Oeuvres choises de Desportes, BertautF. Didot, 1823 - 319 pages |
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Page viii
... patrie de son ancien maître . Il y remercie , il y bénit cet excellent instituteur , non seulement d'avoir instruit et quidé son enfance , mais sur - tout d'avoir éclairé tous ses pas du flambeau des vertus ; enfin , s'écrie - t - il ...
... patrie de son ancien maître . Il y remercie , il y bénit cet excellent instituteur , non seulement d'avoir instruit et quidé son enfance , mais sur - tout d'avoir éclairé tous ses pas du flambeau des vertus ; enfin , s'écrie - t - il ...
Page xxiv
... patrie 2 . On sent tout de suite , au déclin de son goût et à l'appauvrissement de son imagination , qu'il n'a plus devant les yeux , ni ces grands modèles de ridicules que Paris lui offroit si complaisamment , ni les res- sources qu'il ...
... patrie 2 . On sent tout de suite , au déclin de son goût et à l'appauvrissement de son imagination , qu'il n'a plus devant les yeux , ni ces grands modèles de ridicules que Paris lui offroit si complaisamment , ni les res- sources qu'il ...
Page 91
... patrie , Non moins errants que ce peuple léger Semé par - tout , et par - tout étranger ! De ces malheurs les cygnes de la Seine N'ont - ils point eu des gages trop certains ? Et pour trouver ces lugubres destins Faut - il errer dans ...
... patrie , Non moins errants que ce peuple léger Semé par - tout , et par - tout étranger ! De ces malheurs les cygnes de la Seine N'ont - ils point eu des gages trop certains ? Et pour trouver ces lugubres destins Faut - il errer dans ...
Page 132
... patrie , Et qui , portant encor dans ton ame attendrie Du spectacle de mon malheur La douloureuse rêverie , Après mon péril même en conserves l'horreur , Renais , rappelle la douceur De ton alégresse chérie , Ma Minerve , ma tendre sœur ...
... patrie , Et qui , portant encor dans ton ame attendrie Du spectacle de mon malheur La douloureuse rêverie , Après mon péril même en conserves l'horreur , Renais , rappelle la douceur De ton alégresse chérie , Ma Minerve , ma tendre sœur ...
Page 148
... S'indigneroit si l'ineptie De tous ces vers de coterie , De fadeurs , de mauvais propos , Profanoit Crosne , sa patrie , Et , par des sons fastidieux , Troubloit le charme et l'harmonie De la fête de ces 148 SUR LE MARIAGE , etc.
... S'indigneroit si l'ineptie De tous ces vers de coterie , De fadeurs , de mauvais propos , Profanoit Crosne , sa patrie , Et , par des sons fastidieux , Troubloit le charme et l'harmonie De la fête de ces 148 SUR LE MARIAGE , etc.
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FRE-OEUVRES CHOISES DE DESPORT Philippe 1546-1606 Desportes,Jean Baptiste B. 1788 Pellissier, Ed,Jean Bp of Sees Bertaut, 1552-1611 Aucun aperçu disponible - 2016 |
Expressions et termes fréquents
affreux Aglaé aimable ALZONDE amour ARISTE ARONDEL avoit beau bonheur brillant C'étoit cagots chant charmant cher Chloé ciel CLÉON cœur connoissez connoître craint crime crois Crosne déja desirs destin dieux discours douleur ÉDOUARD ÉDOUARD III encens enfin ennuyeux Éole esprit étoit EUGÉNIE fleurs FLORISE foible foiblesse FRONTIN gens GÉRONTE GLASTON gloire goût grace Gresset Hélicon héros heureux ISMÈNE j'ai j'en jamais jour l'ame l'amitié l'amour l'ennui l'esprit l'univers laisse lieux LISETTE loin long-temps m'en madame maître malheur méchant mœurs Molière monde monsieur mort mortels muse nymphes par-tout parler paroître patrie peine pense père père Bougeant perroquet peuple plaire plaisir plaisirs poëte Pomone qu'un raison ridicule rien rimes sage sais SCÈNE VII secret seigneur séjour sentiment seroit seul sœurs soins sort sots succès talent tendre triste trône vais VALÈRE Ver-Vert vertu veux vient vœux voilà vois voix VOLFAX Voltaire VORCESTRE vrai yeux zéphyrs
Fréquemment cités
Page 402 - L'aigle d'une maison n'est qu'un sot dans une autre. Je dis ici qu'Éraste est un mauvais plaisant ; Eh bien , on dit ailleurs qu'Éraste est amusant. Si vous parlez des faits et des tracasseries , Je n'y vois dans le fond que des plaisanteries ; Et si vous attachez du crime à tout cela , Beaucoup d'honnêtes gens sont de ces fripons-là.
