Œuvres de Molière: Les facheux, comédie. L'école des femmes, comédie. L'impromptu de Versailles, comédie |
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Œuvres de Molière: Les facheux, comédie. L'école des femmes, comédie. L ... Molière Affichage du livre entier - 1876 |
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Fréquemment cités
Page 354 - Vous êtes de plaisantes gens avec vos règles, dont vous embarrassez les ignorants et nous étourdissez tous les jours. Il semble, à vous ouïr parler, que ces règles de l'art soient les plus grands mystères du monde ; et cependant ce ne sont que quelques observations aisées, que le bon sens a faites sur ce qui peut ôter le plaisir que l'on prend à ces sortes de poèmes ; et le même bon sens qui a fait autrefois ces observations les fait aisément tous les jours sans le secours d'Horace et...
Page 425 - Je leur abandonne de bon cœur mes ouvrages, ma figure, mes gestes, mes paroles, mon ton de voix et ma façon de réciter pour en faire et dire tout ce qu'il leur plaira, s'ils en peuvent tirer quelque avantage. Je ne m'oppose point à toutes ces choses et je serai ravi que cela puisse réjouir...
Page 33 - Tandis que là-dessus je haussais les épaules, Les acteurs ont voulu continuer leurs rôles : Mais l'homme pour s'asseoir a fait nouveau fracas; Et traversant encor le théâtre à grands pas, Bien que dans les côtés il pût être à son aise, Au milieu du devant il a planté sa chaise, Et de son large dos morguant* les spectateurs, Aux trois quarts du parterre a caché les acteurs.
Page 354 - Je voudrais bien savoir si la grande règle de toutes les règles n'est pas de plaire, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n'a pas suivi un bon chemin. Veut-on que tout un public s'abuse sur ces sortes de choses, et que chacun n'y soit pas juge du plaisir qu'il y prend...
Page 355 - Moquons-nous donc de cette chicane où ils veulent assujettir le goût du public, et ne consultons dans une comédie que l'effet qu'elle fait sur nous. Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 348 - Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature. On veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait, si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 335 - Mais le plus beau projet de notre académie, Une entreprise noble, et dont je suis ravie, Un dessein plein de gloire, et qui sera vanté Chez tous les beaux esprits de la postérité; C'est le retranchement de ces syllabes sales, Qui, dans les plus beaux mots, produisent des scandale?.
Page 379 - II n'était ni trop gras ni trop maigre; il avait la taille plus grande que petite, le port noble, la jambe belle; il marchait gravement, avait l'air très-sérieux, le nez gros, la bouche grande, les lèvres épaisses, le teint brun, les sourcils noirs et forts, et les divers mouvements qu'il leur donnait lui rendaient la physionomie extrêmement comique.
Page 361 - Pour ce qui est des enfants par l'oreille, ils ne sont plaisants que par réflexion à Arnolphe; et l'auteur n'a pas mis cela pour être de soi un bon mot, mais seulement pour une chose qui caractérise l'homme, et peint d'autant mieux son extravagance...
Page 167 - Je sais un paysan qu'on appelait Gros-Pierre, Qui, n'ayant pour tout bien qu'un seul quartier de terre, Y fit tout à l'entour faire un fossé bourbeux, Et de Monsieur de l'Isle en prit le nom pompeux.