne craignant pas de nous bifler voir fa pauvreté, il voulut nous donner la collation.
Page 251 - Histoire des imaginations extravagantes de Monsieur Oufle, causées par la lecture des livres qui traitent de la magie, du grimoire , des démoniaques, sorciers, loups-garoux , incubes , succubes , et du sabbat , des fées, ogres , esprits...
Page 25 - Pères ordonnèrent un bal pour sa réception. Les dames les plus qualifiées de la ville y furent invitées : le cardinal de Mantoue ouvrit le bal, et tous les Pères du concile dansèrent avec autant de modestie que de dignité.
Page 57 - France vous fait mourir , je ferai abattre bien des têtes à quantité de François qui font en ma puiflance. Je le crois , répondit l'Evêque ; mais de toutes ces têtes il ny en a pas une qui vint Ji bien fur mon corps que celle qui y eft. M. l...
Page 104 - ... vreté , il voulut nous donner la collation. Noua » nous rangeâmes fous un arbre ; on étendit une » nappe fur l'herbe ; fa femme nous apporta du lait , » & lui des cerifes , de l'eau fraîche , & du pain » bis. Quoique ce régal nous femblât très-bon , nous. » ne pûmes dire adieu à cet excellent homme...