Les lettres de messire Roger de Rabutin, Comte de Bussy, Volume 7Delaulne, 1716 |
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Page 39
... c'étoit une claire brune qui avoit les yeux noirs , vifs & tendres ; le nez aquilin , la bouche bien taillée & de belle couleur , mais dont le défaut étoit de ne laiffer pas affez voir les plus jo- lies dents du monde . Par fes bras ...
... c'étoit une claire brune qui avoit les yeux noirs , vifs & tendres ; le nez aquilin , la bouche bien taillée & de belle couleur , mais dont le défaut étoit de ne laiffer pas affez voir les plus jo- lies dents du monde . Par fes bras ...
Page 40
... C'étoit vous que j'aimois en elle . Si j'avois pû vous faire peindre quand je vous quittai , cela m'auroit bien fou- lagé , dans le tems que je ne vous ai pas vue . Ne trouvez donc pas mau- vais fiétant même dans un païs où la Coûtume ...
... C'étoit vous que j'aimois en elle . Si j'avois pû vous faire peindre quand je vous quittai , cela m'auroit bien fou- lagé , dans le tems que je ne vous ai pas vue . Ne trouvez donc pas mau- vais fiétant même dans un païs où la Coûtume ...
Page 115
... c'étoit une fcene fort lu- gubre , car en cet habit on n'oferoit par- ler que de mort , de convoi , & d'orai- fon funebre . Lorfque toutes ces ombres ont été forties , nous avons commencé une conversation moins trifte , & enfin elle eft ...
... c'étoit une fcene fort lu- gubre , car en cet habit on n'oferoit par- ler que de mort , de convoi , & d'orai- fon funebre . Lorfque toutes ces ombres ont été forties , nous avons commencé une conversation moins trifte , & enfin elle eft ...
Page 175
... c'étoit trop vous amufer , vous qui pouviez avoir affai- re à Versailles ou à Saint - Germain dans le temps que vous recevriez notre lettre . Nous allons donc finir Mon- heur , comme nous avons commencé , , en vous affurant que vous n ...
... c'étoit trop vous amufer , vous qui pouviez avoir affai- re à Versailles ou à Saint - Germain dans le temps que vous recevriez notre lettre . Nous allons donc finir Mon- heur , comme nous avons commencé , , en vous affurant que vous n ...
Page 182
... c'étoit la nuit , car je ne dors non plus qu'un lutin , les remedes n'ont fait qu'augmenter mon mal , je fuis réfolu de les quitter . J'ai oublié de vous man- der qu'aprés la levée du Siége de Lime- rick , l'Armée des Irlandois de vingt ...
... c'étoit la nuit , car je ne dors non plus qu'un lutin , les remedes n'ont fait qu'augmenter mon mal , je fuis réfolu de les quitter . J'ai oublié de vous man- der qu'aprés la levée du Siége de Lime- rick , l'Armée des Irlandois de vingt ...
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Les lettres de messire Roger de Rabutin comte de Bussy .... Roger de Rabutin comte de Bussy Affichage du livre entier - 1727 |
Expressions et termes fréquents
affez affure aife Anglois Aouft aprés auffi Autun avez avoit bleffez Buffy à l'Abbé Buffy à Madame c'eft c'eſt canon cens cens mille Chafeu chofe Choify au Comte Colligny Comte de Buffy Confeil Dalet Duc de Noailles eft mort Ennemis envoye eſt étoient étoit fans fçai fecours fens fept fera feroit fervir feul fieur Flandres foit fommes fon armée fouhaite fouvent fuis fujet grace Irlandois j'ay l'Abbé de Choify l'Armée l'efprit laiffé Laufun LETTRE long-tems Madame de Maiſons Mademoiſelle Maifons Majefté mande Maréchal Mayence Meffieurs mille écus mille hommes mille livres Monfeigneur Monfieur de Baviere Monfieur de Bouflers Monfieur de Catinat Monfieur de Savoye Monfieur de Seignelay Monfieur le Duc n'eft paffer païs paroît penfe Pere Bouhours perfonne Pignerol plaifir préfent Prince d'Orange Princeffe refte Rhin Roy d'Angleterre s'eft Seignelay Septembre 1690 Teffé tems Tirconel toûjours Toulonjon Troupes Turcs Vaiffeaux
Fréquemment cités
Page 340 - Je vous le dis sans compliment, la manière dont vous venez de m'obliger m'engage toute ma vie à la plus vive reconnaissance dont je puisse être capable. Vous aurez bien de la peine à me fermer la bouche : je ne puis me taire sur cette circonstance qui me dédommage de n'avoir pas été reçu dans un corps à qui vous faites tant d'honneur.
Page 48 - Il faut donc que j'achève comme j'ai commencé; et pour cet effet, madame, je vous supplierai de recommander à M. votre mari une affaire que j'ai dans sa chambre. Je me suis jusqu'ici si bien trouvé de vos recommandations, que je ne prendrai jamais d'autre voie; d'autant plus que cela me donne lieu de vous dire toujours que vous êtes la personne du monde que j'estime et que j'aime autant, et que j'aimerois encore davantage, si je me sentois digne d'être aimé.
Page 374 - Ce 18 mars 1692 Monsieur, j'ai vu par ce que vous m'écrivez sur le mariage de ma fille les témoignages que vous me donnez de la. part que vous prenez aux choses qui me touchent. Je vous en suis bien obligé et je vous prie de croire que j'aurai toujours beaucoup de joie quand je pourrai trouver des occasions de vous faire connoître que je suis , monsieur, etc. (1) Le mariage du duc du Maine avec mademoiselle A