Oeuvres, Volume 8[Lib. de] Lecointe, 1831 |
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Page 17
... viens ardemment conjurer vos bontés De seconder l'amour que j'ai pour ses beautés . BÉLISE . Ah ! certes , le détour est d'esprit , je l'avoue : Ce subtil faux - fuyant mérite qu'on le loue : Et , dans tous les romans où j'ai jeté les ...
... viens ardemment conjurer vos bontés De seconder l'amour que j'ai pour ses beautés . BÉLISE . Ah ! certes , le détour est d'esprit , je l'avoue : Ce subtil faux - fuyant mérite qu'on le loue : Et , dans tous les romans où j'ai jeté les ...
Page 40
... est un enfant tout nouveau - né , madame . Son sort assurément a lieu de vous toucher ; Et c'est dans votre cour que j'en viens d'accoucher . PHILAMINTE . Pour me le rendre cher , il suffit 40 LES FEMMES SAVANTES . ACTE TROISIEME. ...
... est un enfant tout nouveau - né , madame . Son sort assurément a lieu de vous toucher ; Et c'est dans votre cour que j'en viens d'accoucher . PHILAMINTE . Pour me le rendre cher , il suffit 40 LES FEMMES SAVANTES . ACTE TROISIEME. ...
Page 68
... viens vous annoncer une grande nouvelle . Nous l'avons en dormant , madame , échappé belle : Un monde près de nous a passé tout du long , Est chu tout au travers de notre tourbillon ; Et , s'il eût en chemin rencontré notre terre , Elle ...
... viens vous annoncer une grande nouvelle . Nous l'avons en dormant , madame , échappé belle : Un monde près de nous a passé tout du long , Est chu tout au travers de notre tourbillon ; Et , s'il eût en chemin rencontré notre terre , Elle ...
Page 110
... viens de faire deux ou trois visites , où ils ont pensé me désespérer par le peu de respect qu'ils rendent à ma qualité . de J JULIE . Où auroient - ils appris à vivre ? ils n'ont point fait voyage à Paris . LA COMTESSE . Ils ne ...
... viens de faire deux ou trois visites , où ils ont pensé me désespérer par le peu de respect qu'ils rendent à ma qualité . de J JULIE . Où auroient - ils appris à vivre ? ils n'ont point fait voyage à Paris . LA COMTESSE . Ils ne ...
Page 112
... viens tous les jours attraper quelque chose . SCENE XII . LA COMTESSE , JULIE , ANDRÉE , CRIQUET . CRIQUET , à la comtesse . Voilà Jeannot de monsieur le conseiller qui vous demande , madame . LA COMTESSE . Hé bien ! petit coquin ...
... viens tous les jours attraper quelque chose . SCENE XII . LA COMTESSE , JULIE , ANDRÉE , CRIQUET . CRIQUET , à la comtesse . Voilà Jeannot de monsieur le conseiller qui vous demande , madame . LA COMTESSE . Hé bien ! petit coquin ...
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Expressions et termes fréquents
Allons amant amour ANDRÉE ANGÉLIQUE apothicaires ARGAN ARISTE ARMANDE assez avez beautés beaux BÉLINE BÉLISE belle BÉRALDE bergers chanter charmes CHOEUR choses CHRYSALE ciel Cléante CLIMENE CLITAN DRE CLITANDRE clystere cœur comédie COMTESSE D'ESCARBAGNAS connoissez connoître coquine CRIQUET d'Argan DANSANTS DAPHNÉ desirs dieu dire divertir docte docto donne DORILAS doux drelin encens ENTRÉE DE BALLET esprit Est-ce êtes étoit femme fille FOIRUS frere gens grace HARPIN HENRIETTE homme impertinent j'ai JEANNOT JULIE l'amour l'esprit laquais LOUISON m'amie m'en madame malade MALADE IMAGINAIRE mariage MARTINE matiere médecin MINTE monde monsieur Bobinet monsieur Diafoirus monsieur Fleurant monsieur Purgon monsieur Tibaudier monsieur Trissotin NOTAIRE par-tout parler pere personne PHILA PHILAMINTE plaisir POLICHINELLE prendre Qu'est-ce QUATRE ARCHERS raison rien s'il vous plaît sais sauroit savez SCENE VII sœur soin sorte souffrir THOMAS DIAFOIRUS Tibau TIRCIS TOINETTE VADIUS veut veux VICOMTE VIOLONS vivat vœux voilà vois voulez-vous yeux
Fréquemment cités
Page 15 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout, Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait; De son étude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache, Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
Page 192 - Mais, sur toute chose, ce qui me plaît en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveuglément aux opinions de nos anciens , et que jamais il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine.
Page 34 - Mes gens à la science aspirent pour vous plaire, Et tous ne font rien moins que ce qu'ils ont à faire. Raisonner est l'emploi de toute ma maison, Et le raisonnement en bannit la raison. L'un me brûle mon rôt...
Page 42 - TRISSOTIN Pour cette grande faim qu'à mes yeux on expose, Un plat seul de huit vers me semble peu de chose, Et je pense qu'ici je ne ferai pas mal...
Page 34 - Je vous le dis, ma sœur, tout ce train-là me blesse; Car c'est, comme j'ai dit, à vous que je m'adresse. Je n'aime point céans tous vos gens à latin, Et principalement ce monsieur Trissotin.
Page 33 - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 263 - Et c'est là qu'un grand peintre, avec pleine largesse, D'une féconde idée étale la richesse, Faisant briller partout de la diversité , Et ne tombant jamais dans un air répété : Mais un peintre commun trouve une peine extrême A sortir dans ses airs de l'amour de soi-même; De redites sans nombre il fatigue les yeux, Et, plein de son image, il se peint en tous lieux.
Page 56 - C'est qu'on fut malheureux de ne pouvoir vous plaire. VADIUS Il faut qu'en écoutant j'aie eu l'esprit distrait, Ou bien que le lecteur m'ait gâté le sonnet. Mais laissons ce discours et voyons ma ballade. TRISSOTIN La ballade, à mon goût, est une chose fade. Ce n'en est plus la mode ; elle sent son vieux temps.
Page 266 - On le peut faire en trente, on le peut faire en cent. Mais la fresque est pressante, et veut , sans complaisance, Qu'un peintre s'accommode à son impatience, La traite à sa manière, et, d'un travail soudain, Saisisse le moment qu'elle donne à sa main. La sévère rigueur de ce moment qui passe Aux erreurs d'un pinceau ne...
Page 53 - Ah ! ma nièce, du grec ! Armande. Du grec ! quelle douceur ! Philaminte. Quoi ! monsieur sait du grec ? Ah ! permettez, de grâce, Que, pour l'amour du grec, monsieur, on vous embrasse.