Revue du Lyonnais, Volume 16L. Boitel., 1858 |
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Page 12
... coup d'œil , qu'on pourrait encore ( 1 ) Martial , livre I , épig ( 2 ) Juvénal , sat . III , v . magna parte sui . ( 3 ) Epist . XCI . 162 : El scalis habito tribus sed altis . 198. Nos urbem colimus tenui tibicine fullam , juger de l ...
... coup d'œil , qu'on pourrait encore ( 1 ) Martial , livre I , épig ( 2 ) Juvénal , sat . III , v . magna parte sui . ( 3 ) Epist . XCI . 162 : El scalis habito tribus sed altis . 198. Nos urbem colimus tenui tibicine fullam , juger de l ...
Page 41
... coup que le roi a disposé de sa main pour un jeune gentilhomme dont elle ignore le nom , et qui n'est au- tre que Don Juan lui - même ; c'est une grâce que le vieux Tenorio a obtenue ; mais son fils même n'en est pas encore instruit ...
... coup que le roi a disposé de sa main pour un jeune gentilhomme dont elle ignore le nom , et qui n'est au- tre que Don Juan lui - même ; c'est une grâce que le vieux Tenorio a obtenue ; mais son fils même n'en est pas encore instruit ...
Page 46
... coup de dague . Mais c'est en vain ; je ne frapperais que l'air . Je n'ai point outragé ta fille , elle a découvert ma ruse avant que j'aie pu en profiter . LE COMM . Qu'importe . Ne voulais - tu pas consommer le crime ? D. JUAN ...
... coup de dague . Mais c'est en vain ; je ne frapperais que l'air . Je n'ai point outragé ta fille , elle a découvert ma ruse avant que j'aie pu en profiter . LE COMM . Qu'importe . Ne voulais - tu pas consommer le crime ? D. JUAN ...
Page 47
... coup sous les pas de Don Juan pour l'entraîner avec elle dans l'abime , Don Juan , sous l'étreinte de la main du Com- mandeur , ne pousse qu'un cri arraché par la douleur physi- que ; il ne témoigne aucun repentir ; il tombe frappé ...
... coup sous les pas de Don Juan pour l'entraîner avec elle dans l'abime , Don Juan , sous l'étreinte de la main du Com- mandeur , ne pousse qu'un cri arraché par la douleur physi- que ; il ne témoigne aucun repentir ; il tombe frappé ...
Page 62
... coup mortel à notre industrie nationale . En remontant à la source on ne tarde pas à s'apercevoir du peu de fondement de cette opi- nion . En premier lieu , il ne faut pas perdre de vue que , dans la plupart des corporations , les ...
... coup mortel à notre industrie nationale . En remontant à la source on ne tarde pas à s'apercevoir du peu de fondement de cette opi- nion . En premier lieu , il ne faut pas perdre de vue que , dans la plupart des corporations , les ...
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Expressions et termes fréquents
Allobroges âme artistes assez avaient beau c'était cause Chaize Charlieu charme choses cité classes cœur Compagnie Compagnie de Jésus comte de Lezay Condrieu Daremberg Dauphiné département Desevelinges devant dire doctrine Don Juan Duparay eût famille Galien général gens Hippocrate Hist hommes inscription j'ai jansénisme Jansenius Jardin-des-Plantes Jehan Jésuites jeune jeunesse jour l'abbé Maynard l'Académie l'âme l'Église l'esprit l'homme laissé Laprade Leibniz lettres Lezay littéraire livre Louis XIV Lugdunum Lyon main médecine ment mille mœurs monument morale nature naumachie noble nombre œuvres Pascal passer pays paysage peinture pensée père Pergame Péricaud peuple philosophie place poète population porte position pouvait préfet premier protestants province Provinciales qu'un question raison religieux René Chartier reste Rhône rien Romains Rome saint Saint-Cyran salon Saône scène science secte semble sentiment serait seulement société sorte souvent suivant surtout talent territoire théâtre tion Tirso de Molina traité travail trouve Victor de Laprade villes XVIIe siècle
Fréquemment cités
Page 105 - ... pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi et à ne rien faire. Personne presque n'a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires. Il ne manque cependant à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler.
Page 143 - ... j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants, qui volent perpétuellement de victoire en victoire et ne peuvent se résoudre à borner leurs souhaits. Il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens un cœur à aimer toute la terre; et, comme Alexandre, je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes, pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses.
Page 144 - Voilà qui est étrange, et tu es bien mal reconnu de tes soins, Ah ! ah ! je m'en vais te donner un louis d'or tout à l'heure, pourvu que tu veuilles jurer.
Page 96 - ... est il des esprits ; si on ne les occupe à certain subiect qui les bride et contraigne, ils se iectent desreglez, par cy par là, dans le vague champ des imaginations...
Page 144 - C'est ainsi qu'il faut profiter des faiblesses des hommes, et qu'un sage esprit s'accommode aux vices de son siècle.
Page 96 - Comme nous voyons des terres oysives, si elles sont grasses et fertilles, foisonner en cent mille sortes d'herbes sauvages et inutiles, et que, pour les tenir en office, il les...
Page 147 - Mais toi, spectre énervé, toi, que faisais-tu d'elles? Ah! massacre et malheur! tu les aimais aussi, Toi! croyant toujours voir sur tes amours nouvelles Se lever le soleil de tes nuits éternelles, Te disant chaque soir : « Peut-être le voici » , Et l'attendant toujours, et vieillissant ainsi!
Page 488 - J'en parle comme savante, voyant combien les courtisans et les mondains sont détraqués depuis ces propositions de la grâce, disant à tous moments : Eh ! qu'importe-t-il comme l'on fait, puisque, si nous avons la grâce, nous serons sauvés, et, si nous ne l'avons pas, nous serons perdus?
Page 105 - Il faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d'esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi, et à ne rien faire. personne presque n'a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité , ni assez de fonds pour remplir le vide du temps , sans ce que le vulgaire appelle des affaires.
Page 144 - JUAN. Tu te moques: un homme qui prie le ciel tout le jour ne peut pas manquer d'être bien dans ses affaires. LE PAUVRE. Je vous assure, monsieur, que le plus souvent Je n'ai pas un morceau de pain à mettre sous les dents.