| Molière - 1739 - 300 pages
...la nature. Les rayons du foleii vous baifent trop fouvent ; Vos cheveux fouftrent trop les careifes du vent , Dès qu'il les flatte , j'en murmure ; L'air même que vous refpirez , Avec trop de plaifir paife par votre bouche ; Votre habit de trop près'vous touche ; Et... | |
| Pierre Corneille - 1740 - 624 pages
...la Nature. Les rayons du Soleil vous baifent trop (auvent ; Vos cheveux (buftrent trop les carefies du vent, Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous refpitez, Avec trop de plaitir pafle par voue bouche ; Votre habit de trog près vous touche > Et (itôt... | |
| Jean Marie Bernard Clément, Joseph de Laporte - 1775 - 592 pages
...la nature. Les rayons du Soleil vous baifent trop fouvent; Vos cheveux Ibuffrent trop les carefTes du vent. Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous refpirei , Avec trop de plaifir pafTe par votre bouche. Votre habit de trop près vous touche;, Et... | |
| Clément (M., Jean Marie Bernard), Jean Marie Bernard Clément - 1775 - 598 pages
...la nature. les rayons du Soleil vous baifent trop ibuvent* Vos cheveux fouffrent trop les careffes du vent« Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous refpirei , Avec trop de plaifir pafle par votre bouche. Votre habit de trop près vous touche;, Et... | |
| Jean François Marmontel - 1787 - 564 pages
...la nature. Les rayons du foleil vous baifent trop fouvent j Vos cheveux ibuffrent trop les carefles du vent ; Dès qu'il les flatte , j'en murmure. L'air même que vous reipirezj Avec trop de plaifir pafle par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche. Ce droit... | |
| Honoré-Gabriel de Riqueti comte de Mirabeau - 1792 - 464 pages
...cheveux souffrent trop les caresses durent; , , iDes qu'il les flatre, j'en murmure; L'air tnêtue que vous respirez , • '' Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre liabit de (rop près vous iouche. , Ce rie sont point-là des phrases : ce n'est pas de l'esprit :... | |
| Quintin Craufurd - 1803 - 650 pages
...jaloux: Je le suis, ma Psyché, de toute la nature : Les rayons du soleil vous frappent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent :...m'effarouche, Craint parmi vos soupirs des soupirs égarés, etc. (*) « Ces vers charmans peuvent servir à prou» ver que si Corneille, dans ses tragédies, n'a... | |
| Quintin Craufurd - 1803 - 658 pages
...jaloux: Je le suis, ma Psyché, de toute la nature : Les rayons du soleil TOUS frappent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent :...m'effarouche, Craint parmi vos soupirs des soupirs égarés, etc. (*) « Ces vers charmans peuvent servir à prou» ver que si Corneille, dans ses tragédies, n'a... | |
| Antoine Arnauld (jr.), Claude Lancelot - 1803 - 522 pages
...répond : Je le suis , ma Psyché , de tonte la nature , Les rayons du soleil vous frappent trop souvent. Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent ;...Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vons respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche , Votre habit de trop près vous touche 5... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 208 pages
...» Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les jrayons du soleil vous frappent trop souvent. » Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès...respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche, Voire hahit de trop près vous touche; Et sitôt que vous soupirez , Je ne sais quoi qui m'effarouche,... | |
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