De l'ancienne France, Volume 1M. de Saint-Allais, 1833 |
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... seigneurs fonciers qu'eux - mêmes ; à la charge néanmoins de contribuer , du fruit de ces terres , envers les Francs , si le besoin en était . Quelques- uns des Francs furent également mis en possession de ces sortes de terres . Le ...
... seigneurs fonciers qu'eux - mêmes ; à la charge néanmoins de contribuer , du fruit de ces terres , envers les Francs , si le besoin en était . Quelques- uns des Francs furent également mis en possession de ces sortes de terres . Le ...
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... finance , ou par le service mi- litaire , ou par des anoblissemens quelconques . Le père Ménétrier porte à deux cents le nombre des familles de France qu'on peut appeler seigneurs , grands seigneurs 32 DE LA NOBLESSE.
... finance , ou par le service mi- litaire , ou par des anoblissemens quelconques . Le père Ménétrier porte à deux cents le nombre des familles de France qu'on peut appeler seigneurs , grands seigneurs 32 DE LA NOBLESSE.
Page 33
... seigneurs , grands seigneurs ; ce sont celles qui par alliance des- cendent des princesses du sang royal , qui se sont ma- riées dans ces familles ; c'est la même énumération qui en a été faite par MM . de Sainte - Marthe . Le célèbre ...
... seigneurs , grands seigneurs ; ce sont celles qui par alliance des- cendent des princesses du sang royal , qui se sont ma- riées dans ces familles ; c'est la même énumération qui en a été faite par MM . de Sainte - Marthe . Le célèbre ...
Page 37
... Seigneurs , c'est - à - dire , les Ducs , les Comtes , les Leudes , les Sagibarons , les Anstrustions , ils étaient Pairs entre eux . Le reste des Francs composait le se- cond ordre ; mais tous naissaient avec une égale li- berté . La ...
... Seigneurs , c'est - à - dire , les Ducs , les Comtes , les Leudes , les Sagibarons , les Anstrustions , ils étaient Pairs entre eux . Le reste des Francs composait le se- cond ordre ; mais tous naissaient avec une égale li- berté . La ...
Page 40
... , et les possesseurs d'un fief ne purent être jugés que par les seigneurs de fief du même degré , c'est - à - dire , par ses Pairs , ses égaux en fiefs . La possession d'un fief donnait droit d'exercer la jus- tice 40 DE LA PAIRIE.
... , et les possesseurs d'un fief ne purent être jugés que par les seigneurs de fief du même degré , c'est - à - dire , par ses Pairs , ses égaux en fiefs . La possession d'un fief donnait droit d'exercer la jus- tice 40 DE LA PAIRIE.
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Expressions et termes fréquents
anciens anoblis appelait armées armes avaient Baillis bannerets bannière Barons bataille bouclier Bourgogne Bretagne c'était casque CHAPITRE charges Charles IX Charles VII Chevalerie Chevaliers Chevaliers romains cimier Comte comte de Toulouse Comtes de Flandres cotte d'armes cour couronne cuir d'argent d'or défense dérogeant descendans Desmier devaient devise dignité donna Duché écu écuyers émaillé enfans épée érigé faisaient familles fiefs François Ier Gaulois Gentils gentilshommes Grand-Maître guerre Guillaume Guyenne haubert Henri Henri III Henri IV héréditaire hommes honneur honoré institua Jean juges justice l'an l'écu l'épée l'honneur l'Ordre lettres lettres-patentes Leudes Louis XIV maison Majesté Marquis Marquisat Messire militaire Mont-Joye n'était nation nobles noblesse nom et d'armes nommait officiers ordonnance Ordre Pairs Parlement personne porter pouvait premier Prince priviléges provinces qualité race règne robes Rois Romains roturiers royale royaume sacre Saint Seigneurs Sénéchaux servi services seulement Sire Souverain surnom terre tion titre tournois valiers vassaux velours Vicomte Vidames
Fréquemment cités
Page 146 - Il avait épousé, pour première femme, une fille du roi d'Angleterre , et n'avait pas été pour cela Français moins fidèle. Il ne s'était pas donné une grande bataille , il ne s'était pas fait un traité entre les princes chrétiens, que le sire de Coucy n'y eût pris la première part.
Page 34 - Les substitutions, qui conservent les biens dans les familles, seront très-utiles dans ce gouvernement, quoiqu'elles ne conviennent pas dans les autres. Le retrait lignager rendra aux familles nobles les terres que la prodigalité d'un...
Page 33 - Il n'ya rien que l'honneur prescrive plus à la noblesse que de servir le prince à la »guerre : en effet , c'est la profession distinguée , parce que ses hasards , ses succès , et ses malheurs même , conduisent à la grandeur.
Page 233 - Dieu , de saint Michel et de saint Georges , je » te fais chevalier : sois preux , hardi et loyal.
Page 78 - Il obéit non sans dépit. Puis le même officier lui dit: Sire , vous devenez , comme duc de Guienne , homme-lige du roi monseigneur qui ci est , et luy promettez foy et loyauté porter. Edouard incidenta sur le terme liga, prétendant qu'il ne devait que l'hommage simple.
Page 456 - ... mieux seconder ses vues < qu'en fondant une école, où la jeune noblesse qui doit « entrer dans cette carrière pût apprendre les principes « de l'art de la guerre, les exercices et les opérations « pratiques qui en dépendent et les sciences sur lesquelles < ils sont fondés.
Page 59 - Philippe ayant enfin été délivré en 1202 , il n'en continua pas moins à guerroyer. En 1210 il se croisa contre les Albigeois; mais, plus scrupuleux ou plus circonspect, il ne voulut plus violer les canons...
Page viii - Lequel après serment par luy fait de dire vérité et qu'il a déclaré n'être parent, allié, serviteur ni domestique des parties.
Page 486 - Les roturiers et non nobles, achetant fiefs nobles, ne seront pour ce anoblis, ni mis au rang et degré des nobles, de quelque revenu et valeur que soient les fiefs par eux acquis.
Page 434 - ... je l'ai tirée de la servitude et de la ruine. Je désire maintenant la remettre en sa première force et en son ancienne splendeur. Participez, mes sujets, à cette seconde gloire, comme vous avez participé à la première. Je ne vous ai point...