Iphigénie. Phedre. Esther. AthalieL.E. Herhan, 1801 |
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Page 22
... Hélas ! ULYSS E. 2 De ce soupir que faut - il que j'augure ? Du sang qui se révolte est - ce quelque murmure ? Croirai - je qu'une nuit a pu vous ébranler ? Est - ce donc votre cœur qui vient de nous parler ? Songez - y ; vous devez ...
... Hélas ! ULYSS E. 2 De ce soupir que faut - il que j'augure ? Du sang qui se révolte est - ce quelque murmure ? Croirai - je qu'une nuit a pu vous ébranler ? Est - ce donc votre cœur qui vient de nous parler ? Songez - y ; vous devez ...
Page 28
... Hélas ! dans cette Troie où j'étois attendue , Ma gloire , disoit - il , m'alloit être rendue : J'allois , en reprenant et mon nom et mon rang , Des plus grands rois en moi reconnoître le sang . Déja je découvrois cette fameuse ville ...
... Hélas ! dans cette Troie où j'étois attendue , Ma gloire , disoit - il , m'alloit être rendue : J'allois , en reprenant et mon nom et mon rang , Des plus grands rois en moi reconnoître le sang . Déja je découvrois cette fameuse ville ...
Page 33
... à l'autel votre heureuse famille ? AGAMEMNON . Hélas ! IPHIGENIE . Vous vous taisez . AGAMEMNON . Vous y serez , ma fille . Adieu . SCENE III . IPHIGENIE , ERIPHILE , DORIS . IPHIGÉNI 3 . ACTE II , SCENE I I. 33 Ah ma fille! ...
... à l'autel votre heureuse famille ? AGAMEMNON . Hélas ! IPHIGENIE . Vous vous taisez . AGAMEMNON . Vous y serez , ma fille . Adieu . SCENE III . IPHIGENIE , ERIPHILE , DORIS . IPHIGÉNI 3 . ACTE II , SCENE I I. 33 Ah ma fille! ...
Page 34
... Hélas ! à quels soupirs suis - je donc condamnée , Moi qui , de mes parents toujours abandonnée Etrangere par - tout , n'ai pas , même en naissant , Peut - être reçu d'eux un regard caressant ! Du moins , si vos respects sont rejetés d ...
... Hélas ! à quels soupirs suis - je donc condamnée , Moi qui , de mes parents toujours abandonnée Etrangere par - tout , n'ai pas , même en naissant , Peut - être reçu d'eux un regard caressant ! Du moins , si vos respects sont rejetés d ...
Page 38
... hélas ! des vœux intéressés , Et la perte d'un cœur que vous me ravissez : Mais que , sans m'avertir du piege qu'on me dresse , Vous me laissiez chercher jusqu'au fond de la Grece L'ingrat qui ne m'attend que pour m'abandonner , Perfide ...
... hélas ! des vœux intéressés , Et la perte d'un cœur que vous me ravissez : Mais que , sans m'avertir du piege qu'on me dresse , Vous me laissiez chercher jusqu'au fond de la Grece L'ingrat qui ne m'attend que pour m'abandonner , Perfide ...
Expressions et termes fréquents
à-la-fois ABNER Achille AEGINE affreux AGAMEMNON AMAN amour ARCAS Argos ARICIE ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit bras cacher Calchas chante cher chercher CHOE U R CHOEUR ciel cieux CLYTEMNESTRE cœur courroux crainte crime cruel d'Assuérus d'Athalie d'Esther David déja dessein Dieu dieux DORIS douleur Eliacin ELISE enfant ennemis époux ÉRIPHILE ESTHER étoit EURYBATE fatal fille fils foible foiblesse funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas heureux HIPPOLYTE horreur HYDAS HYDASPE hymen innocent IPHIGÉNIE Ismene ISRA ISRAELITE j'ai Jéhu Jézabel JOAD Joas JOSABET jour Juifs l'autel l'innocence laisse larmes Lesbos lévites lieux long-temps lumiere madame mains malheureux Mardochée Mathan moi-même mort mortels Mycene Ochozias OEnone PANOPE par-tout pere perfide peuple PHEDRE pleurs prêtres princesse profane reine rois saint SALOMITH sang SCENE VII secret seigneur seul Sion sœur soin superbe temple Thésée tragédie tremble Trézene triste trouble ULYSSE venger veux vœux vois voix vous-même yeux ZACHARIE zele
Fréquemment cités
Page 119 - Attendent mon époux pour le désabuser. Mourons : de tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. Est-ce un malheur si grand que de cesser de vivre? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi : Je ne crains que le nom que je laisse après moi.
Page 144 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide. L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 235 - J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier.
Page 156 - Tu le vois tous les jours devant toi prosterné, Humilier ce front de splendeur couronné ; Et, confondant l'orgueil par d'augustes exemples, Baiser avec respect le pavé de tes temples. De ta gloire animé, lui seul, de tant de rois, S'arme pour ta querelle , et combat pour tes droits. Le perfide intérêt, l'aveugle jalousie, S'unissent contre toi pour l'affreuse hérésie; La discorde...
Page 134 - Misérable! et je vis? et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue? J'ai pour aïeul le père et le maître des Dieux: Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux. Où me cacher?
Page 112 - Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime! Hélas! je ne t'ai pu parler que de toi-même. Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper.
Page 133 - Ah douleur non encore éprouvée ! A quel nouveau tourment je me suis réservée ! Tout ce que j'ai souffert, mes craintes, mes transports, La fureur de mes feux, l'horreur de mes remords, Et d'un refus cruel l'insupportable injure N'était qu'un faible essai du tourment que j'endure.
Page 97 - D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner: Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un incurable amour remèdes impuissants!
Page 199 - N'est point tel que l'erreur le figure à vos yeux. L'Eternel est son nom, le monde est son ouvrage ; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes États la chute 'épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable.
Page 259 - Jéhu laisse d'Achab l'affreuse fille en paix, Suit des rois d'Israël les profanes exemples, Du vil dieu de l'Egypte a conservé les temples ; Jéhu, sur les hauts lieux enfin osant offrir Un téméraire encens que Dieu ne peut souffrir, N'a , pour servir sa cause et venger ses injures , Ni le cœur assez droit, ni les mains assez pures. Non, non : c'est à Dieu seul qu'il nous faut attacher.