II marchait, seul, rêveur, captif des vagues sombres. Sur les monts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier, L'œil encore ébloui des batailles d'hier, II laissait sa pensée errer à l'aventure. L'expiation - Page 23de Victor Hugo - 1879 - 46 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Victor Hugo - 1853 - 410 pages
...cieux, triste et fier. L'œil encore ébloui des batailles d'bier, II laissait sa pensée errer it l'aventure. Grandeur, gloire, ô néant! calme de...qui passaient ne le connaissaient pas. Les rois, ses guicbetiers, avaient pris un compas Et l'avaient enfermé dans un cercle inflexible. II expirait. La... | |
| Victor Hugo - 1853 - 396 pages
...monts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier, L'œil encore ébloui des batailles d'hier, Il laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur, gloire, ô néant ! calme de la nature l Les aigles qui passaient ne le connaissaient pas. Les rois, ses guichetiers, avaient pris un compas... | |
| Victor Hugo - 1862 - 276 pages
...monts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier, L'œil encore ébloui des batailles d'hier, Il laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur, gloire, ô néant ! calme de la naturel Des aigles qui passaient ne le connaissaient pas. Les rois, ses guichetiers, avaient pris un... | |
| A. J. Theys - 1896 - 292 pages
...d'œil Quarante ans sont passés et ce coin de la terre Waterloo, ce plateau funèbre et solitaire... Les aigles qui passaient ne le connaissaient pas....rois, ses guichetiers, avaient pris un compas... Et fait râler d'horreur les agrès effarés... £ieiit fondre et s'enfoncer le bâtiment qui plonge,... | |
| Henri Sensine - 1902 - 736 pages
...monts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier. L'œil encore ébloui des batailles d'hier, II laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur,...Les aigles qui passaient ne le connaissaient pas. Des rois, ses guichetiers, avaient pris un compas Et l'avaient enfermé dans un cercle inflexible.... | |
| Angelo Brofferio - 1902 - 588 pages
...morts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier, L'œil encore ébloui des batailles d'hier, II laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur, gloire, ô néant! calme de la nature! Des aigles qui passaient, ne le connaissaient pas. Les rois, ses guichetiers, avaient pris un compas... | |
| 1907 - 536 pages
...ébloui des batailles d'hier, II laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur, gloire, ô néant I calme de la nature ! Les aigles qui passaient ne le...compas Et l'avaient enfermé dans un cercle inflexible. 11 expirait. La mort de plus en plus visible Se levait dans sa nuit et croissait à ses yeux, Comme... | |
| Victor Hugo - 1908 - 290 pages
...monts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier, L'oeil encore ébloui des batailles d'hier, Il laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur, gloire, ô néant! calme de la nature! 185 Les aigles qui passaient ne le connaissaient pas. Les rois, ses guichetiers, avaient pris un compas... | |
| Victor Hugo - 1908 - 298 pages
...monts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier, L'œil encore ébloui des batailles d'hier, Il laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur, gloire, ô néant! calme de la nature! 183 Les aigles qui passaient ne le connaissaient pas. Les rois, ses guichetiers, avaient pris un compas... | |
| Régis Michuad - 1910 - 456 pages
...monts, sur les flots, sur les cieux, triste et fier, L'œil encore ébloui des batailles d'hier, II laissait sa pensée errer à l'aventure. Grandeur,...Les aigles qui passaient ne le connaissaient pas. ao , , Les rois, ses guïchetiers, avaient pris un compas I£t l'avaient enfermé dans un cercle inflexible.... | |
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