| Pons Augustin Alletz - 1749 - 480 pages
...fierté, Même elle avoit eneor cet éclat emprunté Dont elle eut foin de peindre & d'orner fon vifage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi r Le cruel Dieu des Juifs l'emporte auffi fur toii. Je te plains de tomber dans les mains redouta*... | |
| Jean Racine - 1767 - 444 pages
...Même die avoit encor cet éclat emprunté , Dont elle eut loin de peindre & d'orner fon vifàge , Pour, réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble...dit , fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs [emporte auffi fur toi. Je te plains de tombtf dtns Jes mains reàiut&bles , Ma fille. ,En achevant... | |
| Jean Racine - 1801 - 304 pages
...par-tout ; par-tout il me poursuit. C'étoit pendant l'horreur d'une profonde nnit ; Ma mere Jézabel devant moi s'est montrée, Comme au jour de sa mort, pompeusement parée : Ses malheurs n'avoient point abattu sa fierté; Même elle avoit encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de... | |
| Roch Ambroise Sicard - 1801 - 594 pages
...cache les murs » l PENDANT. H C'e'toit PISTANT l'horreur d'une profonde nuit. » Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée , » Comme au jour de sa mort . pompeusement parée ». POUR. Il ya une grande analogie entre cette préposition et la première de toutes , la préposition... | |
| Roch Ambroise Sicard - 1801 - 674 pages
...les murs » ! PENDANT. •« CVtoit PERDANT l'horreur d'une profonde nuit. » Ma in • i Jézabel devant moi s'est montrée . » Comme au jour de sa mort , pompeusement parée POUR. Il ya une grande analogie entre cette préposition et la première de toutes, la préposition... | |
| François-René “de” Chateaubriand - 1802 - 360 pages
...sa mort pompeusement parée ', Ses malheurs n'avoient point abattu sa fierté : ^. Même elle avoit encor cet éclat emprunté , Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage, Pour réparer de» ans l'irréparable outrage. ' <i Tremble, m'at-elle dit , fille digne de moi , n Le cruel Dieo... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1802 - 354 pages
...son rêve à Abner et à Mathan. C'étoit pendant l'horreur d'une profonde nuit ; Ma mère Jésabel devant moi s'est montrée , Comme au jour de sa mort pompeusement parée j Ses malheurs n'avoient point abattu sa fierté : Même elle avoit encor cet éclat emprunté , Dont... | |
| Ludwig Ideler - 1804 - 658 pages
..._____________ - . - \ • Ses malheurs n'avoient point abattu sa fierté, £' Même elle avoit en cor .cet éclat emprunté, Dont elle eut soin de peindre...l'irréparable outrage. Tremble, m'at-elle dit, fille digne de mof. La cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je ce plains de tomber dans ses mains redoutables,... | |
| Jean Racine - 1805 - 348 pages
...Ma mère Jézahel devant moi s'est montrée , Comme an jour de sa mort , pompeusement parée : v -- malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même...Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage , Pov réparer des ans l'irréparable outrage ; l Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi ; 'Le... | |
| 1805 - 276 pages
...jourtle samort, pompeusement paréeî Ses malheurs n'avoient point abattu sa fierté ; Même elle avoit encor cet éclat emprunté (Dont elle eut soin de peindre et d'orner son ronge: Je l'évite par-tout; par-tout il me poursuit, 3>our réparer des ans l'irréparable outrage:... | |
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