II Réputation. Elle est le plus précieux de tous les biens humains, c. 121. On doit contribuer de bon cœur à la réputation des autres, 129et s. Il est quelquefois à propos de sacrifier sa propre réputation à l'utilité publique, 133. Périclès en fournit un exemple, 402 et suiv. Ressentiment. Les grands hommes de la Grèce sacrifiaient leur ressentiment à l'intérêt public, c. 420 ct 425 Khétorique. Comment on l'enseignait du temps de Quintilien, b. 3. Sources où il faut la puiser, 5. Si une année suffit pour l'enseigner, et pour la bien apprendre, RICHELIEU. Les philosophes modernes l'ont mal jugé, a. 156 Richesses. Ce qui fait qu'on les estime tant, c. 34. Cette estime est mal fondéc, ibid. et suiv. Véritable usage des richesses, Rime. Pourquoi elle est agréable dans les langues modernes, et insupportable dans la langue latine, a. 610. Comment elle s'est conservée dans les proses de l'office de l'église, ibid. Rivières. Origine des rivières, d. Rois. Ce que dit Homère du respect qui leur est dû, a. 733. Pourquoi ce poète les appelle pasteurs des peuples, 747 et suiv. ROLLIN. Sa vie, a. 1 et suiv. Son goût n'est jamais exclusif, 238. Son morceau sur Homère est de la meilleure littérature, 38 383 717 ROMAINS. Plus attentifs à conserver l'honneur des citoyens que celui des dieux, et pourquoi, a. 566. Reproche que leur en fait S. Augustin, ibid. Íls aimaient mieux être pauvres dans une république riche, que riches dans une république pauvre, c. 35. Ils jugèrent sainement des bâtimens dès le commencement, 50. Comment on peut diviser l'histoire romaine, 284 et suiv. Caractère des Romains, 545 et suiv. Sagesse de leurs mesures pour étendre l'empire, 547. Leur politique à l'égard des vaincus, 552. Leur amour pour l'agriculture, 568. Sagesse des lois des Romains, 573. Leur respect pour la religion, 575. Leur fidélité à garder les sermens, 576. Les Rontains refusent de racheter les prisonniers, et pourquoi, d. 19. Leur fermeté, 20. Les Romains surprennent les ambassadeurs que Philippe envoyait à Annibal, d. 48. Ils déclarent la guerre à Philippe roi do Macédoine, 49; à Antiochus, 54; à Persée, 69. Principaux caractères et principales vertus des Romains, par rapport à la guerre, 140. Equité et sage lenteur pour entreprendre la guerre, 146. Fermeté et constance dans une résoution prise et arrêtée, 148. Accoutumance aux travaux militaires; discipline sévère, etc. 150. Clémence et modération dans la victoire, 155. Courage et grandeur d'âme dans l'adversité, 158. Justice et bonne foi, principes du gouvernement romain, 160. Respect pour la religion, 170. Amour de la gloire, 173 ROME. Comment elle est devenue l'admiration de l'univers, a. 138 ROMULUS. Il eut toujours les armes à la main, et pourquoi, c. 546. Sa prudence pour étendre les bornes de son empire, 547, 548. Il établit une union entre toutes les partics de l'Etat, 558 Roscius, loué délicatement par Cicéron, b. ROUSSEAU (Jean-Baptiste). Rollin le blâme et le console, a. 58 Royauté, en aversion à Rome, et pourquoi, c. de la royauté, d. S. 273 58o. Origine 194 et suiv. Sacremens. Devoir d'un principal à l'égard de ses écoliers sur l'usage des sacremens, d. 590 et suiv. Sacrifices. Homère en décrit les cérémonies dans un grand détail, a. 719 et suiv. SAINT-REAL (M. l'Abbé de). Comment il traduit deux lettres