Chansons de P.-J. de Béranger

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Perrotin, 1830 - 484 pages
 

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Fréquemment cités

Page 76 - Gai ! gai ! serrons nos rangs, Espérance De la France ; Gai ! gai ! serrons nos rangs ; En avant, Gaulois et Francs ! Renonçant à ses marais, Le Cosaque Qui bivouaque, Croit, sur la foi des Anglais, Se loger dans nos palais.
Page 282 - Oui, voilà les rives de France; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur. France adorée! Douce contrée! Après vingt ans enfin je te revois; De mon village Je vois la plage, Je vois fumer la cime de nos toits. Combien mon âme est attendrie!
Page 205 - Son coursier décharné De loin chez nous l'a ramené. Vers son vieux castel Ce noble mortel Marche en brandissant Un sabre innocent. Chapeau bas ! Chapeau bas ! Gloire au marquis de Carabas ! Aumôniers, châtelains, Vassaux, vavassaux et vilains, C'est moi, dit-il, c'est moi Qui seul ai rétabli mon roi. Mais s'il ne me rend Les droits de mon rang, Avec moi, corbleu ! Il verra beau jeu. Chapeau bas ! chapeau bas...
Page 410 - Mieux jour et nuit vaudrait tenir l'aiguille Que, faible écho, mourir en de vains sons." " Va," dit la fée, " à tort tu t'en alarmes ; De grands talents ont de moins beaux succès. Ses chants légers seront chers aux Français, Et du proscrit adouciront les larmes.
Page 30 - Rosé fit lit à part : Mais de la maison, ma foi, Le plns bean lit fnt ponr moi. Qnel bonnenr! Qnel bonbenr l Ab! ni • > u-,ii' le sénatenr, i»; 35 •* A l'enfant qne Dien m'envoie , Ponr parrain je l'ai donné.

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