Œuvres de Molière, Volume 3H. Nicolle, 1812 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 51
Page 12
... main , sur l'épaule un carquois , Comme une autre Diane elle hante les bois , N'aime rien que la chasse , et de toute la Grèce Fait soupirer en vain l'héroïque jeunesse . Admire nos esprits , et la fatalité ! Ce que n'avoient point fait ...
... main , sur l'épaule un carquois , Comme une autre Diane elle hante les bois , N'aime rien que la chasse , et de toute la Grèce Fait soupirer en vain l'héroïque jeunesse . Admire nos esprits , et la fatalité ! Ce que n'avoient point fait ...
Page 15
... main pour soutenir ce zèle ... SCÈNE II . EURYALE , ARBATE , MORON . MORON , derrière le théâtre . Au secours ! Sauvez - moi de la bête cruelle ! Je pense ouïr sa voix . EURYALE . MORON , derrière le théâtre . A moi , de grâce , à moi ...
... main pour soutenir ce zèle ... SCÈNE II . EURYALE , ARBATE , MORON . MORON , derrière le théâtre . Au secours ! Sauvez - moi de la bête cruelle ! Je pense ouïr sa voix . EURYALE . MORON , derrière le théâtre . A moi , de grâce , à moi ...
Page 18
... main pour vous conter la chose . J'ai donc vu ce sanglier qui , par nós gens chassé , Avoit , d'un air affreux , tout son poil hérissé ; Ses deux yeux flamboyants ne lançoient que menace , Et sa gueule faisoit une laide grimace , Qui ...
... main pour vous conter la chose . J'ai donc vu ce sanglier qui , par nós gens chassé , Avoit , d'un air affreux , tout son poil hérissé ; Ses deux yeux flamboyants ne lançoient que menace , Et sa gueule faisoit une laide grimace , Qui ...
Page 72
... tout prêt de mourir pour vous en venger ; vous n'avez qu'à parler , et ma main sur - le - champ fera gloire d'exécuter l'arrêt que vous prononcerez . LA PRINCESSE . Non , non , prince , je 72 ༡2 LA PRINCESSE D'ÉLIDE .
... tout prêt de mourir pour vous en venger ; vous n'avez qu'à parler , et ma main sur - le - champ fera gloire d'exécuter l'arrêt que vous prononcerez . LA PRINCESSE . Non , non , prince , je 72 ༡2 LA PRINCESSE D'ÉLIDE .
Page 103
... main à plusieurs reprises ; et le docteur continue de parler d'abord que Sganarelle ôte sa main . ) 1 Mais ces portraits diffèrent des autres portraits en ce SCÈNE VI . 103.
... main à plusieurs reprises ; et le docteur continue de parler d'abord que Sganarelle ôte sa main . ) 1 Mais ces portraits diffèrent des autres portraits en ce SCÈNE VI . 103.
Autres éditions - Tout afficher
Œuvres de Moliere: avec des remarques grammaticales, des ..., Volume 3 Molière Affichage du livre entier - 1821 |
Œuvres de Molière, Volume 3 Molière (pseud. van Jean Baptiste Poquelin) Affichage du livre entier - 1750 |
Expressions et termes fréquents
ACASTE ACTE affaire AGLANTE aime ALCANTOR ALCESTE ALCIDAS ALCINE allez Allons amant âme amour ARBATE ARISTOMÈNE ARSINOÉ auroit avez avoit BALLET beau beauté belle bian BOHÉMIENNE CARLOS CÉLIMÈNE chante CHARLOTTE charmes chose ciel CLITANDRE cœur comédie CYNTHIE debout DESFONANDRÈS dessein diable DIMANCHE dire dis-je don Juan DORIMÈNE doux ÉLIANTE ELVIRE entrées de ballet êtes étoient étoit EURYALE femme fille foiblesse gens GERONIMO GÉRONTE homme INTERMEDE IPHITAS j'ai j'aurois j'avois j'en JACQUELINE jamais l'amour là-dessus LÉANDRE LISETTE LUCAS LUCINDE Lyciscas m'en MACROTON madame mademoiselle de Brie mademoiselle du Parc malade mariage marier MARPHURIUS MARTINE MATHURINE médecin messieurs Molière monde monsieur MORON n'ai ORONTE PANCRACE parler paroître pensée personne PHILINTE PHILIS PIERROT prendre prince PRINCESSE D'ÉLIDE qu'un raison rien s'il vous plaît sais SCÈNE VII seigneur seroit SGANARELLE sieur soins sort souffrir théâtre TIRCIS TOMÈS trouve vais VALÈRE valet veux vœux voilà vois voudrois voulez-vous yeux
Fréquemment cités
Page 305 - J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux, les hommes comme ils font ; Je ne trouve partout, que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage, et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Page 365 - Dans ses façons d'agir il est fort singulier; Mais, j'en fais, je l'avoue, un cas particulier ; Et la sincérité dont son âme se pique , A quelque chose en soi de noble et d'héroïque. C'est une vertu rare, au siècle d'aujourd'hui, Et je la voudrais voir partout comme chez lui.
Page 309 - En courroux, comme vous, on ne me voit point être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont; J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile.
Page 377 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 340 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 307 - Tous les pauvres mortels, sans nulle exception, Seront enveloppés dans cette aversion? Encore en est-il bien, dans le siècle où nous sommes... ALCESTE Non : elle est générale, et je hais tous les hommes : Les uns, parce qu'ils sont méchants et malaisants, Et les autres, pour être aux méchants complaisants, Et n'avoir pas pour eux ces haines vigoureuses Que doit donner le vice aux âmes vertueuses.
Page 303 - Quel avantage at-on qu'un homme vous caresse, Vous jure amitié, foi, zèle, estime, tendresse, Et vous fasse de vous un éloge éclatant, Lorsqu'au premier faquin il court en faire autant?
Page 247 - On sait bien*) que les comédies ne sont faites que pour être jouées, et je ne conseille de lire celle-ci qu'aux personnes qui ont des yeux pour découvrir, dans la lecture, tout le jeu du théâtre.
Page 321 - J'aime mieux ma mie. La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le Roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué!
Page 307 - N'imposent qu'à des gens qui ne sont point d'ici. On sait que ce pied plat, digne qu'on le confonde, Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que par eux, son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la vertu; Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne, Son misérable honneur ne voit pour lui personne: Nomme-le fourbe, infâme, et scélérat maudit, Tout le monde en convient, et nul n'y contredit.