II joignit l'art de plaire au malheur de médire : Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs Pouvait de sa piqûre adoucir les douleurs; Mais pour un lourd frelon méchamment imbécile ', Qui vit du mal qu'il fait, et nuit sans être utile, On... Oeuvres de M. de Voltaire - Page 25de Voltaire - 1775Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Voltaire - 1740 - 292 pages
...Paris, Et le prouvant très bien , du moins par fes écrits.. On put à Defpreaux pardonner la fatire j II joignit l'art de plaire au malheur de médire. ; Le miel que cette Abeille avoit tiré des fleurs; Pouvoit de fa piquure adoucir les douleurs : Mais., pour un lourd Frelon, méchamment... | |
| Voltaire - 1740 - 246 pages
...JEt le prouvant très bien , du moins par fes écrits. On put à Dcfpréaux pardonner la fatire ; Jl joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le miel que cette Abeille avoit tiré des fleurs, Pouvoit de fa piquure adoucir les douleurs : Mais , pour un lourd Frelon ,... | |
| Voltaire - 1757 - 430 pages
..., Et le prouvant très bien , du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; II joignit l'art de plaire au malheur de médire....cette abeille avait tiré des fleurs , Pouvait de Ci -piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frêlon , méchamment imbéctlle , Qui vit du... | |
| Voltaire, Claude Villaret - 1759 - 300 pages
...fTline Lettre écrite à un Académicien de Berlin•» Oh peut à Defpréaux pardonner la fatyre, 1I joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le miel que cette abeille ayait tiré des fleurs , Pouvait de fa piquure adoucir les douleurs. Mais gour un lourd frelon , méchamment... | |
| Voltaire, Claude Villaret - 1760 - 310 pages
...Académicien de Berlin. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre, II joignit l'art de plaire au plaifir de médire. Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs , Pouvait de fa piquure adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon méchamment imbécille , Qui vit du mal qu'il... | |
| Voltaire - 1757 - 440 pages
...Et le prouvant très bien , du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; Il joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le...cette abeille avait tiré des fleurs , Pouvait de Ci piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon , méchamment imbécille , Qui vit du mal... | |
| Voltaire - 1766 - 388 pages
...Sont le loyer de quiconque ofe écrire Oy peut à Defpréau* pardonner la. fa~ tyre : 11 joignit tan de plaire au malheur de médire. Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs, • Pouvait de la piquure adoucir les doit-' leurs : Mais pour un lourd frélon , méchamment imbécile t Qui vit... | |
| Voltaire - 1770 - 484 pages
...Et le prouvant très bien, du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; Il joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le...piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frélon, méchamment imbécile, Qui vit du mal qu'il fait , & nuit fans être utile , On écrafe à... | |
| Voltaire - 1771 - 464 pages
...le prouvant très-bien , du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; ïl joignit l'art 'de plaire au malheur de médire. Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs, TROISIEME i) i à c ô uk S.Pouvait de fa piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon,... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine), abbé Martin - 1772 - 482 pages
...maniere de le dire fournit des armes légitimes contre foi. On peut à Defpreaux pardonner la Satyre , II joignit l'art de plaire au malheur de médire, Le miel que cette Abeille avoit tire des fleurs , Pouvoir de fa piqûure adoucir les douleurs *. Mais Gacon & tous fes Imitateurs... | |
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