Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours ...Les Presses universitaires de France, 1925 |
À l'intérieur du livre
Page 106
... de la France , de la Grande - Bretagne , de la Prusse et de la Russie . La Prusse et l'Autriche , qui s'étaient refusées à reconnaître la nouvelle dynastie grecque , n'avaient pas voulu admettre la Grèce à négocier directement avec ...
... de la France , de la Grande - Bretagne , de la Prusse et de la Russie . La Prusse et l'Autriche , qui s'étaient refusées à reconnaître la nouvelle dynastie grecque , n'avaient pas voulu admettre la Grèce à négocier directement avec ...
Autres éditions - Tout afficher
Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours ... Edouard Driault Affichage du livre entier - 1925 |
Expressions et termes fréquents
Affaires angl anglais août assurances Athènes aurait avaient avant avril Berlin Bulgaris C'était cabinet chargé chrétiens compte conditions conférence congrès conseils Const Constantinople côté Coumoundouros cours Crète Crétois d'après d'Athènes D'autre déc décembre déclara Delyanni demandait démarche désir devait diplomates donner États étrangères faisait faveur fév fût général Georges Gortchakof gouv gouvernement grec gouvernement hellénique grec de Const grec de Londres grecques guerre îles Ioniennes Inst intérêts Ioniennes janv jours juil juin l'Angleterre l'Autriche l'hellénisme laisser lieu Londres mars ment mesure mettre ministre mois montrait n'avait n'était nationale note nouveau nouvelle ottoman parlait Pétersbourg Porte possible pourrait pouvait pouvoir premier présent prince pris projet propos provinces puissances qu'une question refus répondit représentants réserve rester russe d'Athènes Russell Russie s'en s'était s'il semblait sept serait Serbie seulement suivant sujet tard tél tion traité Tricoupi trouvait Turcs Turquie venir Vienne voulait
Fréquemment cités
Page 295 - Après une étude attentive des documents échangés entre les deux Gouvernements, les Plénipotentiaires sont tombés d'accord pour regretter que, cédant à des entraînements sur lesquels son patriotisme a pu l'égarer, la Grèce ait donné lieu aux griefs articulés par la Porte Ottomane dans l'ultimatum remis le 11 décembre 1868 au Ministre des Affaires étrangères de SM le Roi des Hellènes.
Page 505 - Le Congrès invite la Sublime Porte à s'entendre avec la Grèce pour une rectification de frontières en Thessalie et en Epire, et est d'avis que cette rectification pourrait suivre la vallée du Salamyrias (ancien Peneus) sur le versant de la mer Egée, et celle du Kalamas du côté de la mer Ionienne.
Page 302 - ... contenu de la Déclaration et de votre communication. Le Gouvernement du Roi a vu avec regret que le Ministre de Sa Majesté à Paris n'a pu prendre part aux travaux de la Conférence, par suite de la position d'infériorité qui lui a été faite vis-à-vis du Plénipotentiaire de Turquie.
Page 296 - La Grèce devra donc s'abstenir désormais de favoriser ou de tolérer : « 1° La formation, sur son territoire, de toute bande armée en vue d'une agression contre la Turquie ; « 2° l'armement, dans ses ports, de bâtiments destinés à secourir, sous quelque forme que ce soit, toute tentative d'insurrection dans les possessions de SM le Sultan.
Page 501 - Les vœux du Gouvernement du Roi ne s'opposent ni aux intérêts de l'Europe ni à ceux de l'Etat voisin. Leur satisfaction serait l'accomplissement de la volonté ferme et tenace des populations de ces Provinces et donnerait le calme et une existence tenable au Royaume.
Page 219 - Turquie elle-même, car il est indissolublement lié au bien-être et à la tranquillité des populations placées sous le sceptre du Sultan. Les Cabinets appréhendent que la prolongation de ce sanglant conflit et la résistance obstinée de la Porte à d'amicales exhortations ne dissipent chez ces populations, au moment même où elles s'y rattachaient le plus fortement, l'espoir d'une amélioration véritable de leur sort, précipitant ainsi en Orient la crise qu'ils ont à cœur d'éviter.
Page 296 - Le paragraphe suivant est ainsi conçu : " Quant aux dommages privés encourus par des sujets ottomans, le Gouvernement hellénique ne contestant nullement à la Turquie le droit de faire poursuivre, par la voie judiciaire, les réparations qui pourraient être dues, et la Turquie acceptant, de son côté, la juridiction des tribunaux grecs, les Plénipotentiaires ne croient pas devoir entrer dans I eiamen des faits , et sont d'avis que le Cabinet d'Athènes ne doit négliger aucune des voies légales...
Page 295 - Persuadée d'ailleurs que le cabinet d'Athènes ne saurait méconnaître la pensée qui inspire cette appréciation aux trois cours protectrices de la Grèce, comme à toutes les autres puissances signataires du traité de 1856, la conférence déclare que le gouvernement hellénique est tenu d'observer, dans ses rapports avec la Turquie, les règles de conduite communes à tous les gouvernements, et de satisfaire ainsi aux réclamations formulées par la Sublime-Porte pour le passé, en la rassurant...
Page 102 - Porte-Ottomane, seront élargies par l'annexion des îles Ioniennes au royaume Grec, dès que cette annexion, proposée par le Gouvernement de Sa Majesté Britannique, aura été reconnue conforme aux...
Page 219 - Dès lors, sans renoncer à la mission généreuse que leur conscience leur impose, il ne leur reste plus qu'à dégager leur responsabilité en abandonnant la Porte aux conséquences possibles de ses actes. Dans la voie qu'il a choisie', et dans laquelle il persévère, le Gouvernement ottoman ne pouvait certainement pas compter sur une assistance matérielle de la part des Puissances chrétiennes. Mais les Cabinets, après avoir vainement tenté de l'éclairer, croient de leur devoir de lui déclarer...