Les contes du chat perch?Рипол Классик, 1969 - 309 pages Ces contes ont ?t? ?crits pour les enfants ?g?s de quatre ? soixante-quinze ans. Il va sans dire que par cet avis, je ne songe pas ? d?courager les lecteurs qui se flatteraient d'avoir un peu de plomb dans la t?te. Au contraire, tout le monde est invit?. Je ne veux que pr?venir et ?mousser, dans la mesure du possible, les reproches que pourraient m'adresser, touchant les r?gles de la vraisemblance, certaines personnes raisonnables et bilieuses. A ce propos, un critique distingu? a d?j? fait observer, avec merveilleusement d'esprit, que si les animaux parlaient, ils ne le feraient pas du tout comme ils le font dans « les Contes du chat perch? ». Il avait bien raison. Rien n'interdit de croire en effet que si les b?tes parlaient, elles parleraient de politique ou de l'avenir de la science dans les ?les Al?outiennes. Peut-?tre m?me qu'elles feraient de la critique litt?raire avec distinction. Je ne peux rien opposer ? de semblables hypoth?ses. J'avertis donc mon lecteur que ces contes sont de pures fables, ne visant pas s?rieusement ? donner l'illusion de la r?alit?. Pour toutes les fautes de logique et de grammaire animales que j'ai pu commettre, je me recommande ? la bienveillance des critiques qui, ? l'instar de leur savant confr?re, se seraient sp?cialis?s dans ces r?gions-l?. Je ne vois rien d'autre ? prier qu'on ins?re. |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Allons Alphonse arrivant avez balle beau bêtes blonde bœuf blanc bois Bonjour c‘est C‘était c’est canard canard bleu cerf chat cheval noir chien chose cochon Cornette coup cour cria cuisine d‘abord d‘avoir d‘une voix d’une Delphine et Marinette demanda dire dirent les parents disait dit—il entendre êtes faisait ferme gronder j'ai j‘ai jabot jamais jambes jars joli jouer jusqu‘à l'âne l'écurie l'étang l‘air l‘âne l‘autre l‘école l‘étable l‘heure l‘oie l‘oncle Alfred laisser loup maison maître manger Marinettc matin mouton n‘avait n‘en n‘est n‘était oisons oreilles panthère parler passer pauvre peine penser petite poule blanche petites avaient pouvait pré qu‘elle qu‘est-ce qu‘il qu‘on qu’elle qu’il quatre pattes regardait renifler répondit reste rien rire route roux s'écria s‘en s‘était sabots sais sanglier sera soir soupira sûr tante Mélina tête têtes folles trouver vaches vais venait vieux cheval vieux cygne voilà vois vrai yeux