Du pouvoir et de la libertéE. Dentu, 1853 - 301 pages |
Expressions et termes fréquents
âmes archontat autorité bonheur chef chose classe cœur conscience constitue Contrat social convention crime démagogie dépravation despotisme devoir dites-vous divine doctrine Émile de Girardin enfants Esprit des Lois esprits Est-ce le peuple famille force génie genre humain Girardin gloire gouvernement grandeur hommes idées morales intelli J'appelle démagogues J'appelle démocrate journées de juin justice l'esprit l'Esprit des Lois l'hérédité l'histoire l'homme l'humanité l'idée l'instinct l'intelligence l'obéissance l'orgueil l'Unité légitime liberté lois Louis XIV Louis-Napoléon Louis-Napoléon Bonaparte maison d'Orange-Nassau maître ment modernes mœurs monarchie monde Montesquieu n'appelle pas peuple n'est-ce nation nobles pable passions père philosophie Pierre Leroux politique pouvoir ou l'autorité POUVOIR SE PREND prêtre prince principe puissance qu'un raison règne République respect révolution révolutionnaire Rome Rousseau royauté sance Sénat romain sentiment serait seul siècle société sophismes sort souverain souveraineté du peuple souveraineté nationale stupide théorie tion trône utopistes vient de Dieu Voilà volonté
Fréquemment cités
Page 108 - que, si on écarte du pacte social ce qui n'est pas de son essence, on trouvera qu'il se réduit aux termes suivants : « Chacun de nous met en « commun sa personne et toute sa puissance sous « la suprême direction de la volonté générale, et « nous recevons en corps chaque membre comme
Page 114 - que lui-même, se voit forcé d'agir sur « d'autres principes, et de consulter sa raison « avant d'écouter ses penchants. Quoiqu'il se « prive, dans cet état, de plusieurs avantages qu'il « tient de la nature, il en regagne de si grands
Page 110 - sainteté du contrat, ne peut jamais s'obliger, « même envers autrui, à rien qui déroge à cet « acte primitif, comme d'aliéner quelque portion « de lui-même ou de se soumettre à un autre « souverain. Violer l'acte par lequel il existe,
Page 108 - de toute la force commune la personne et les « biens de chaque associé, et par laquelle cha
Page 118 - par le Contrat social l'homme perd sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente, et qu'il peut atteindre. Ce qu'il gagne, c'est la liberté civile et
Page 81 - des soins qu'il devait aux enfants, rentrent tous « également dans l'indépendance. S'ils continuent « de rester unis, ce n'est plus naturellement, c'est « volontairement, et la famille elle-même ne se
Page 115 - souvent au-dessous de celle dont il « est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant « heureux qui l'en arrache pour jamais, et qui « d'un animal stupide et borné fit un être
Page 108 - se réduisent à une seule, savoir : l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté 1
Page 79 - dérivent uniquement de la constitution de notre être. Pour les connaître bien, il faut considérer un homme avant l'établissement des sociétés. Les lois de la nature seront celles qu'il recevrait dans un
Page 256 - Le peuple honore les personnes de grande naissance; les demi-habiles les méprisent, disant que la naissance n'est pas un avantage de la personne, mais du hasard.