Collection des chroniques nationales français: écrites en langue vulgaire du treizième au seizième siècle, Volume 37Jean Alexandre C. Buchon Verdière [et] J. Carez, 1826 |
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... archier , pour ce qu'il ne se tenoit pas bien en ordon- » nance ; et s'y n'estoient pas devant leurs enne- » mys . Pour ... archiers qui ne le cremissent ; » et n'y avoit point tant d'amour que de cré- » meur . 2 » Dans un autre endroit ...
... archier , pour ce qu'il ne se tenoit pas bien en ordon- » nance ; et s'y n'estoient pas devant leurs enne- » mys . Pour ... archiers qui ne le cremissent ; » et n'y avoit point tant d'amour que de cré- » meur . 2 » Dans un autre endroit ...
Page xxviii
... archiers , lesquels il meit ès fron- » tières du royaume , par espécial du costé des An- glois ; lesquels gens d ... archier >> sept francs et demi pour le mois , monnoye dite ; » et estoient très bien payés 1 . » >> Les gens d'armes ...
... archiers , lesquels il meit ès fron- » tières du royaume , par espécial du costé des An- glois ; lesquels gens d ... archier >> sept francs et demi pour le mois , monnoye dite ; » et estoient très bien payés 1 . » >> Les gens d'armes ...
Page xxxii
... archiers qui , pour la » briefté du temps ou autrement , ne puissent re- » couvrer l'habillement tel que dit est , viennent » à la première monstre habilliés de brigandines 2 » ou de jacques , au mieux et le plus honnestement » qu'ils ...
... archiers qui , pour la » briefté du temps ou autrement , ne puissent re- » couvrer l'habillement tel que dit est , viennent » à la première monstre habilliés de brigandines 2 » ou de jacques , au mieux et le plus honnestement » qu'ils ...
Page lxxxviii
... archiers ou autres >> leurs serviteurs ; et failloit que lesdites vefves , » si elles se voulloient marrier , qu'elles espousissent » ceux que leurs seigneurs leur voulloient bailler , » ou feissent tant par argent , au moins tant à ...
... archiers ou autres >> leurs serviteurs ; et failloit que lesdites vefves , » si elles se voulloient marrier , qu'elles espousissent » ceux que leurs seigneurs leur voulloient bailler , » ou feissent tant par argent , au moins tant à ...
Page 18
... archiers . La pluspart desquels chevalliers , escuyers et archiers estoient des pays du duc Philippe de Bourgogne ; lequel duc leur avoit donné congié d'y aller et servir le roy , et ne leur avoit baillié nulle cons- trainte , fors que ...
... archiers . La pluspart desquels chevalliers , escuyers et archiers estoient des pays du duc Philippe de Bourgogne ; lequel duc leur avoit donné congié d'y aller et servir le roy , et ne leur avoit baillié nulle cons- trainte , fors que ...
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Expressions et termes fréquents
allées ne venues Anglois Antoine archiers assavoir atout avecques avoient avoit bailli Bayonne Bourdeaux Bruges Caen capitaine cents lanches ceste chambellan CHAP Charles Charollois chastel chevalier choses Clercq comte de Dunois comte de Foix comte de Saint-Pol comte du Maine conseiller costel d'icelle debvant dessusdites duc d'Yorck duc de Bourgogne duc de Bretaigne duc de Sombreset dudit écuyer ès six premiers escuyers esté estoient estoit estre faict feit feurent Flandre Franchois fust fust mis fust rendue gages gens d'armes gneur gouverneur Gruthuse Harfleur icelle icellui Item Jehan jour jusques l'obéissance du roy ladite ledit lesdits lieutenant logier Louis XI maditte dame maistre Maître Jean mectre le siége MÉM mesme Messire Jacques Messire Jean mil quatre cent Monseigneur MONSTRELET moult ordonnance partist pays Philippe Pont-de-l'Arche prince prins prinse Rouan roy d'Angleterre roy de Franche s'en allèrent seigneur servant à tour sieur six mois ensievants traictié vénerie Vernoeul vindrent
Fréquemment cités
Page cxxxvii - Mars (nouv. style) l'hclippc, par la grace de Dieu, duc de Bourgoingne, de Lothier, de Brabant et de Lembourg, conte de Flandres, d'Artois, de Bourgoingne, palatin de Haynnau, de Hollande, de Zellande et de Namur, marquis du saint Empire, seigneur de Frise, de Salins et de Malines...
