Œuvres de Molière, Volume 3H. Nicolle, 1812 |
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Page 20
... mari de ma mère , Contoit pour grand honneur aux pasteurs d'aujourd'hui Que le prince autrefois étoit venu chez lui , Et que , durant ce temps , il avoit l'avantage De se voir saluer de tous ceux du village . Baste . Quoi qu'il en soit ...
... mari de ma mère , Contoit pour grand honneur aux pasteurs d'aujourd'hui Que le prince autrefois étoit venu chez lui , Et que , durant ce temps , il avoit l'avantage De se voir saluer de tous ceux du village . Baste . Quoi qu'il en soit ...
Page 35
... mari , et me donner la mort , c'est une même chose ; mais votre volonté va la première , et mon obéissance m'est bien plus chère que ma vie . Après cela , parlez , seigneur , prononcez librement ce que vous voulez . IPHITAS . Ma fille ...
... mari , et me donner la mort , c'est une même chose ; mais votre volonté va la première , et mon obéissance m'est bien plus chère que ma vie . Après cela , parlez , seigneur , prononcez librement ce que vous voulez . IPHITAS . Ma fille ...
Page 117
... mari . Oui , monsieur , je veux faire amitié avec vous , et lier ensemble un petit com- merce de visites et de divertissements . DORIMÈNE . C'est trop d'honneur que vous nous faites à tous deux . Mais allons , le temps me presse , et ...
... mari . Oui , monsieur , je veux faire amitié avec vous , et lier ensemble un petit com- merce de visites et de divertissements . DORIMÈNE . C'est trop d'honneur que vous nous faites à tous deux . Mais allons , le temps me presse , et ...
Page 120
... mari . SGANARELLE . Enfin voulez - vous que je vous dise ? Je ne vous con- seille point de me la donner . ALGANTOR . Vous moquez - vous ? J'aimerois mieux mourir que d'avoir manqué à ma parole . SGANARELLE . Mon Dieu ! je vous en ...
... mari . SGANARELLE . Enfin voulez - vous que je vous dise ? Je ne vous con- seille point de me la donner . ALGANTOR . Vous moquez - vous ? J'aimerois mieux mourir que d'avoir manqué à ma parole . SGANARELLE . Mon Dieu ! je vous en ...
Page 179
... promis de l'épouser ? D. JUAN , bas , à Charlotte . Vous vous raillez de moi . MATHURINE . Est - il yrai , monsieu , que vous lui avez donné parole d'être son mari ? D. JUAN , bas , à Mathurine . Pouvez - ACTE II , SCÈNE V. 179.
... promis de l'épouser ? D. JUAN , bas , à Charlotte . Vous vous raillez de moi . MATHURINE . Est - il yrai , monsieu , que vous lui avez donné parole d'être son mari ? D. JUAN , bas , à Mathurine . Pouvez - ACTE II , SCÈNE V. 179.
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Œuvres de Molière, Volume 3 Molière (pseud. van Jean Baptiste Poquelin) Affichage du livre entier - 1750 |
Expressions et termes fréquents
ACASTE ACTE affaire AGLANTE aime ALCANTOR ALCESTE ALCIDAS ALCINE allez Allons amant âme amour ARBATE ARISTOMÈNE ARSINOÉ auroit avez avoit BALLET beau beauté belle bian BOHÉMIENNE CARLOS CÉLIMÈNE chante CHARLOTTE charmes chose ciel CLITANDRE cœur comédie CYNTHIE debout DESFONANDRÈS dessein diable DIMANCHE dire dis-je don Juan DORIMÈNE doux ÉLIANTE ELVIRE entrées de ballet êtes étoient étoit EURYALE femme fille foiblesse gens GERONIMO GÉRONTE homme INTERMEDE IPHITAS j'ai j'aurois j'avois j'en JACQUELINE jamais l'amour là-dessus LÉANDRE LISETTE LUCAS LUCINDE Lyciscas m'en MACROTON madame mademoiselle de Brie mademoiselle du Parc malade mariage marier MARPHURIUS MARTINE MATHURINE médecin messieurs Molière monde monsieur MORON n'ai ORONTE PANCRACE parler paroître pensée personne PHILINTE PHILIS PIERROT prendre prince PRINCESSE D'ÉLIDE qu'un raison rien s'il vous plaît sais SCÈNE VII seigneur seroit SGANARELLE sieur soins sort souffrir théâtre TIRCIS TOMÈS trouve vais VALÈRE valet veux vœux voilà vois voudrois voulez-vous yeux
Fréquemment cités
Page 305 - J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux, les hommes comme ils font ; Je ne trouve partout, que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage, et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Page 365 - Dans ses façons d'agir il est fort singulier; Mais, j'en fais, je l'avoue, un cas particulier ; Et la sincérité dont son âme se pique , A quelque chose en soi de noble et d'héroïque. C'est une vertu rare, au siècle d'aujourd'hui, Et je la voudrais voir partout comme chez lui.
Page 309 - En courroux, comme vous, on ne me voit point être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont; J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile.
Page 377 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 340 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 307 - Tous les pauvres mortels, sans nulle exception, Seront enveloppés dans cette aversion? Encore en est-il bien, dans le siècle où nous sommes... ALCESTE Non : elle est générale, et je hais tous les hommes : Les uns, parce qu'ils sont méchants et malaisants, Et les autres, pour être aux méchants complaisants, Et n'avoir pas pour eux ces haines vigoureuses Que doit donner le vice aux âmes vertueuses.
Page 303 - Quel avantage at-on qu'un homme vous caresse, Vous jure amitié, foi, zèle, estime, tendresse, Et vous fasse de vous un éloge éclatant, Lorsqu'au premier faquin il court en faire autant?
Page 247 - On sait bien*) que les comédies ne sont faites que pour être jouées, et je ne conseille de lire celle-ci qu'aux personnes qui ont des yeux pour découvrir, dans la lecture, tout le jeu du théâtre.
Page 321 - J'aime mieux ma mie. La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le Roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué!
Page 307 - N'imposent qu'à des gens qui ne sont point d'ici. On sait que ce pied plat, digne qu'on le confonde, Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que par eux, son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la vertu; Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne, Son misérable honneur ne voit pour lui personne: Nomme-le fourbe, infâme, et scélérat maudit, Tout le monde en convient, et nul n'y contredit.