Oeuvres philosophiques de Descartes: publiées d'après les textes originaux avec notices, sommaires et éclaircissemens, Volume 1Librairie classique et élémentaire de L. Hachette, 1835 |
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Page xiii
... croire que Descartes n'avait point quitté sa retraite , à moins qu'il n'ait travaillé jusque sur le champ de bataille , à son inventum mirabile . En 1621 nous le voyons engagé sous les ordres du comte de Bucquoy , qu'il paraît avoir ...
... croire que Descartes n'avait point quitté sa retraite , à moins qu'il n'ait travaillé jusque sur le champ de bataille , à son inventum mirabile . En 1621 nous le voyons engagé sous les ordres du comte de Bucquoy , qu'il paraît avoir ...
Page xxix
... croire que le P. Scheiner même en son ame ne croie l'opinion de Copernic : ce qui m'étonne de telle sorte que je n'en ose écrire mon sentiment . Pour moi je ne cherche que le repos et la tranquillité d'esprit , qui sont des biens qui ne ...
... croire que le P. Scheiner même en son ame ne croie l'opinion de Copernic : ce qui m'étonne de telle sorte que je n'en ose écrire mon sentiment . Pour moi je ne cherche que le repos et la tranquillité d'esprit , qui sont des biens qui ne ...
Page liv
... croire cependant que Descartes fût ab- solument dépourvu d'érudition philosophique . Il nous a dit lui - même que , dès le collége , il avait lu tous les livres qui traitaient des matières les plus rares et les plus curieuses . Il cite ...
... croire cependant que Descartes fût ab- solument dépourvu d'érudition philosophique . Il nous a dit lui - même que , dès le collége , il avait lu tous les livres qui traitaient des matières les plus rares et les plus curieuses . Il cite ...
Page lvii
... croire qu'il leur soit permis de nous attaquer par des écrits pu- blics , et de nous charger d'injures outrageuses , sans qu'à nous autres , chétifs et misérables , il nous soit accordé d'ou- vrir la bouche pour la juste et légitime ...
... croire qu'il leur soit permis de nous attaquer par des écrits pu- blics , et de nous charger d'injures outrageuses , sans qu'à nous autres , chétifs et misérables , il nous soit accordé d'ou- vrir la bouche pour la juste et légitime ...
Page lviii
... croire que pour m'être plaint à vous des injures que l'on m'a faites il soit juste que j'en reçoive encore de plus grandes : or ce que je demande de votre justice et de votre clémence est que vos deux théologiens soient obligés de se ...
... croire que pour m'être plaint à vous des injures que l'on m'a faites il soit juste que j'en reçoive encore de plus grandes : or ce que je demande de votre justice et de votre clémence est que vos deux théologiens soient obligés de se ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Addition au texte aisément Aristote assez avons c'est-à-dire cause cerveau chaleur chose qui pense choses corporelles clairement et distinctement Clerselier cœur concevoir conçois connaissance connaître considérer corps coutume croire d'autres d'avec démontrer dépendent Descartes dessein dire diverses douleur doute écrits effet Elzevier esprit évident excite existe façon faculté figure fût Gassendi géométrie glande pinéale haine Henri Leroy hommes idées Idem imaginer infinité j'ai j'avais jamais joie jugemens juger l'esprit l'existence de Dieu l'idée Lettre libre arbitre ment Méthode moi-même monde mouvemens mouvement n'ai n'y a rien nature néanmoins nécessaire nerfs notions objets opinions pable Passions de l'ame perceptions père Mersenne perfection persuader peut-être peuvent philosophie première principes puisse qu'une quelquefois raison remarque René Descartes s'il sang saurait savoir sciences semblables semble sens sentimens sentir serait seulement sorte substance tence texte latin tion touchant toutefois tristesse trom trompe trouve veines vérité vois volonté vrai
Fréquemment cités
Page 47 - ... par laquelle connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des cieux et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.
Page clix - SCIENCES. (i)Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée; car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont.
Page 10 - Ces longues chaînes de raisons toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations, m'avaient donné occasion de m'imaginer que toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres, il n'y en peut avoir...
Page clx - ... la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. Car ce n'est pas assez d'avoir l'esprit bon, mais le principal est de l'appliquer bien.
Page 2 - C'est pourquoi, sitôt que l'âge me permit de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l'étude des lettres; et, me résolvant de ne chercher plus d'autre science que celle qui se pourrait trouver en moi-même ou bien dans le grand livre du monde, j'employai le reste de ma jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des gens de diverses humeurs et conditions, à recueillir diverses expériences...
Page 96 - C'est une chose qui doute, qui entend, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent.
Page 60 - Et si j'écris en français, qui est l'a langue de mon pays, plutôt qu'en latin, qui est celle de mes précepteurs, c'est à cause que j'espère que ceux qui ne se servent que de leur raison naturelle toute pure jugeront mieux de mes opinions que ceux qui ne croient qu'aux livres anciens...
Page 22 - Et enfin, considérant que toutes les mêmes pensées que 20 nous avons étant éveillés nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune pour lors qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes.
Page 22 - Puis examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point...
Page 17 - Mais j'avoue qu'il est besoin d'un long exercice et d'une méditation souvent réitérée pour s'accoutumer à regarder de ce biais toutes les choses : et je crois que c'est principalement en ceci que consistait le secret de ces philosophes qui ont pu autrefois se soustraire de l'empire de la fortune, et, malgré les douleurs et la pauvreté, disputer de la félicité avec leurs dieux.