Pages. СНАР. ІХ. De la clarté et distinction des idées et de leur obscurité Quelques exemples de ces idées confuses et obscures tirés 82 - XI. D'une autre cause qui met de la confusion dans nos pen- XII. Du remède à la confusion qui naît dans nos pensées et dans nos discours de la confusion des mots, où il est parlé de la nécessité et de l'utilité de définir les noms 91 Contenant les réflexions que les hommes ont faites sur leurs jugements. CHAP. I. Des mots par rapport aux propositions. ! Ce que c'est qu'une proposition, et des quatre sortes de Des propositions simples et composées, qu'il y en a de simples qui paraissent composées et qui ne le sont pas, et qu'on peut appeler complexes. De celles qui sont complexes par le sujet ou par l'attribut. VII. De la fausseté qui peut se trouver dans les termes com- plexes et dans les propositions incidentes. VIII. Des propositions complexes selon l'affirmation ou la né- gation, et d'une espèce de ces sortes de propositions - XI. XII. Pages. Des propositions composées dans le sens. . Des sujets confus équivalents à deux sujets. XIII. Autres observations pour reconnaître si les propositions 147 148 151 XV. De deux sortes de propositions qui sont de grand usage XVI. De la définition qu'on appelle définition de choses. 165 XVII. De la conversion des propositions, où l'on explique plus à fond la nature de l'affirmation et de la négation dont XVIII. De la conversion des propositions affirmatives. De la nature du raisonnement et des diverses espèces Division des syllogismes en simples et en conjonctifs, et des simples en incomplexes et en complexes. Règles générales des syllogismes simples et complexes. Des figures et des modes des syllogismes en général, qu'il ne peut y avoir que quatre figures. Règles, modes et fondements de la première figure. VI. Règles, modes et fondements de la seconde figure. Des syllogismes complexes, et comment on peut les ré- Principe général par lequel, sans aucune réduction aux Pages. 206 210 CHAP. XI. Application de ce principe général à plusieurs syllogis- XIII. Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle. . 214 XIV. Des enthymèmes et des sentences enthymématiques. 218 XV. Des syllogismes composés de plus de trois propositions. 220 225 229 CHAP. I. QUATRIÈME PARTIE. De la méthode. De la science. Qu'il y ena. Que les choses que l'on connait 279 - II. De deux sortes de méthodes, analyse et synthèse. Exem- 287 III. De la méthode de composition, et particulièrement de 294 .. 296 IV. Explication plus particulière de ces règles, et première- Des règles qui regardent les axiomes, c'est-à-dire les pro- positions claires et évidentes par elles-mêmes. . . . . 302 VII. Quelques axiomes importants, et qui peuvent servir de VIII. Des règles qui regardent les démonstrations. 310 CHAP. X. XI. XII. Réponse à ce que disent les géomètres à ce sujet. Pages. La méthode des sciences réduite à huit règles principales. 318 De ce que nous connaissons par la foi, soit humaine soit XIII. Quelques règles pour bien conduire sa raison dans la XIV. Application de la règle précédente à la croyance des mi- XV. Autre remarque sur le sujet de la croyance des événe- 320 323 326 XVI. Du jugement que l'on doit faire des accidents futurs. . 335 DES VRAIES ET DES FAUSSES IDÉES. PRÉAMBULE. Que l'on croit avoir démontré que ce qu'en dit l'auteur Règles qu'on doit avoir en vue pour chercher la vérité 339 347 348 Des principales choses que chacun peut connaître de son ment des idées dans les deux premiers livres de son ou- 357 365 Explications de ces façons de parler : « Nous ne voyons Pages. CHAP. VII. Démonstrations contre les idées prises pour des êtres re- - X. 378 380 387 389 393 XII. De la manière dont l'auteur de la Recherche de la Vérité veut que nous voyons les choses en Dieu. Qu'il a parlé ... 403 409 XIII. Qu'il a varié aussi dans l'explication des manières dont nous voyons les choses en Dieu, que la première était par les idées, qu'il ne s'en est départi qu'en niant qu'il y ait dans le monde intelligible des idées qui re- présentent chaque chose en particulier, ce qui ne se XIV. Seconde manière de voir les choses en Dieu, qui est de les voir dans une étendue intelligible infinie que Dieu renferme. Que ce que l'on dit sur cela, ou est tout-à- fait indigne de Dieu, ou se contredit manifestement. 414 XV. Que l'étendue intelligible infinie ne nous saurait être un XVI. Que ce que cet auteur fait faire à notre esprit pour trou- ver ses idées dans son étendue intelligible infinie est contraire à l'expérience et aux lois générales que Dieu ... XVII. Autre variation de cet auteur, qui dit tantôt qu'on voit Dieu, en voyant les créatures en Dieu, et tantôt qu'on ne le voit point, mais seulement les créatures. . . . 440 -XVIII. De trois préjugés qui pourraient empêcher qu'on ne se rende si facilement à ce qui a été dit contre la nou- velle philosophie des idées, dont le premier est l'es- time que l'on fait de celui qui en est l'auteur. . . . . 445 XIX. Du préjugé II, qui est que cette nouvelle philosophie des idées fait mieux voir qu'aucune autre combien les - 448 |