Archéologie navale, Volume 1

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A. Bertrand, 1840
 

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Fréquemment cités

Page 236 - Léon dont nous traduisons le texte de notre mieux, « soit long, « large en proportion de sa longueur, et porte deux « rangs de rames, l'un supérieur, l'autre inférieur. « Que chaque rangée ait au moins vingt-cinq bancs « pour asseoir les rameurs , l'une de ces rangées à « droite, l'autre à gauche. Que le nombre des sol« dats et des rameurs, rameurs et soldats tout à la « fois, soit de cent en comprenant les deux rangs.
Page 205 - En l'eve la metant sans plus, Et li festu/. la tient desus; Puis se torne la pointe toute Contre l'estoile si sanz doute Que jà nus liom n'en doutera Ne jà por rien ne fausera.
Page 208 - Li maronier qui vont en frise En Gresse, en Acre ou en Venisse Sevent par li toute la voie : Pour nule riens ne se desvoie, Tout jours se tient en une moie Tant est de li grans li servisse, Se la mers est enflée ou koie Jà ne sera c'on ne le voie Ne pour galerne ne pour bise. Pour bise ne pour autre afaire Ne laist sen dout...
Page 206 - C'on ne voit estoile ne lune , Dont font à l'aguille alumer , Puis n'ont -il garde d'esgarer: Contre l'estoile va la pointe, Por ce sont li marinier cointe . De la droite voie, tenir. C'est uns ars, qui ne puet faillir.
Page 88 - ... en ce pays. Les bateaux dont on se sert pour se rendre à Babylone sont faits avec des peaux, et de forme ronde. On les fabrique dans la partie de l'Arménie qui est au-dessus de l'Assyrie, avec des saules dont on forme la carène et les varangues, qu'on revêt par dehors de peaux à qui on donne la figure d'un plancher.
Page 217 - Qui de nos remistrent irées. Là quidames joius sigler; Mais orrible nos fu la mer E perilluse e de mal aire, Tuit nos furent li vent contraire...
Page 450 - Il ya une espèce de navires particuliers dont usaient nos ennemis, en forme plus longue que ronde, et plus étroite beaucoup que les galères, pour mieux se régir et commander aux courantes, qui sont ordinaires en cette mer; à quoi les hommes sont si duits, qu'avec ces vaisseaux ils contendent de vitesse avec les galères et les nomment remberges.
Page 209 - C'a l'aimant fait le fer traire, Si que par forche et par droiture Et par ruille qui toujours dure Seveot le liu de son repaire.
Page 194 - Covre[nt] le d'un plaie roié. Li venz est en la mer levé E fert sei en mi liu del tref, A terre fait venir la nef. Ysolt est de la nef issue, Ot les granz plaintes en la rue, Les seinz as musters, as chapeles ; Demande as humes quels novel[e]s, Pur quei il funt tel sonéiz E de quei seit li pluréiz.
Page 205 - Une pierre laide et brunière, Où li fers volontiers se joint Ont; si esgardent le droit point, Puis c'une aguile i ont touchié Et en un festu l'ont couchié En l'eve la metant sans plus, Et li festu/.

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