Considérations sur les causes de la grandeur des Romains, et de leur décadence |
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... forces par son union avec les Sabins , peuples durs et belli- queux , comme les Lacédémoniens dont ils étoient descendus . Romulus 2 prit leur bou- clier qui étoit large , au lieu du petit bou- I Voyez l'étonnement de Denys d ...
... forces par son union avec les Sabins , peuples durs et belli- queux , comme les Lacédémoniens dont ils étoient descendus . Romulus 2 prit leur bou- clier qui étoit large , au lieu du petit bou- I Voyez l'étonnement de Denys d ...
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... un certain temps , de lui donner du blé et des habits . La prise de Rome par les Gaulois ne lui I I Voyez les traités qui furent faits . ota rien de ses forces : l'armée , plus dissipée 2 . DES ROMAINS . CHAPITRE I. 17.
... un certain temps , de lui donner du blé et des habits . La prise de Rome par les Gaulois ne lui I I Voyez les traités qui furent faits . ota rien de ses forces : l'armée , plus dissipée 2 . DES ROMAINS . CHAPITRE I. 17.
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Charles de Secondat baron de Montesquieu. ota rien de ses forces : l'armée , plus dissipée que vaincue , se retira presque entière à Veies ; le peuple se sauva dans les villes voi- sines ; et l'incendie de la ville ne fut que l'in ...
Charles de Secondat baron de Montesquieu. ota rien de ses forces : l'armée , plus dissipée que vaincue , se retira presque entière à Veies ; le peuple se sauva dans les villes voi- sines ; et l'incendie de la ville ne fut que l'in ...
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... force , et par des exer . cices qui leur donnoient de l'adresse , la- quelle n'est autre chose qu'une juste dispen- sation des forces que l'on a . Nous remarquons aujourd'hui que nos armées périssent beaucoup par le travail 2 immodéré ...
... force , et par des exer . cices qui leur donnoient de l'adresse , la- quelle n'est autre chose qu'une juste dispen- sation des forces que l'on a . Nous remarquons aujourd'hui que nos armées périssent beaucoup par le travail 2 immodéré ...
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... forces . Leurs troupes étant toujours les mieux disciplinées , il étoit difficile que , dans le combat le plus malheureux , ils ne se rallias- sent quelque part , ou que le désordre ne se mît quelque part chez les ennemis . Aussi les ...
... forces . Leurs troupes étant toujours les mieux disciplinées , il étoit difficile que , dans le combat le plus malheureux , ils ne se rallias- sent quelque part , ou que le désordre ne se mît quelque part chez les ennemis . Aussi les ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
alliés Annibal Antiochus Antoine armées armes Auguste auroit avoient avoit ayant barbares bataille bataille de Cannes blique c'étoit Carthage Carthaginois cavalerie César Chap choses Cicéron citoyens Comnène conquêtes Constantin Constantinople consuls continuellement coutume crimes d'abord d'Halicarnasse d'Italie Denys Denys d'Halicarnasse devoit Dion disoit donner empereurs empire ennemis établi état étoient étoit Etoliens eurent eût faisoient faisoit falloit firent foiblesse forces fût gens Goths gouvernement grandeur Grecs guerre punique guerres civiles Herniques hommes ibid Justinien l'empire légions lois Macédoine magistrats magistrature mains malheurs Marius mée ment militaire mille Mithridate monde n'avoient n'avoit n'étoient n'y avoit nations paix paroît Parthes patriciens pays Perses peuple romain Philippe Plutarque Polybe Pompée pouvoient pouvoit presque prince Procope provinces puissance qu'Annibal religion rent répu république rois Rome Samnites seconde guerre punique sénat seroit soldats suiv Sylla Syrie temps-là terre tion Tite-Live tribuns troupes tyrannie Végèce victoire villes vouloit Zosime
Fréquemment cités
Page 206 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent ou la précipitent ; tous les accidents sont soumis à ces causes ; et si le hasard d'une bataille, c'est-à-dire une cause particulière, a ruiné un État, il y avait une cause générale qui faisait que cet État devait périr par une seule bataille : en un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Page 118 - César; mais cet homme extraordinaire avait tant de grandes qualités, sans pas un défaut, quoiqu'il eût bien des vices , qu'il eût été bien difficile que , quelque armée qu'il eût commandée, il n'eût été vainqueur, et qu'en quelque république qu'il fût né, il ne l'eût gouvernée.
Page 101 - Ton ne croit voir que du trouble, c'est-àdire, une harmonie d'où résulte le bonheur, qui seul est la vraie paix. Il en est comme des parties de cet univers, éternellement liées par l'action des unes et la réaction des autres.
Page 148 - II n'ya point de plus cruelle tyrannie que celle que l'on exerce à l'ombre des lois, et avec les couleurs de la justice, lorsqu'on va pour ainsi dire noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s'étaient sauvés.
Page 261 - C'est une erreur de croire qu'il y ait dans le monde une autorité humaine, à tous les égards, despotique; il n'y en a jamais en, et il n'y en aura jamais : le pouvoir le plus immense est toujours borné par quelque coin.
Page 101 - Ce qu'on appelle union, dans un corps politique, est une chose très-équivoque ; la vraie est une union d'harmonie, qui fait que toutes les parties, quelque opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans la musique concourent à l'accord total.
Page 276 - Ce ne fut ni la crainte , ni la piété, qui établit la religion chez les Romains , mais la nécessité où sont toutes les sociétés d'en avoir une.
Page 34 - État plus près de sa ruine que l'indifférence pour le bien commun n'y met une république. L'avantage d'un État libre est que les revenus y sont mieux administrés; mais lorsqu'ils le sont plus mal, l'avantage d'un État libre est qu'il n'ya point de favoris; mais quand cela n'est pas, et qu'au lieu des amis...
Page 46 - D'un autre côté , le consul Térentius Varron avait fui honteusement jusqu'à Venouse : cet homme , de la plus basse naissance , n'avait été élevé au consulat que pour mortifier la noblesse. Mais le sénat ne voulut pas jouir de ce malheureux triomphe ; il vit combien il était nécessaire qu'il s'attirât dans cette occasion la confiance du peuple : il alla au-devant de Varron , et le remercia de ce qu'il n'avait pas désespéré de la république.
Page 205 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde ; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui...