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frant mes félicitations sur une alliance qui contribue autant à son bonheur personnel qu'à la prospérité de sa maison. C'est avec un véritable plaisir que je saisis une occasion aussi agréable pour exprimer à V. M. les nouvelles assurances de la haute estime et de la sincère amitié avec lesquelles je suis, monsieur mon frère, de V. M.

le bon frère,
N.

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Monsieur mon frère, V. M. a voulu me donner un nouveau témoignage de son amitié en m'annonçant un événement aussi heureux que la célébration du mariage de sa très-chère et digne fille madame la princesse..... avec S. A. R. le prince de La justice que V. M. rend à mes sentiments, en ne doutant pas de la part très-vive que je prends constamment à tout ce qui la regarde, ainsi qu'au bonheur de son illustre maison, sera toujours pour moi le sujet de la plus grande satisfaction. Je la prie également d'être persuadée que je suis extrêmement sensible aux nouvelles assurances de son attachement, que j'ai trouvées dans sa lettre du ........... de....... Le mien pour V. M. ne se démentira jamais; il est aussi inviolable que la haute estime avec laquelle je suis, monsieur mon frère, de V. M.

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le bon frère,

N.

Monsieur mon frère, c'est avec la plus vive satisfaction que j'ai appris, par la lettre de V. M. du ..... de

...., que S. A. R. madame la princesse de .... est heureusement accouchée le même jour d'un prince. Je partage la joie que cet événement a fait éprouver à V. M. et à sa maison royale; et, saisissant avec empressement toutes les occasions de resserrer les liens qui nous unissent, je me félicite d'être le parrain du jeune prince, et d'avoir ainsi un titre de plus pour lui donner, dans la suite, des preuves de l'intérêt que je prendrai toujours à sa prospérité, et de

l'affection inaltérable que j'ai vouée à son auguste famille. En formant des vœux sincères pour la santé de la princesse de ..... et pour celle du nouveau-né, je réitère à V. M. les assurances des sentiments d'estime et d'amitié constantes avec lesquels je suis, monsieur mon frère, de V. M.

le bon frère,

N.

Monsieur mon frère et beau-frère, j'ai reçu avec autant de plaisir que de reconnaissance la lettre par laquelle il a plu à V. M. de m'informer de l'heureuse délivrance de S. A. R. madame la princesse de .... Je partage bien vivement la satisfaction que cet événement doit faire éprouver à V. M., et fais bien des vœux pour la prompte convalescence de l'auguste accouchée et la santé du prince à qui elle a donné le jour. C'est toujours avec le même plaisir que je renouvelle à V. M. l'assurance de ma haute estime et de l'attachement inviolable avec lequel je suis, monsieur mon frère et beau-frère, de V. M.

le bon frère,
N.

Monsieur mon frère, les événements heureux qui rappellent V. M. sur le trône de ses ancêtres excitent l'intérêt général de l'Europe; mais ils intéressent d'une manière bien plus particulière les souverains qui se sont alliés pour la plus juste des causes, et qui bénissent aujourd'hui la Providence d'avoir couronné leurs efforts. C'est pour vous exprimer ces sentiments, Sire, que j'ai l'honneur de vous envoyer le lieutenant général de.... Rendez-vous aux vœux de vos peuples; revenez bientôt dans votre capitale, et daignez vous convaincre qu'il ne manque au bonheur de la ........... que la présence de son roi. Le moment où il me sera permis d'offrir de vive voix à V. M. mes sincères félicitations sera un des plus heureux de ma vie.

Je suis, avec la plus haute considération et un attachement inviolable, monsieur mon frère, de V. M.

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Monsieur mon frère et cousin, en lisant dans la lettre de V. M. l'expression des sentiments qui l'animent, je me suis doublement félicité d'être devenu le gage d'une réconciliation durable et sincère entre la ..... et les souverains magnanimes qui n'ont voulu triompher que pour répandre des bienfaits. Cet éloge est particulièrement dû à V. M., dont les braves armées ont montré une si grande constance dans les dangers, une si noble modération dans la victoire. J'ai déjà donné à M. le comte de..... les assurances de la vive sensibilité avec laquelle je recevais les témoignages d'amitié que me donnait V. M.; mais il me tarde de les lui renouveler de vive voix, ainsi que celle de l'attachement avec lequel je suis, monsieur mon frère et cousin, de V. M. le bon frère et cousin,

N.

