De Baden au Drakenfels-Récits et divagations

fin ne comptait pas et que je lui en devais un autre où je ne causerais pendant tout le temps qu'avec lui et où je ne ferais aucune rencontre. Le bon docteur lui-même me gronda un peu. Mon café était froid, j'étais coupable..

On voulut savoir ce qu'avait pu me dire de si long le personnage singulier qui m'avait abordé et ce qu'il était et où je l'avais connu. C'eût été sans fin de le raconter. Je promis à mon ami de l'écrire, et voilà comment il se fait, cher lecteur, que l'histoire de l'homme enrhumé se trouve mêlée sous tes yeux à celle du petit Paul.

Spa, 20 octobre 1858.

FIN

et des mouchoirs. Le petit Paul. .

II. Opinion du docteur sur les larmes des femmes.

Histoire de la première larme. Je quitte

Baden.

III. Digression et divagation à l'usage des lecteurs qui

ne sont pas pressés. Théorie de l'ordre et du

désordre.

IV. Seconde digression, où le lecteur qui ne voudra

pas perdre tout à fait le fil de ce récit fera bien

de me suivre.

Sagesse des fous et des enfants.

Une nièce de Charles Nodier. Quel est le
fruit du chêne?

V. Suite des deux divagations, autre exemple. — Ma-
demoiselle Thècle et le petit Chaperon-Rouge.

VI. Où il est démontré qu'il n'y a pas un mot de trop
dans ce qui précède et que ce qui a paru le plus
inutile était évidemment nécessaire. — Trajet de

VII. De la supériorité des brouillards allemands. - Une
idée du purgatoire. — Éloge de la pluie .

---

VIII. Les Allemands vus du mauvais côté. De la so-
Le vrai gain des voyages.

lennité.

IX. Les peuples se jugent sans se connaître.

X. Méditation.

XI. Où l'on entrevoit l'homme enrhumé.-Conséquence
d'un rêve de jeunesse.-Triste sort d'un journal.
XII. Réponse de l'ombre.- Commencement de l'histoire
d'un homme enrhumé.Présence d'esprit d'une
vieille Anglaise.

XIII. Maxima in minimis.

La cabine des fumeurs.

Confidences. Lettre de la femme de l'homme
enrhumé à son mari.

XIV. De Bingen à Coblence.

Ems à onze heures du soir.

villa Balzer.

XV. Réveil à Ems..