Images de page
PDF
ePub

21. ONCTIONS SUR LA FACE ET AUX ANGLES DE L'AUTEL.

Voir page 104, no 42.

22. BÉNÉDICTION DES NAPPES ET DES
ORNEMENTS.

Voir page 110, no 43.

23. ORNEMENTATION DE L'AUTEL.

Voir page 111, no 44.

24. DERNIER ENCENSEMENT DE L'AUTEL.

Voir page 115, no 45.

L'Évêque prend ensuite les ornements pontificaux et célèbre la messe de la dédicace.

II.

CONSECRATION D'UNE ÉGLISE.

CONSECRATION D'UNE ÉGLISE.

OBSERVATIONS PRÉLIMINAIRES.

1. Autel.

I. CE QU'IL FAUT PRÉVOIR.

La première condition pour procéder à la consécration d'une église, c'est que le maître-autel au moins soit fixe et prêt à être consacré. (S. R. C. Gardellini, article dedicatio ecclesiæ.)

Il faut alors prévoir tout ce qui est prescrit plus haut pour la consécration d'un autel. On modifie seulement la formule d'authentique qui doit être renfermée dans la boite des reliques, en mettant : Consecravi ecclesiam et altare hoc, au lieu de Consecravi allare hoc. Pontifical.)

Si l'autel était invalidement consacré, ou venait à perdre plus tard sa consécration, l'église ne serait pas pour ce motif exécrée. (S. R. C. Gardellini, article consecratio altaris.)

2. Titulaire.

Le titulaire de l'église a dû être choisi et nommé dès la bénédiction de la première pierre. (Pontifical.) C'est à ce même titulaire que le maître-autel est dédié. (Conséq. du Pontif.)

Chaque année, la fête du titulaire de l'église devra y être célébrée sous le rite double de première classe, avec octave (S. R. C. Falise), pour l'office et pour la messe, par les clercs strictemen attachés à cette église, en vertu de leurs titres (Ibid.), et par ceux-là seulement. Ibid.)

Et comme, d'après la bulle d'Urbain VIII, la fête du titulaire d'une église n'est pas fériée, la solennité n'en peut être transférée au dimanche, à moins que cette même fête ne soit en

« PrécédentContinuer »