de Cicéron à Atticus, a. 324, 335 SAINTE CROIX (M. de). Son opinion au sujet du voyage d'Alexandre à Jérusalem, c. 256 476 SALLUSTE. Eloge de cet historien, a. 475. Imité et vaincu par Tacite, SANNAZAR. Ce poète mêle le sacré avec le profane dans son poëme de Partu Virginis, a. 593 et suiv.. SANTEUIL Il s'excuse d'avoir fait l'apologie des fables, et d'avoir employé le nom de Pomone dans un de ses poëmes, a. 598 Sauce noire, le plus exquis de tous les mets de Sparte, c. 452 SCALIGER. Il fait bien remarquer tout l'art de Virgile dans sa : Poétique, a. 647 Science. Quand elle est seule, elle ne rend l'homme que plus. méprisable, c. 115. Ce qu'il y a dans la science capable de faire honneur, c'est le bon usage qu'on en fait, 117. Quels sont les caractères qui rendent un savant aimable, ibid. ets. SCIPION (Publ.). Il est blessé, et sauvé par son fils, est tué en Espagne, d. 7. 22, 23 22, 23 SCIPION (Cn.). Il est tué en Espagne, d. SCIPION (P.Corn. surnommé l'Africain), Son bouclier perdu au passage du Rhône et retrouvé en 1656, a. 168. Il est nommé général pour aller combattre en Espagne à l'âge de 24 ans, d. 23. Il se rend maître de Carthagène, 25. Sa conduite envers une jeune princesse qui était fiancée à Allucius, a. 166, 167; et d. 28 Il achève la conquête des Espagnes, il refuse le titre de roi, 31. Sa dextérité à manier les esprits, 32. Il est nommé consul, et porte la guerre en Afrique, 33. Son entrevue avec Annibal, 4i et suiv. Il termine la seconde guerre punique par un traité dont il dicte les conditions, 46.Il reçoit les honneurs du triomphe, ibid; sert sous son frère en qualité de lieutenant, 56. Il est accusé d'avo eu des intelligences avec Antiochus, 62. Sa mert, 67. Parallèle de Scipion et d'Annibal, 105 et suiv. Voy. ANNIBAL. Paroles de Scipion à Masinissa sur la continence, a. 166. Simplicité de ses bains louée et admirée par Sénèque, 164 SEIFION L'ASIATIQUE (Luc. Cor). Il fait la guerre contre Antiochus, et après l'avoir terminée, il reçoit les honneurs du triomphe, d. 56 et suiv. SCIPION EMILIEN, surnommé le second Africain. Son éducation et son portrait, par Vell. Paterculus, a. 144, 145. Son désintéressement et sa modestie, c. d 61 ༡ SEMPRONIUS, Consul, est vaincu par Annibal, SENAT de Sparte, c. 445, 446, 466. Sagesse des délibérations. du sénat de Rome 556 et suiv. Pouvoir du sénat à Rome, d. 182 ŞENÈQUE. Il développe les causes de la décadence du goût, a. 221. Il a contribué lui-même à cette décadence, 226. Üsage qu'il veut qu'on fasse de la lecture, 239. Jugement sur ses tragédies, 659. Caractère de son éloquence, b. 199. Ses réflexions sur une parole d'Auguste, touchant la difficulté de réparer la perte d'un ami, 209 et suiv. Sénèque s'est déshonoré par l'attachement qu'il avait pour les richesses, c 46. Sa mauvaise honte au sujet d'un chariot dont il se servait pour aller à sa maison de campagne, SENNACHÉRIB, roi des Assyriens. Histoire de la guerre qu'il fit à Ezéchias, c. 246 et suiv. La défaite de Sennacherib est la figure de la défaite des ennemis de l'Eglise, 267 et suiv. Sentiment. Voy. Prosopopée. 