Le français pour tous par la méthode directe, Livre 2Ginn, 1921 |
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... dire facilement et couramment : Le bon écolier arrive à l'école de bonne heure . Il ôte son chapeau . Il salue son maître . Il cause avec ses camarades . La cloche sonne . Il se tait tout de suite . Il range ses affaires . Il obéit aux ...
... dire facilement et couramment : Le bon écolier arrive à l'école de bonne heure . Il ôte son chapeau . Il salue son maître . Il cause avec ses camarades . La cloche sonne . Il se tait tout de suite . Il range ses affaires . Il obéit aux ...
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... dire qu'ils avaient plusieurs dieux . Ils adoraient les sources , les lacs , les fo- rêts , le tonnerre , la lumière . Toutes les forces ou les phénomènes de la nature étaient divinisés par eux . Ils croyaient aux fées qui dansaient ...
... dire qu'ils avaient plusieurs dieux . Ils adoraient les sources , les lacs , les fo- rêts , le tonnerre , la lumière . Toutes les forces ou les phénomènes de la nature étaient divinisés par eux . Ils croyaient aux fées qui dansaient ...
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... dire bosse . C'était un appareil portatif de métal que les guerriers portaient au bras gauche pour se protéger contre les coups de leurs ennemis ou de leurs adversaires d'humeur belliqueuse : ils ai- maient la guerre druide : ministre ...
... dire bosse . C'était un appareil portatif de métal que les guerriers portaient au bras gauche pour se protéger contre les coups de leurs ennemis ou de leurs adversaires d'humeur belliqueuse : ils ai- maient la guerre druide : ministre ...
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... dire le mot druide , à ce qu'on prétend ? 10. A quoi croyaient - ils ? II . Comment manifestaient - ils cette croyance ? 12. Qui fit la conquête de la Gaule ? 13. Qu'est - ce que les Romains ont enseigné aux Gaulois ? 14. Que firent les ...
... dire le mot druide , à ce qu'on prétend ? 10. A quoi croyaient - ils ? II . Comment manifestaient - ils cette croyance ? 12. Qui fit la conquête de la Gaule ? 13. Qu'est - ce que les Romains ont enseigné aux Gaulois ? 14. Que firent les ...
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... dire facilement et couramment : Émile habite la campagne . Le printemps dernier son grand - père lui a donné un petit jardin . Il faut qu'il y travaille tous les jours , et surtout les jours de congé . Émile est très laborieux . En ...
... dire facilement et couramment : Émile habite la campagne . Le printemps dernier son grand - père lui a donné un petit jardin . Il faut qu'il y travaille tous les jours , et surtout les jours de congé . Émile est très laborieux . En ...
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Le Français pour Tous: Par la Methode Directe (Classic Reprint) Noëlia Dubrule Aucun aperçu disponible - 2017 |
Expressions et termes fréquents
2º L'article 3º Les adjectifs adjectifs numéraux adjectifs possessifs Apprendre les phrases Caillou cerises délicieuses chats chien Clovis complément direct compléter Complétez Complétez les phrases conditionnel Conjugaison Verbes dansé Devoir écrit mots dire facilement drapeau écolier Écrivez les phrases élidé enfants fabliau facilement et couramment François Ier Gaule Gaulois géant grand-père Gros-Pierre guerre homme impératif indéfini infinitif J'ai jardin l'adjectif l'auxiliaire suivi l'écolier diligent l'imparfait Leçon d'histoire Lecture expliquée LEON TOLSTOÏ locutions look mains nettes maison make masculin pluriel Masséna mode subjonctif mots et expressions mots suivants mule Napoléon Ier one's parle écolier participe passé passé antérieur passé défini personne du pluriel Petit dictionnaire phrases suivantes plus-que-parfait pompiers Précis grammatical première personne préposition pres pret pronom relatif Qu'est-ce rateau s'appelle s'emploie sabre Sicambre subjonctif suivantes au moyen suivantes de manière superlatif syllabes take tambour Texte à compléter vase de Soissons Verbes à conjuguer Zadig
Fréquemment cités
Page 134 - Mon camarade y grimpa seul et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi déterminé à veiller, je fis bon feu et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement...
Page 134 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre n'était guère haute , mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long...
Page 110 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 134 - Au bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par les fentes de la porte je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui ; moi derrière la porte. Il ouvrit, mais avant d'entrer il posa la lampe que sa femme vint prendre ; puis il entre pieds nus, et elle de dehors lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de la lampe :
Page 133 - ... il dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions; Français, imaginez un peu! chez nos plus mortels ennemis, seuls, égarés, si loin de tout secours humain ! et puis , pour ne rien omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche, promit à ces gens pour la dépense, et pour nos guides le lendemain , ce qu'us voulurent.
Page 133 - Nous cherchâmes , tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois ; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions , et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon, mais comment faire?
Page 132 - Dans ces montagnes les chemins sont des précipices, nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant, un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute; devais-je me fier à une tête de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour...
Page 134 - Quand il fut à l'échelle, il monte, son couteau dans les dents ; et venu à la hauteur du lit, ce pauvre jeune homme étendu offrant sa gorge découverte, d'une main il prend son couteau, et de l'autre Ah ! cousine Il saisit un jambon qui pendait au plancher, en coupe une tranche, et se retire comme il était venu. La porte se referme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille à grand bruit vint nous éveiller, comme nous l'avions recommandé....
Page 133 - ... où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher qui nous 'attendait, espèce de nid dans lequel on s'introduisait en rampant sous des solives chargées de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise.
Page 134 - Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi derrière la porte ; il ouvrit ; mais, avant d'entrer il posa la lampe, que sa femme vint prendre ; puis il entre pieds nus, et elle, de dehors,; lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de a lampe, doucement, va doucement.