Page xxx - D'être au collège un bel esprit mondain, Et dans le monde un homme de collège ; Gresset dévot ; longtemps petit badin, Sanctifié par ses palinodies, II prétendait avec componction Qu'il avait fait jadis des comédies, Dont à la Vierge il demandait pardon. — Gresset se trompe, il n'est pas si coupable : Un vers heureux et d'un tour agréable Ne suffit pas ; il faut une action, De l'intérêt, du comique, une fable, Des mœurs du temps un portrait véritable, Pour consommer cette œuvre du...
Page 391 - L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; II sait que sur les arts , les esprits , et les goûts , Le jugement d'un seul n'est point la loi de tous , Qu'attendre est pour juger la règle la meilleure , Et que l'arrêt public est le seul qui demeure.
Page 341 - Soyez de votre siècle, ainsi que Cidalise : Ayez-la, c'est d'abord ce que vous lui devez > Et vous l'estimerez après si vous pouvez : Au reste affichez tout.
Page 415 - Autant qu'il faut de soins , d'égards , et de prudence Pour ne point accuser l'honneur et l'innocence, Autant il faut d'ardeur, d'inflexibilité Pour déférer un traître à la société; Et l'intérêt commun veut qu'on se réunisse Pour flétrir un méchant, pour en faire justice. J'instruirai l'univers de sa mauvaise foi , Sans me cacher; je veux qu'il sache que c'est moi : Un rapport clandestin n'est pas d'un honnête homme; Quand j'accuse quelqu'un , je le dois, et me nomme.
Page 391 - Mais à l'esprit méchant je ne vois point de gloire : Si vous saviez combien cet esprit est aisé , Combien il en faut peu , comme il est méprisé ! Le plus stupide obtient la même réussite : Eh ! pourquoi tant de gens ont-ils ce plat mérite:' Stérilité de l'âme , et de ce naturel Agréable, amusant, sans bassesse et sans fiel.
Page 304 - D'ailleurs, il est toujours de même avis que moi; Preuve que nos esprits étoieut faits l'un pour l'autre, Et qu'une sympathie, un goût comme le nôtre, Sont pour durer toujours ; et puis , j'aime ma sœur, Et quiconque lui plaît, convient à mon humeur : Elle n'amène ici que bonne compagnie ; Et, grâce à ses amis , jamais je ne m'ennuie. Quoi ! si Cléon étoit un homme décrié , L'aurois-je ici reçu? l'auroit-elle prié?
Page 188 - Je dois tous mes regrets aux sages que je quitte. J'en perds avec douleur l'entretien vertueux ; Et si dans leurs foyers désormais je n'habite, Mon cœur me survit auprès d'eux. Car ne les crois pas tels que la main de l'envie Les peint à des yeux prévenus ; Si tu ne les connais que sur ce qu'en publie La ténébreuse calomnie , IIs te sont encore inconnus. Lis, et vois de leurs mœurs des traits plus ingénus.
Page 354 - Pour t'avoir résisté Sur celui qui tantôt s'est ici présenté... Pour n'avoir pas voulu dire ce que j'ignore... LISETTE. Vous le savez très bien , je le répète encore : Vous aimez les secrets : moi, chacun a son goût, Je ne veux point d'amant qui ne me dise tout.
Page 401 - Vous verrez simplement que c'est quelque nuage ; Cela finit toujours par s'aimer davantage. Géronte a sur le cœur nos persécutions Sur un parti qu'en vain vous et moi conseillons. Moi, j'aime fort Valère, et je vois avec peine Qu'il se soit annoncé par donner une scène; Mais, soit dit entre nous, peut-on compter sur lui ? A bien examiner ce qu'il fait aujourd'hui, On imaginerait qu'il détruit notre ouvrage, Qu'il agit sourdement contre son mariage; II veut, il ne veut plus : sait-il ce qu'il...