| Jules Michelet - 1833 - 304 pages
...comme hérétique par l'université de Paris. Benoît XII avoua en pleurant aux ambassadeurs impériaux que le roi de France l'avait menacé de le traiter plus mal que ne l'avait été Boniface VIII, s'il absolvait l'Empereur. Le même pape se défendit avec peine contre... | |
| Jules Michelet - 1833 - 288 pages
...hérétique par l'université de Paris. Benoît XII avoua en plexirant aux ambassadeurs impériaux qne le roi de France l'avait menacé de le traiter plus mal que ne l'avait été Boniface VIII, s'il absolvait l'Empereur. Le même pape se défendit avec peine contre... | |
| Jules Michelet - 1834 - 364 pages
...comme hérétique par l'université de Paris. Benoît XII avoua en pleurant aux ambassadeurs impériaux que le roi de France l'avait menacé de le traiter plus mal que ne l'avait été Boniface VIII, s'il absolvait l'Empereur. Le même pape se défendit avec peine contre... | |
| Alexandre Dumas - 1856 - 296 pages
...roi. Le pape Benoît XII était un de ceux que persécutait le plus Philippe. Il avouait en pleurant que le roi de France l'avait menacé de le traiter plus mal encore que n'avait été traité Boniface VIII s'il absolvait l'empereur. Lui-m&me voulait arriver... | |
| Alexandre Dumas - 1861 - 290 pages
...roi. Le pape Benoît XII était un de ceux que persécutait le plus Philippe. Il avouait en pleurant que le roi de France l'avait menacé de le traiter plus mal encore que n'avait été traité Boniface VIII s'il absolvait l'empereur. Lui-même voulait arriver... | |
| Jules Michelet - 1872 - 860 pages
...aurait voulu se faire lui-même Empereur. Benoit XII avoua en pleurant aux ambassadeurs impériaux que le roi de France l'avait menacé de le traiter plus mal que ne l'avait été Boniface VIII ! , s'il absolvait l'Empereur. Le même pape se défendit avec peine... | |
| Thomas Aimé Chandonnet - 1880 - 954 pages
...XII. malgré les ambassadeurs qu'il lui envoya et auxquels le pape répondit les « larmes aux yeux, qu'il était bien disposé pour leur prince, mais...VIII, s'il absolvait l'empereur sans l'aveu du roi. » Co qui eut pour résultat de jeter Louis de Bavière dans le parti anglais ; comme les cruautés... | |
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