La princesse d'Élide; Le mariage forcé; L'amour médecin; Le misanthrope; Le festin de Pierre; Le médecin malgré-luy; Le Sicilien; AmphitrionChez Pierre Brunel., 1704 |
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Molière. 28 ACTE PREMIER . ARGUMENT . CEtte Chaffe qui fe preparoit ainsi , étoit celle du Prin- ce d'Elide , lequel étant d'humeur galante & ma- gnifique , & fouhaitant que la Princeffe fà Fille ferefo- lut à aimer & à penser au mariage ...
Molière. 28 ACTE PREMIER . ARGUMENT . CEtte Chaffe qui fe preparoit ainsi , étoit celle du Prin- ce d'Elide , lequel étant d'humeur galante & ma- gnifique , & fouhaitant que la Princeffe fà Fille ferefo- lut à aimer & à penser au mariage ...
Page 47
... ainsi que le trépas , & qu'il m'eft impoffible de forcer cette averfion naturelle . Me donner un Mari , & me donner la mort c'est une même chofe ; mais vôtre volonté va la prémiere , & mon obeïffance m'eft bien plus chere que ina vie ...
... ainsi que le trépas , & qu'il m'eft impoffible de forcer cette averfion naturelle . Me donner un Mari , & me donner la mort c'est une même chofe ; mais vôtre volonté va la prémiere , & mon obeïffance m'eft bien plus chere que ina vie ...
Page 243
... ainsi , & me di- tes un peu les caufes de ce départ fi prompt . D. JUA N. Tu ne répondras pas ! SGANARELLE . Je n'ai rien à repondre , vous vous moquez de vôtre ferviteur . D. JUAN . Veux - tu répondre , te dis - je . SGANARELLE ...
... ainsi , & me di- tes un peu les caufes de ce départ fi prompt . D. JUA N. Tu ne répondras pas ! SGANARELLE . Je n'ai rien à repondre , vous vous moquez de vôtre ferviteur . D. JUAN . Veux - tu répondre , te dis - je . SGANARELLE ...
Page 295
... Croyez vous , D. Juan , nous ébloüir par ces belles excuses ? D. JUAN . J'obeïs à la voix du Ciel . D. CARLOS . Quoi vous voulez que je me paye d'un femblable difcours ? Nn4 D. D. JUAN . C'eft le Ciel qui le veut ainsi COMEDIE . 295.
... Croyez vous , D. Juan , nous ébloüir par ces belles excuses ? D. JUAN . J'obeïs à la voix du Ciel . D. CARLOS . Quoi vous voulez que je me paye d'un femblable difcours ? Nn4 D. D. JUAN . C'eft le Ciel qui le veut ainsi COMEDIE . 295.
Page 296
Molière. D. JUAN . C'eft le Ciel qui le veut ainsi . D. CARLOS . Vous aurez fait fortir ma fœur d'un Couvent pour la laiffer enfuite ? D. JUAN . Le Ciel l'ordonne de la forte . D. CARLOS . Nous fouffrirons cette tache en nôtre famille ...
Molière. D. JUAN . C'eft le Ciel qui le veut ainsi . D. CARLOS . Vous aurez fait fortir ma fœur d'un Couvent pour la laiffer enfuite ? D. JUAN . Le Ciel l'ordonne de la forte . D. CARLOS . Nous fouffrirons cette tache en nôtre famille ...
Expressions et termes fréquents
ACASTE ADRASTE affeure affez AGLANTE aime ainfi ALCANTOR ALCESTE ALCINE ALCMENE Allons amour AMPHITRYON aprés ARBATE ARSINO auffi avez avoit c'eft c'eſt CELIMENE CHARLOTTE chofe Ciel CLEAN CLITANDRE cœur courroux deffein difcours DIMANCHE dire efprit Eft-ce étes étoit EURIALE faffe fans doute fçai fçavez fçavoir fçay femble fens fentimens fera feroit fervir feul fille foins foit fonge font fouffrir fuis GERONIMO GERONTE grace HALI homme ISIDOR j'ai j'ay j'en joye JUAN jufte JUPITER l'amour là-deffus laiffe LEANDRE LUCAS LUCINDE LYCISCAS LYSETTE m'en Madame MARPHURIUS MARTINE MATHURINE Medecin Meffieurs MERCURE merite monde Monfieur MORON müette n'ay n'eft NAUCRATES ORONTE paffe paffion PANCRACE parler paroître PEDRE penfe perfonne PHILINTE PHILIS PIERRO plaifir plûtôt Prince Princeffe PRINCESSE puiffe quoy raifon s'eft s'il vous plaît SCENE Seigneur SGANARELLE Sofie SOSIE tendreffe TOME'S toûjours veux voilà voudrois yeux
Fréquemment cités
Page 212 - ... vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable ; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien ; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût d'un pareil sort réparer l'injustice ; Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 293 - Enfin, c'est là le vrai moyen de faire impunément tout ce que je voudrai.
Page 190 - J'ai du bien, je suis jeune, et sors d'une maison Qui se peut dire noble avec quelque raison; Et je crois par le rang que me donne ma race, Qu'il est fort peu d'emplois dont je ne sois en passe.