(Entre des souverains et des membres de familles souveraines.)

.....

.....

Monsieur mon frère et cousin, j'ai été très-sensible à l'attention que V. A. R. m'a témoignée en m'annonçant par sa lettre du .............. de ............. le mariage de S. A. R. le duc de ....9 son fils, avec madame la princesse Cet heureux événement doit être pour elle et pour toute sa maison royale une source de nouvelles satisfactions. J'y prends une part vive et sincère; et, en adressant à V. A. R. mes félicitations pour elle et pour ses augustes enfants, je lui réitère l'assurance de la plus parfaite estime et de l'amitié avec lesquelles je suis, monsieur mon frère et cousin, de V. A. R.

le bon frère et cousin,
N.

Monsieur mon cousin, je prends une part bien sincère à la nouvelle de l'heureuse délivrance de madame la duchesse de ...,

II.

que V. A. S. a eu l'attention de m'annoncer par sa lettre du .... du mois passé, et je la prie d'en agréer mes félicitations, ainsi que l'expression des vœux que je fais pour la conservation du prince nouveau-né. Je saisis avec plaisir cette occasion pour réitérer à V. A. S. l'assurance de l'intérêt que je prendrai constamment à tout ce qui la concerne et peut contribuer à son bonheur, par suite des sentiments d'estime et d'amitié avec lesquels je suis, monsieur mon cousin, de V. A. S.

le très-affectionné cousin,

N.

Monsieur mon frère, je me rappelle trop vivement les prévenances aimables et délicates que vous avez eues pour moi pendant mon séjour à ..... et les heures agréables que j'ai passées dans la société de V. A. R. et dans celle de sa famille, pour ne pas prendre une part bien sincère à l'heureux événement qui vient encore augmenter votre bonheur domestique. Je ne puis que vous remercier de ce que vous avez bien voulu me l'annoncer vous-même dans le langage du cœur et de l'amitié. Je prie V. A. R. d'être persuadée que je réponds à ces sentiments par les miens, et que je fais des vœux bien ardents pour sa prospérité et pour celle de sa nombreuse et brillante famille. Mes fils ont été fort touchés de votre souvenir, et vous assurent que vous occupez toujours une grande place dans leur cœur. Agréez l'assurance de ma haute estime et du sincère attachement avec lequel je suis, monsieur mon frère, de V. A. R.

le bon frère,

N.

LETTRES DE CONDOLÉANCE.

(Entre souverains.)

Monsieur mon cousin et oncle, c'est avec une profonde douleur que je viens d'apprendre par la lettre que V. M. a bien voulu m'adresser en date du ..... de ..... le décès de S. A. R. madame la princesse de ..... Le sincère et profond attachement que j'ai toujours porté à cette princesse et le vif intérêt que je ne cesse de prendre à tout ce qui concerne V. M. et son auguste famille, lui diront assez, j'espère, à quel point j'ai été affecté par cet événement malheureux. En formant des vœux ardents pour que la Providence veuille consoler V. M. de cette cruelle perte, et éloigner pour longtemps tout ce qui pourrait affliger ses jours précieux, je supplie V. M. d'agréer l'expression réitérée de la haute considération et de l'attachement inaltérable avec lesquels je suis, monsieur mon cousin et oncle, de V. M.

le bon cousin et neveu,

N.

.....

Monsieur mon frère, l'événement douloureux que V. M. m'annonce par sa lettre du ............. du décès de la reine son épouse m'a d'autant plus vivement affecté, qu'éprouvé moi-même par un coup aussi funeste et dont le triste souvenir est à jamais ineffaçable, je connais l'impression profonde et l'amertume que laisse dans le cœur une perte aussi cruelle. Puisse la Providence, Sire, vous accorder toutes les consolations dont vous avez besoin dans ces moments de tristesse, et répandre une longue suite de prospérités sur vous et votre royale famille! Je réitère à V. M. l'assurance des sentiments d'amitié et de considération distinguée avec lesquels je suis, monsieur mon frère, de V. M.

le bon frère,

N.

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