Encyclopédie méthodique, ou, par ordre de matières, Volume 31788 |
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... n'étoit pas affez fort pour les y contraindre . Ceux qui cultivoient la terre , étoient prefque tous origi- nairement des ferfs . Ils furent affranchis par de- grés , dans la plus grande partie de l'Europe . Quelques - uns acquirent en ...
... n'étoit pas affez fort pour les y contraindre . Ceux qui cultivoient la terre , étoient prefque tous origi- nairement des ferfs . Ils furent affranchis par de- grés , dans la plus grande partie de l'Europe . Quelques - uns acquirent en ...
Page 17
... n'étoit pas fort lourde , une grande inégalité feroit plus fupportable que la moindre incerti- tude . La capitation levée en France depuis le com- mencement de ce fiècle , taxe les rangs fupérieurs d'après un tarif invariable ; & les ...
... n'étoit pas fort lourde , une grande inégalité feroit plus fupportable que la moindre incerti- tude . La capitation levée en France depuis le com- mencement de ce fiècle , taxe les rangs fupérieurs d'après un tarif invariable ; & les ...
Page 28
... n'étoit en 1786 , époque où on l'a aboli que de fix pour cent fur la vente de toutes fortes de propriétés mobilières ou immobiliètes , & on le percevoit de nouveau chaque fois que la propriété fe vendoit ( 1 ) . La levée de cet impôt ...
... n'étoit en 1786 , époque où on l'a aboli que de fix pour cent fur la vente de toutes fortes de propriétés mobilières ou immobiliètes , & on le percevoit de nouveau chaque fois que la propriété fe vendoit ( 1 ) . La levée de cet impôt ...
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... n'étoit que fimple ufufruitier | remplacer autant qu'il en feroit ôté ; & que cetté » du domaine , & que lui & fes officiers payés , nouvelle acquifition retomberoit fur le tiers état , » le furplus des revenus devoit fe garder pour les ...
... n'étoit que fimple ufufruitier | remplacer autant qu'il en feroit ôté ; & que cetté » du domaine , & que lui & fes officiers payés , nouvelle acquifition retomberoit fur le tiers état , » le furplus des revenus devoit fe garder pour les ...
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... n'étoit - il pas tombé , en s'abandonnant à des féducteurs qui ne fongeoient qu'à leurs propres intérêts ? expofé qu'un prince , un état ou un grand , tom- Il n'y a rien de plus méprifable , rien de plus de Tite - Live . L'efprit de ...
... n'étoit - il pas tombé , en s'abandonnant à des féducteurs qui ne fongeoient qu'à leurs propres intérêts ? expofé qu'un prince , un état ou un grand , tom- Il n'y a rien de plus méprifable , rien de plus de Tite - Live . L'efprit de ...
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Expressions et termes fréquents
affemblées affez ainfi Angleterre anglois auffi auroit avoient avoit bailliage befoin c'eft caufe cent chofes choifis claffe commerce compofé comté comte d'Oldenbourg comté de Limbourg confeil conféquent confervation confidérable confommation conftitution dépenfe diète diftricts divifé domaines duché enfuite états étoient étoit falaire fans fchelings fe trouve feconde feigneurie felon fénat fept feroient feroit fervir feul fiècle fiège fituée florins fociété foient foit fomme font fous fouvent fouverain fucceffeur fuivant fujets général gouvernement gouverneur Grande-Bretagne guerre habitans hommes ifles impofé impôts Indes jufqu'à juftice juge jurifdiction l'adminiftration l'empereur l'Empire l'état l'Inde laiffer lefquels légats Livonie loix lorfque maifon marchandifes Maryland Mecklenbourg ment mille miniftres mois romain n'eft n'étoit nation néceffaire nobleffe paffer paroît payer pays perfonne peuple plufieurs poffède poffeffion pourroit pouvoit préfent prefque prince principauté provinces puiffance puiffe Ratzebourg refpect refte rente république revenu rixdales royaume taxe tems terres tion ufage vaiffeaux Voyez l'article
Fréquemment cités
Page 362 - L'ignorance naturelle à la noblesse, son inattention, son mépris pour le gouvernement civil, exigent qu'il y ait un corps qui fasse sans cesse sortir...
Page 303 - Par-là on ne fe rend nullement arbitre des deux parties malgré elles, & l'on ne s'attribue pas le droit de décider leur différend avec autorité; ce qui feroit contraire à l'indépendance de l'état de nature.
Page 139 - COMME les hommes ont renoncé à leur indépendance naturelle pour vivre sous des lois politiques, ils ont renoncé à la communauté naturelle des biens pour vivre sous des lois civiles.
Page 246 - Hollandois, la république ordonnoit qu'ils s'y retiraffent dans les mois de Juin , de Juillet & d'Août , pour fe mettre à l'abri des ouragans fi fréquens & fi furieux dans ces parages. Les terres du Lamentin , qui n'en font éloignées que d'une lieue , étoient les plus fertiles , les plus riches de la colonie. Les nombreufes rivieres qui arrofoient ce pays fécond , portoient des canots chargés , jufqu'à une certaine diftance de leur embouchure.
Page 118 - ... les exercer ; ils appartiendroient , au contraire , à celui qui auroit la Liberté d'en jouir. Par la raifon que le droit de jouir & la Liberté de jouir ne peuvent exifter l'un fans l'autre, on doit les regarder comme ne formant qu'une feule & même prérogative qui change de nom , félon la façon de l'envifager. Ainfi on ne peut...
Page 420 - C'eft à lui à fe bien apprécier. C'eft à lui à ftipuler ce qu'il croit valoir. Celui dont il aura reçu le prix convenu l'aura légitimement acquis. L'homme n'a pas le droit de fe vendre, parce qu'il n'a pas celui d'accéder à tout ce qu'un maître injufte, violent, dépravé pourroit exiger de lui.
Page 160 - Ils y firent pafler, en 1650, quarante habitans fous la conduite de Rouflelan, homme brave, actif, prudent, & finguliérement aimé des fauvages, pour avoir époufé une femme de leur nation. Sa mort arrivée quatre ans après, ruina tout le bien qu'il avoit commencé à faire. Trois de fes fuccefleurs furent maflacrés par les Caraïbes , mécontens de la conduite qu'on tenoit avec eux5 & la colonie ne faifoit que languir, lorfqu'elle fut prife en 1664.
Page 149 - Miflburis , inftruit par cette méprife finguliere du danger que lui & les fiens avoient couru , diflîmula fon reflentiment. Il promit de concourir avec joie au fuccès de l'entreprife qui lui étoit propofée, & ne demanda que quarante-huit heures pour raflembler fes guerriers. Lorfqu'ils fe virent armés au nombre de deux mille , ils fondirent fur les Efpagnols qu'on avoit amufés par des jeux , & les égorgèrent dans le fommeil. Tout fut maflacré , hommes , femmes , enfans. L'aumônier feul...
Page 360 - C'étoit un bon gouvernement, qui avoit en soi la capacité de devenir meilleur. La coutume vint d'accorder des lettres d'affranchissement; et bientôt la liberté civile du peuple, les prérogatives de la noblesse et du clergé, la puissance des rois, se trouvèrent dans un tel concert, que je ne crois pas qu'il y ait eu sur la terre de gouvernement si bien tempéré que le fut celui de chaque partie de l'Europe dans le temps qu'il y subsista.
Page 182 - Elle arma une flotte de vingt-trois vaiffeaux , où furent embarqués huit mille hommes de troupes réglées. On mettoit à la voile, lorfque les ordres du monarque fufpendirent le départ. Charles , dont...