Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours ...Les Presses universitaires de France, 1925 |
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... pourrait être rouverte . Un immense conflit pourrait en résulter . Ainsi s'expliquent ces paroles d'un di- plomate de Paris : « La révolution qui vient d'éclater en Grèce est un événement dont on ne saurait encore exhaler toute la ...
... pourrait être rouverte . Un immense conflit pourrait en résulter . Ainsi s'expliquent ces paroles d'un di- plomate de Paris : « La révolution qui vient d'éclater en Grèce est un événement dont on ne saurait encore exhaler toute la ...
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... pourrait courir le plus grave danger ( 3 ) » . D'après Bourée , la décision prise aurait été beaucoup plus importante : « Nous tombâmes d'accord tout d'abord , écrit - il , sans controverse préalable , sans hésitation et pour ainsi dire ...
... pourrait courir le plus grave danger ( 3 ) » . D'après Bourée , la décision prise aurait été beaucoup plus importante : « Nous tombâmes d'accord tout d'abord , écrit - il , sans controverse préalable , sans hésitation et pour ainsi dire ...
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... pourrait être appelé à succéder au roi Othon . L'Angleterre irait même jusqu'à consentir à recommander une pareille candidature * ( 4 ) . Mais elle ne se faisait pas d'illusion sur le peu de chances que cette proposition pourrait avoir ...
... pourrait être appelé à succéder au roi Othon . L'Angleterre irait même jusqu'à consentir à recommander une pareille candidature * ( 4 ) . Mais elle ne se faisait pas d'illusion sur le peu de chances que cette proposition pourrait avoir ...
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... pourrait se prévaloir , mais , sans doute pour que les Grecs ne restent pas les yeux fixés sur cet article et sur ce candidat , Palmerston et Russell proposent à Tricoupi d'autres princes , non pas Alfred , bien sûr , mais par exemple ...
... pourrait se prévaloir , mais , sans doute pour que les Grecs ne restent pas les yeux fixés sur cet article et sur ce candidat , Palmerston et Russell proposent à Tricoupi d'autres princes , non pas Alfred , bien sûr , mais par exemple ...
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... pourrait faire plus que pour Alfred , parce qu'elle y paraîtrait moins intéressée ( 4 ) . » Corfou ne serait pas ... pourraient suffire à la Grèce , qu'il lui faudrait une portion de l'Épire et de ( 1 ) Rap . russes de Paris , 3 déc ...
... pourrait faire plus que pour Alfred , parce qu'elle y paraîtrait moins intéressée ( 4 ) . » Corfou ne serait pas ... pourraient suffire à la Grèce , qu'il lui faudrait une portion de l'Épire et de ( 1 ) Rap . russes de Paris , 3 déc ...
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Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours ... Edouard Driault Affichage du livre entier - 1925 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 295 - Après une étude attentive des documents échangés entre les deux Gouvernements, les Plénipotentiaires sont tombés d'accord pour regretter que, cédant à des entraînements sur lesquels son patriotisme a pu l'égarer, la Grèce ait donné lieu aux griefs articulés par la Porte Ottomane dans l'ultimatum remis le 11 décembre 1868 au Ministre des Affaires étrangères de SM le Roi des Hellènes.
Page 505 - Le Congrès invite la Sublime Porte à s'entendre avec la Grèce pour une rectification de frontières en Thessalie et en Epire, et est d'avis que cette rectification pourrait suivre la vallée du Salamyrias (ancien Peneus) sur le versant de la mer Egée, et celle du Kalamas du côté de la mer Ionienne.
Page 302 - ... contenu de la Déclaration et de votre communication. Le Gouvernement du Roi a vu avec regret que le Ministre de Sa Majesté à Paris n'a pu prendre part aux travaux de la Conférence, par suite de la position d'infériorité qui lui a été faite vis-à-vis du Plénipotentiaire de Turquie.
Page 296 - La Grèce devra donc s'abstenir désormais de favoriser ou de tolérer : « 1° La formation, sur son territoire, de toute bande armée en vue d'une agression contre la Turquie ; « 2° l'armement, dans ses ports, de bâtiments destinés à secourir, sous quelque forme que ce soit, toute tentative d'insurrection dans les possessions de SM le Sultan.
Page 501 - Les vœux du Gouvernement du Roi ne s'opposent ni aux intérêts de l'Europe ni à ceux de l'Etat voisin. Leur satisfaction serait l'accomplissement de la volonté ferme et tenace des populations de ces Provinces et donnerait le calme et une existence tenable au Royaume.
Page 219 - Turquie elle-même, car il est indissolublement lié au bien-être et à la tranquillité des populations placées sous le sceptre du Sultan. Les Cabinets appréhendent que la prolongation de ce sanglant conflit et la résistance obstinée de la Porte à d'amicales exhortations ne dissipent chez ces populations, au moment même où elles s'y rattachaient le plus fortement, l'espoir d'une amélioration véritable de leur sort, précipitant ainsi en Orient la crise qu'ils ont à cœur d'éviter.
Page 296 - Le paragraphe suivant est ainsi conçu : " Quant aux dommages privés encourus par des sujets ottomans, le Gouvernement hellénique ne contestant nullement à la Turquie le droit de faire poursuivre, par la voie judiciaire, les réparations qui pourraient être dues, et la Turquie acceptant, de son côté, la juridiction des tribunaux grecs, les Plénipotentiaires ne croient pas devoir entrer dans I eiamen des faits , et sont d'avis que le Cabinet d'Athènes ne doit négliger aucune des voies légales...
Page 295 - Persuadée d'ailleurs que le cabinet d'Athènes ne saurait méconnaître la pensée qui inspire cette appréciation aux trois cours protectrices de la Grèce, comme à toutes les autres puissances signataires du traité de 1856, la conférence déclare que le gouvernement hellénique est tenu d'observer, dans ses rapports avec la Turquie, les règles de conduite communes à tous les gouvernements, et de satisfaire ainsi aux réclamations formulées par la Sublime-Porte pour le passé, en la rassurant...
Page 102 - Porte-Ottomane, seront élargies par l'annexion des îles Ioniennes au royaume Grec, dès que cette annexion, proposée par le Gouvernement de Sa Majesté Britannique, aura été reconnue conforme aux...
Page 219 - Dès lors, sans renoncer à la mission généreuse que leur conscience leur impose, il ne leur reste plus qu'à dégager leur responsabilité en abandonnant la Porte aux conséquences possibles de ses actes. Dans la voie qu'il a choisie', et dans laquelle il persévère, le Gouvernement ottoman ne pouvait certainement pas compter sur une assistance matérielle de la part des Puissances chrétiennes. Mais les Cabinets, après avoir vainement tenté de l'éclairer, croient de leur devoir de lui déclarer...