63 SIDONIENS. Jeunes Sidoniens qui refusent le sceptre qui leur est offert par Ephestion, c. 94 28 Siecle. Notre siècle est dans une infinité d'erreurs sur les vé- 730 suiv. SIRENES. Ce que c'était, et ce qu'Homère a voulu nous faire connaître par la fable des Sirènes, a. 751 et suiv. SISYPHE. Description de son tourment dans les enfers, a. 632 Sobriété. Adresse de Xénophon dans les leçons qu'il donne sur la sobriété, c. 328 Société. Devoirs de l'homme par rapport à la société, d. 337 SOCRATE. Pourquoi les Athéniens le traitèrent autrement qu'Aristophane, a. 565 SOLDAT. Belle et généreuse action d'un soldat qui servait dans l'armée du grand Condé, c. 144Soleil. Différence dans la manière dont en parlent Moïse et les prophètes, b 577 et suiv. Distance de la terre au soleil, d. 375 Sur. Les paiens en attribuaient l'effet à Jupiter, &. 759 98 Sortilège. Comment un laboureur romain se justifia de sortilège et de magie, b. SOZOMÈNE. Passage de son histoire ecclésiastique sur le temps où l'on donnait l'absolution, a. SPARTE. Elle commande à toute la Grèce, c. 465. Nature de 395 son gouvernement, 466. L'or et l'argent bannis de Sparte, 467. Voy. LACÉDÉMONE. Stade, mesure itinéraire. Il y en avait de plusieurs longueurs chez les anciens, d. 313 Statue. Quand le goût pour les statues s'introduisit à Rome, d. 208. Grande statue que vit Nabucodonosor en songe, et ce qu'elle signifiait, c. 270 et suiv. STILPON. Sa réponse à Démétrius Poliorcète, a. 446 Style. Le style fleuri est d'un très médiocre usage, b. 130. Variété du style de Cicéron, 131. Caractère du style des bons auteurs grecs, 132. Ce qu'est le style fleuri auprès de la grande et sublime éloquence, 135. Mot de Buffon sur le style, 220 Sublime. Préférence due au sublime, a. 675. Définition du sublime, par M. de la Mothe, b 101; par Boileau, 102. Différentes sortes de sublime, 106. Faux sublime ou enflure, 110. Combien les figures contribuent au sublime, 112. Endroits sublimes. de l'Ecriture sainte, 604 et suiv. SUÉTONE. Cet auteur donne une idée fausse du christianisme, a. 197. SYLLA. Son portrait, d. 227. Ses divisions avec Marius, 231. Cruautés inouies qu'il exerce dans Rome, 232. Sa mort, 234 Symétrie, dans l'arrangement et le rapport des mots qui se répondent mutuellement, b. 174 Syntaxe. L'usage qu'on en doit faire dans les classes, a. 480 SYPHAX, donne du secours aux Carthaginois, et est vaincu par Scipion, d. 37 el suiv. 370 Systeme du monde, d. Syllogisme. L'abus qu'on en a fait l'a trop décrédité. Sa néces→ sité et ses avantages, d. T. 354 Tableau. Quand et comment le goût des tableaux fut introduit dans Rome, d. 208 TACITE (l'historien ). Endroit où il parle des chrétiens a. 196. Lettres que Pline le jeune lui écrivit, 294. Tacite est le Thucydide latin, mais un Thucydide perfectionné, 476. Sage conduite qu'il recommande envers les mauvais princes, d. TACITE (l'empereur ). Il est élevé à l'empire malgré lui, c. 95 TARQUIN le superbe. Il jette les fondemens du Capitole, c. 5a 196 697 201 Tarifdes monnaies grecques, d. 317; des monnaies romaines. 318 481 THOMAS. Remarque sur le caractère de son style, b. 227 THOMASSIN. Comment ce Père justifie l'étude des poètes profanes, a. 576 THOU (le président de ). Modestie de la première présidente de Thou, c. 436 TILLEMONT. Réflexion de cet auteur sur l'indifférence des païens à l'égard du christianisme, a. 197. Il était toujours prêt à faire part de son travail aux autres, C. b. 120 .180 TIMÉE. Pensée froide de cet auteur, sur l'incendie du temple de 476 347 et 394 |