Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours ...Les Presses universitaires de France, 1925 |
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... demandait « à être dirigée , conseillée , de manière à ne pas se trouver en opposi- tion avec les vues des trois puissances et afin que l'opinion ne res- tât pas flottante , sans guide et exposée à toutes les divisions * » . C'était là ...
... demandait « à être dirigée , conseillée , de manière à ne pas se trouver en opposi- tion avec les vues des trois puissances et afin que l'opinion ne res- tât pas flottante , sans guide et exposée à toutes les divisions * » . C'était là ...
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... demandait un prince qui lui fût agréable . Mais entendait - elle d'autre part empêcher la Grèce de se mettre en république ? Russell s'en expliquait ainsi quelques jours plus tard : « Nous avons craint , disait - il à Apponyi , qu'une ...
... demandait un prince qui lui fût agréable . Mais entendait - elle d'autre part empêcher la Grèce de se mettre en république ? Russell s'en expliquait ainsi quelques jours plus tard : « Nous avons craint , disait - il à Apponyi , qu'une ...
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... demandait qu'on ne le tourmentât plus de cette affaire ( 3 ) . Malgré tout , le gouvernement britannique voulut encore attendre , pour se déclarer convaincu , le retour de M. Devaux qui s'éternisait à Lisbonne . Il n'accepta comme ...
... demandait qu'on ne le tourmentât plus de cette affaire ( 3 ) . Malgré tout , le gouvernement britannique voulut encore attendre , pour se déclarer convaincu , le retour de M. Devaux qui s'éternisait à Lisbonne . Il n'accepta comme ...
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... demander Alfred , et Alfred seulement ( 2 ) , et que , d'autre part , la défiance s'accentuait entre Londres et Saint ... demandait des éclaircissements sur la succession d'Ernest qui risquait d'échoir à Alfred * , elle formulait des ...
... demander Alfred , et Alfred seulement ( 2 ) , et que , d'autre part , la défiance s'accentuait entre Londres et Saint ... demandait des éclaircissements sur la succession d'Ernest qui risquait d'échoir à Alfred * , elle formulait des ...
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... demandait d'être officiellement reconnu ( 1 ) . Le jour où Phocion Roques à Turin vint entretenir de cette question le ministre des Affaires étrangères italien , ce dernier lui tendit une dépêche de la légation d'Italie à Athènes , qui ...
... demandait d'être officiellement reconnu ( 1 ) . Le jour où Phocion Roques à Turin vint entretenir de cette question le ministre des Affaires étrangères italien , ce dernier lui tendit une dépêche de la légation d'Italie à Athènes , qui ...
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Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours ... Edouard Driault Affichage du livre entier - 1925 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 295 - Après une étude attentive des documents échangés entre les deux Gouvernements, les Plénipotentiaires sont tombés d'accord pour regretter que, cédant à des entraînements sur lesquels son patriotisme a pu l'égarer, la Grèce ait donné lieu aux griefs articulés par la Porte Ottomane dans l'ultimatum remis le 11 décembre 1868 au Ministre des Affaires étrangères de SM le Roi des Hellènes.
Page 505 - Le Congrès invite la Sublime Porte à s'entendre avec la Grèce pour une rectification de frontières en Thessalie et en Epire, et est d'avis que cette rectification pourrait suivre la vallée du Salamyrias (ancien Peneus) sur le versant de la mer Egée, et celle du Kalamas du côté de la mer Ionienne.
Page 302 - ... contenu de la Déclaration et de votre communication. Le Gouvernement du Roi a vu avec regret que le Ministre de Sa Majesté à Paris n'a pu prendre part aux travaux de la Conférence, par suite de la position d'infériorité qui lui a été faite vis-à-vis du Plénipotentiaire de Turquie.
Page 296 - La Grèce devra donc s'abstenir désormais de favoriser ou de tolérer : « 1° La formation, sur son territoire, de toute bande armée en vue d'une agression contre la Turquie ; « 2° l'armement, dans ses ports, de bâtiments destinés à secourir, sous quelque forme que ce soit, toute tentative d'insurrection dans les possessions de SM le Sultan.
Page 501 - Les vœux du Gouvernement du Roi ne s'opposent ni aux intérêts de l'Europe ni à ceux de l'Etat voisin. Leur satisfaction serait l'accomplissement de la volonté ferme et tenace des populations de ces Provinces et donnerait le calme et une existence tenable au Royaume.
Page 219 - Turquie elle-même, car il est indissolublement lié au bien-être et à la tranquillité des populations placées sous le sceptre du Sultan. Les Cabinets appréhendent que la prolongation de ce sanglant conflit et la résistance obstinée de la Porte à d'amicales exhortations ne dissipent chez ces populations, au moment même où elles s'y rattachaient le plus fortement, l'espoir d'une amélioration véritable de leur sort, précipitant ainsi en Orient la crise qu'ils ont à cœur d'éviter.
Page 296 - Le paragraphe suivant est ainsi conçu : " Quant aux dommages privés encourus par des sujets ottomans, le Gouvernement hellénique ne contestant nullement à la Turquie le droit de faire poursuivre, par la voie judiciaire, les réparations qui pourraient être dues, et la Turquie acceptant, de son côté, la juridiction des tribunaux grecs, les Plénipotentiaires ne croient pas devoir entrer dans I eiamen des faits , et sont d'avis que le Cabinet d'Athènes ne doit négliger aucune des voies légales...
Page 295 - Persuadée d'ailleurs que le cabinet d'Athènes ne saurait méconnaître la pensée qui inspire cette appréciation aux trois cours protectrices de la Grèce, comme à toutes les autres puissances signataires du traité de 1856, la conférence déclare que le gouvernement hellénique est tenu d'observer, dans ses rapports avec la Turquie, les règles de conduite communes à tous les gouvernements, et de satisfaire ainsi aux réclamations formulées par la Sublime-Porte pour le passé, en la rassurant...
Page 102 - Porte-Ottomane, seront élargies par l'annexion des îles Ioniennes au royaume Grec, dès que cette annexion, proposée par le Gouvernement de Sa Majesté Britannique, aura été reconnue conforme aux...
Page 219 - Dès lors, sans renoncer à la mission généreuse que leur conscience leur impose, il ne leur reste plus qu'à dégager leur responsabilité en abandonnant la Porte aux conséquences possibles de ses actes. Dans la voie qu'il a choisie', et dans laquelle il persévère, le Gouvernement ottoman ne pouvait certainement pas compter sur une assistance matérielle de la part des Puissances chrétiennes. Mais les Cabinets, après avoir vainement tenté de l'éclairer, croient de leur devoir de lui déclarer...