Page c - ... tour lui , si ses gens d'armes se mectoient fort sus » en ses pays ; auquel on respondit que l'apparence » estoit petite , et que les nobles et gens de guerre » avoient , l'année passée , esté si mal payés , que « chacun reculoit et doubtoitles fraix, et que qui » voulloit avoir les compagnons de guerre, il fail...
Page cliv - Je n'ai point naturellement l'esprit désapprobateur. Platon remerciait le ciel de ce qu'il était né du temps de Socrate ; et moi, je lui rends grâces de ce qu'il m'a fait naître dans le gouvernement où je vis, et de ce qu'il a voulu que j'obéisse à ceux qu'il m'a fait aimer.
Page lxiv - Qu'il est fâcheux qu'un siècle qui sourit tant à l'imagination , ne puisse être approuvé par la philosophie ! Dans un grand nombre de miniatures , le duc...
Page lxxxix - Desquelles choses je ne cer» tiffie rien , trop bien que la renommée du peu» ple estoit telle, et m'en rapporte à ce qui en » est '. » Du Clercq, sous l'an ] 467 , dit encore : « En ce » temps couroient plusieurs mauvais garnements » en Artois , en Picardie et ailleurs , lesquels des...
Page 4 - ... la cognoissance de moy, Jacques Du Clercq, escuyer, sieur de Beauvoir en Ternois. fils de maistre Jacques Du Clerc, licentier es droits, conseiller dudit Philippe duc de Bourgongne, en la chastellenie de Douay, Lille et Orchies, demeurant à Lille; desquelles je, Jacques Du Clercq dessusdit, demeurant en la cité d'Arras, en ma maison nommée le Monnoye, ay enquis au mieux que j'ai sceu et peu, et les ay mis par escript au plus vray que j'ay sceu et peu Et.
Page cxxxii - XVIII san (v. n° IF^ figures sans quoi li livres ne poiroit estre legierement entendus, ki est divisez en III parties. Le dernier livre mérite une attention paticulière ; l'auteur, qui vivait dans le treizième siècle , traite du ciel et de la terre , de Dieu et de l'homme , de la géographie , de l'astronomie , de l'histoire naturelle , et autres sciences connues de son temps, qu'il divise en sept branches , comme Martianus Capella l'avait fait au septième siècle, Alcuin au huitième. « Un...
Page 58 - Ballesmes de touts costés ; et lors les Anglois qui dedans estoient promirent de rendre ladite ville au cas que les Franchois ne seroient combattus. Et fust jour assigné. Auquel jour le duc d'Allenchon se gouverna honorablement et vaillamment; et tint la journée, lui et Poton , sieur de Sainte-Treille , à peu de gens , jusques à ce que l'heure fust passée.
Page lxxvi - J'ai blanchet dont eus se font blanches » • Les dames, si jamais ce livre leur tombe sous la main, ce que nous n'osons espérer , seront peut-être bien aises d'avoir la recette dont se servaient leurs aïeules. Un certain Ogier ou Augier s'exprime ainsi dans un sirvente : « Je ne peux souffrir le teint » blanc et rouge que les vieilles se font avec l'on» guent d'un œuf battu qu'elles s'appliquent sur le 1.
Page cxxxiv - Saint-Paul, un hymne en l'honneur de Virgile ; on y supposait que l'apôtre des nations arrivant à Naples, tourna ses regards vers le mont Pausilippe , où reposent les cendres de Virgile, et qu'il regretta de n'avoir pu le connaître pendant sa vie, afin d'en faire un prosélyte; ce qu'exprime la strophe suivante : Ad Maronis mausolcum Ductus , fudit super eum i.