Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle: appliquée aux arts, à l'agriculture, à l'économie rurale et domestique, à la médecine, etc, Volume 25

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Deterville, 1817
 

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 309 - Non-seulement cet oiseau a la facilité d'imiter la voix de l'homme , il semble encore en avoir le désir ; il le manifeste par son attention à écouter, par l'effort qu'il fait pour répéter ; et cet effort se réitère à chaque instant, car il gazouille sans cesse quelques-unes des syllabes qu'il vient d'entendre, et il cherche à prendre le dessus de toutes les voix qui frappent son oreille , en faisant éclater la sienne. Souvent on est étonné de lui...
Page 363 - ... les yeux ; tout le dessus du corps , les ailes et la queue sont d'un cendré foncé ; la gorge et la partie inférieure du cou sont noires ; le reste du dessous du corps est blanc ; le bec et les pieds sont noirs.
Page 309 - ... il le manifeste par son attention à écouter, par l'effort qu'il fait pour répéter ; et cet effort se réitère à chaque instant , car il gazouille sans cesse quelquesunes des syllabes qu'il vient d'entendre , et il cherche à prendre le dessus de toutes les voix qui frappent son oreille , en faisant éclater la sienne : souvent on est étonné de lui entendre répéter des mots ou des sons que l'on...
Page 254 - ... par les rendre stériles; au lieu que n'y ayant point de mariage, ou plutôt n'y en ayant qu'un seul de tous les mâles avec toutes les femelles, il ya moins de jalousie, moins de rivalité, et, si l'on veut, moins de moral dans leurs amours : mais aussi il ya beaucoup de physique; on a vu un mâle réitérer dans un jour jusqu'à douze fois ses approches avec plusieurs femelles indistinctement. Ce n'est que dans ce sens qu'on a pu dire que chaque mâle...
Page 594 - Lions-marins se tiennent et vont en grandes familles , cependant moins nombreuses que celles des ours-marins , avec lesquels on les voit quelquefois sur le même rivage. Chaque famille est ordinairement composée d'un mâle adulte , de dix à douze femelles et de quinze à vingt jeunes des deux sexes ; il ya même des mâles qui...
Page 554 - Les deux colosses rivaux se traînent pesamment; ils se joignent et se mettent, pour ainsi dire , museau contre museau ; ils soulèvent toute la partie antérieure de leur corps sur leurs nageoires ; ils ouvrent une large gueule ; leurs yeux paraissent enflammés de désirs et de fureur : puis , s'entre-choquant de toute leur masse , ils retombent l'un sur l'autre, dents contre dents, mâchoire contre mâchoire ; ils se font réciproquement de larges blessures ; quelquefois ils...
Page 234 - Europe , jointe au bon goût de leur chair, ont donné lieu aux défenses rigoureuses qui ont été faites en plusieurs pays de les tuer ; et de là on prétend qu'ils ont eu le nom de francolin, comme jouissant d'une sorte de franchise sous la sauvegarde de ces défenses. On sait peu de chose de cet oiseau au-delà de ce que montre la figure.
Page 597 - ... de toute sa famille qui est composée de ses femelles et de leurs petits des deux sexes ; chaque famille se tient séparée, et quoique ces animaux soient par milliers dans de certains endroits , les familles ne se mêlent jamais, et chacune forme une petite troupe, à la tête 'de laquelle est le chef mâle qui les...
Page 202 - Dans cette espèce comme dans beaucoup d'autres, il naît plus de mâles que de femelles , et il importe pour la réussite des couvées de détruire les mâles surnuméraires, qui ne font que troubler les paires assorties et nuire à la propagation : la manière la plus usitée de les prendre, c'est de les faire rappeler au temps de la pariade par une femelle à qui, dans cette circonstance, on donne le nom de chanterelle : la meilleure pour cet usage est celle qui a été...
Page 255 - ... manger largement; on les met ensuite vis-à-vis l'une de l'autre, chacune au bout opposé d'une longue table, et l'on jette entre deux quelques grains de millet (car parmi les animaux il faut un sujet réel pour se battre?); d'abord elles se lancent des regards menaçants; puis, partant comme un éclair , elles se joignent , s'attaquent à coups de bec , et ne cessent de se battre, en dressant la tête et s'élevant" sur leurs ergots, jusqu'à ce que l'une cède à l'autre le champ de bataille.

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