Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 2Verdière, 1817 |
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... beautés frappantes sont mêlées d'affectation , d'obs- curité et d'enflure . Saint Cyprien , qui l'avait pris pour modèle , en a conservé le caractère , mais également affaibli dans les beau- tés et dans les défauts . Saint Ambroise a ...
... beautés frappantes sont mêlées d'affectation , d'obs- curité et d'enflure . Saint Cyprien , qui l'avait pris pour modèle , en a conservé le caractère , mais également affaibli dans les beau- tés et dans les défauts . Saint Ambroise a ...
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... beautés de style et d'expressions , qui devaient être vivement senties par ses compatriotes , et même quelques mor- ceaux assez généralement beaux pour être admirés par toutes les nations ; l'autre , né peut - être avec moins de génie ...
... beautés de style et d'expressions , qui devaient être vivement senties par ses compatriotes , et même quelques mor- ceaux assez généralement beaux pour être admirés par toutes les nations ; l'autre , né peut - être avec moins de génie ...
Page xxii
... beautés et les défauts de Lope et de Caldéron ; mais qui , sans porter l'art plus loin qu'eux , l'emporta sur eux par un talent naturel , quelque- fois élevé jusqu'au sublime des pensées , à l'éloquence des pas- sions fortes , à l ...
... beautés et les défauts de Lope et de Caldéron ; mais qui , sans porter l'art plus loin qu'eux , l'emporta sur eux par un talent naturel , quelque- fois élevé jusqu'au sublime des pensées , à l'éloquence des pas- sions fortes , à l ...
Page xxvi
... beautés de tous les temps , a conservé des droits sur la postérité , en même temps qu'il enseignait à nos aïeux le rhythme qui convient à notre ver- sification , les règles essentielles de nos différens maîtres et l'art de les ...
... beautés de tous les temps , a conservé des droits sur la postérité , en même temps qu'il enseignait à nos aïeux le rhythme qui convient à notre ver- sification , les règles essentielles de nos différens maîtres et l'art de les ...
Page 10
... beauté rhythmique en arrêtant le sens ou suspendant la phrase à l'hémistiche . Bref , le vilain ne s'en voulut aller ... beautés devient affectation et monotonie . Voyez le commencement de l'Epitre sur la calomnie , de Voltaire : Écoutez ...
... beauté rhythmique en arrêtant le sens ou suspendant la phrase à l'hémistiche . Bref , le vilain ne s'en voulut aller ... beautés devient affectation et monotonie . Voyez le commencement de l'Epitre sur la calomnie , de Voltaire : Écoutez ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Acomat acte Agamemnon aime amour Andromaque Aricie assez Athalie Bajazet beau beautés Boileau Bossuet Britannicus Burrhus caractère chose Cinna Clytemnestre cœur comédie comique Corneille crime défauts Despréaux Dieu dieux dire doit dramatique écrivains ennemis esprit Euripide eût fable femme Fontaine force génie genre gloire goût Grecs héros heureux homme Horace idées Iphigénie j'ai jamais Joad jours juger l'amour l'art l'auteur l'autre l'esprit laisse long-temps Louis XIV madame madame de Sévigné malheur Massillon ment mérite mieux Mithridate Molière monde morale morceau mort n'en Néron ouvrages parler passer passion pensée père personnages peuple Phèdre philosophie pièce plaisir pleurs poëme poésie poëte poétique pouvait premier prince Pyrrhus qu'un Quinault Racine raison reproche reste ridicule rien rois Rousseau Roxane s'il sais sait satire scène Seigneur sentimens sentiment serait seul siècle sort souvent spectateur style sujet talent Tartuffe théâtre Thomas Corneille tragédie traits trouve vérité versification veut Voilà Voltaire vrai yeux
Fréquemment cités
Page 198 - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Page 460 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours, (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes,) Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 68 - D'une simple vertu c'est l'effet ordinaire, Mille déjà l'ont fait, mille pourraient le faire ; Mourir pour le pays est un si digne sort, Qu'on briguerait en foule une si belle mort. Mais vouloir au public immoler ce qu'on aime, S'attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti qui prend pour défenseur...
Page 449 - Heureux qui, dans ses vers, sait, d'une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère!
Page 320 - La peste de ta chute, empoisonneur, au diable! En eusses-tu fait une à te casser le nez ! PHILINTE.
Page 217 - Jéhu, sur les hauts lieux enfin osant offrir Un téméraire encens que Dieu ne peut souffrir, N'a , pour servir sa cause et venger ses injures , Ni le cœur assez droit, ni les mains assez pures. Non, non : c'est à Dieu seul qu'il nous faut attacher.
Page 470 - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet ; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet ; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire.
Page 69 - Je l'envisage entier, mais je n'en frémis point : Contre qui que ce soit que mon pays m'emploie , J'accepte aveuglément cette gloire avec joie; Celle de recevoir de tels commandements Doit étouffer en nous tous autres sentiments.
Page 236 - Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre de fer veut être gouverné; Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime...
Page 467 - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.