Oeuvres de Jean Rus, poète bordelais de la première moitié du XVIe siècle

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A. Claudin, 1875 - 73 pages
 

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Fréquemment cités

Page 64 - La belle rosé à Vénus consacrée L'œil et le sens de grand plaisir pourvoit, Si vous diray, dame qui tant m'agrée, Raison pourquoy de rouges
Page 49 - Mellin, qui pris ton nom de la douceur du miel Qu'au berceau tu mangeas, quand, en lieu de nourrice, L'abeille te
Page 1 - (Histoire et Mémoires de l'Académie royale des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, t.
Page 37 - Tant que chascung qui la voyoit, soubdain S'esbahissoit de veoir si belle chose. L'ung dict qu'elle est paincte ; l'autre suppose Que Venus l'a de rechief enrougie : Je leur diz lors : « Amys, ne soyez mye Tant esbahiz de ceste nouveaulté : Elle a touché aux lebvres de mamye D'où elle a prins sa frescheur et beaulté.
Page 1 - n'est cité ni par La Croix du Maine, ni par Du Verdier, ni par Colletet,
Page 4 - lyricques. — Epigrammes. — Les douze Labeurs d'Hercules. — Epistre au nom de Monsieur le Daulphin de France. — Chant .royal, par lequel la fleur de l'Esglantine fut gaignée à Tholoze.
Page 65 - Pour faire voir en un tableau Cytherée à la blonde tresse, Zeuxis print jadis le plus beau Des plus belles filles de Grèce,
Page 37 - de rechief enrougie : Je leur diz lors : « Amys, ne soyez mye Tant esbahiz de ceste nouveaulté : Elle a touché aux lebvres de mamye D'où elle a prins sa frescheur et beaulté.

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