Œuvres, avec des remarques grammaticales [&c.] par m. Bret, Volume 21788 |
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Page 20
... Demande qu'on s'explique avec plus de clarté . Le premier mouvement qui découvre notre ame Doit d'un amant difcret fatisfaire la flamme ; Et c'est à s'en dédire autorifer nos vœux , Que vouloir plus avant pouffer de tels aveux . Je ne ...
... Demande qu'on s'explique avec plus de clarté . Le premier mouvement qui découvre notre ame Doit d'un amant difcret fatisfaire la flamme ; Et c'est à s'en dédire autorifer nos vœux , Que vouloir plus avant pouffer de tels aveux . Je ne ...
Page 21
... demande point de plus grande clarté . Je crois que vous avez pour vous avez pour moi quelque bonté , Que d'un peu de pitié mon feu vous follicite , Etje me vois heureux plus que je ne mérite . C'en eft fait , je renonce à mes foupçons ...
... demande point de plus grande clarté . Je crois que vous avez pour vous avez pour moi quelque bonté , Que d'un peu de pitié mon feu vous follicite , Etje me vois heureux plus que je ne mérite . C'en eft fait , je renonce à mes foupçons ...
Page 34
... demande , & d'où vient ce fouci ? D. GARCIE . D'un defir curieux de pure fantaisie . D. EL VIR E. La curiofité naît de la jalousie . D. GARCIE . Non , ce n'eft rien du tout de ce que vous pensez ; Vos ordres de ce mal me défendent affez ...
... demande , & d'où vient ce fouci ? D. GARCIE . D'un defir curieux de pure fantaisie . D. EL VIR E. La curiofité naît de la jalousie . D. GARCIE . Non , ce n'eft rien du tout de ce que vous pensez ; Vos ordres de ce mal me défendent affez ...
Page 42
... demande grace à vos divins appas ; pas , Je la demande au nom de la plus vive flamme Dont jamais deux beaux yeux aient fait brûler une ame . Que fi votre courroux ne peut être appaisé , Si mon crime est trop grand pour se voir excufé ...
... demande grace à vos divins appas ; pas , Je la demande au nom de la plus vive flamme Dont jamais deux beaux yeux aient fait brûler une ame . Que fi votre courroux ne peut être appaisé , Si mon crime est trop grand pour se voir excufé ...
Page 43
... demande ma flamme . D. EL VIR E. Ah , Prince , trop cruel ! D. GARCIE . Dites , parlez , Madame . D. EL VIR E. Faut - il encor pour vous conferver des bontés , Et vous voir m'outrager par tant d'indignités ? D. GARCIE . Un cœur ne peut ...
... demande ma flamme . D. EL VIR E. Ah , Prince , trop cruel ! D. GARCIE . Dites , parlez , Madame . D. EL VIR E. Faut - il encor pour vous conferver des bontés , Et vous voir m'outrager par tant d'indignités ? D. GARCIE . Un cœur ne peut ...
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Expressions et termes fréquents
ACTE affez Affurément AGNÈS ainfi ALAIN ALCIPPE ALVAR amour ARISTE ARNOLPH auffi auroit avoit BÉJART BRÉCOURT c'eft C'eſt chofe choſe CHRISALDE ciel CLIMEN cœur comédie crême CROISY deffein defirs deftin difcours dire DORANT efprit eft vrai Eft-ce ÉLISE ELVIRE ERASTE eſt étoit fage fans doute favez favoir fcène fe croyant feul fecret femble fens fentimens feroit fervir foins foit font fouffrir foupçons fous fouvent fuccès fuis fujet GARCIE gens GEORGETTE grace HORACE IGNÈS ILLIÈRE ISABELLE j'ai j'en jaloux jufte l'École des Femmes l'École des Maris l'efprit L'IMPROMPTU DE VERSAILLES laiffe Léonor lorfque LYSIDA m'eft m'en Madame Mademoiſelle DE BRIE Mademoiſelle DU PARC Mademoiſelle MOLIÈRE MARQUIS Monfieur Lyfidas n'eft n'eſt ORONTE paffer parler paroître penfe perfonne plaifir pouffe preffe Prince puiffe puifque raifon refpect rien SCÈNE VII ſes SGANARELLE ſon tems théâtre THORILLIÈRE URANIE VALÈRE veux voilà vois voudrois yeux
Fréquemment cités
Page 178 - Et les soins défiants les verrous et les grilles Ne font pas la vertu des femmes ni des filles : C'est l'honneur qui les doit tenir dans le devoir, Non la sévérité que nous leur faisons voir.
Page 353 - Et ce que le soldat, dans son devoir instruit, Montre d'obéissance au chef qui le conduit , Le valet à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit frère, N'approche point encor de la docilité, Et de l'obéissance, et de l'humilité, Et du profond respect où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur et son maître.
Page 123 - Soit; mais je tiens sans cesse Qu'il nous faut en riant instruire la jeunesse, Reprendre ses défauts avec grande douceur, Et du nom de vertu ne lui point faire peur.
Page 123 - J'ai souffert qu'elle ait vu les belles compagnies, Les divertissements, les bals, les comédies; Ce sont choses, pour moi, que je tiens de tout temps Fort propres à former l'esprit des jeunes gens; Et l'école du monde, en l'air dont il faut vivre, Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun livre : Elle aime à dépenser en habits, linge et nœuds; Que voulez-vous?
Page 212 - Ce n'est pas mon dessein d'examiner maintenant si tout cela pouvait être mieux, et si tous ceux qui s'y sont divertis, ont ri selon les règles. Le temps viendra de faire imprimer mes remarques sur les pièces que j'aurai faites, et je ne désespère pas de faire voir un jour, en grand auteur , que je puis citer Aristote et Horace.
Page 468 - Apprends, Marquis, je te prie, et les autres aussi, que le bon sens n'a point de place déterminée à la comédie ; que la différence du demi-louis d'or et de la pièce de quinze sols...
Page 486 - Cour; que c'est son goût qu'il faut étudier pour trouver l'art de réussir ; qu'il n'ya point de lieu où les décisions soient si justes; et, sans mettre en ligne de compte tous les gens savants qui y sont, que, du simple bon sens naturel et du commerce de tout le beau monde, on s'y fait une manière d'esprit qui, sans comparaison, juge plus finement des choses que tout le savoir enrouillé des pédants.
Page 484 - Assurément, madame ; et quand, pour la difficulté, vous mettriez un peu plus du côté de la comédie, peut-être que vous ne vous abuseriez pas : car enfin je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins, et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le théâtre les défauts de tout le monde.
Page 445 - Madame, vous êtes dans la place Royale, et tout le monde vous voit de trois lieues de Paris, car chacun vous voit de bon oeil...