Les lettres de messire Roger de Rabutin, Comte de Bussy, Volume 7Delaulne, 1716 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 46
Page 96
... j'ay attendu fi - tard à vous donner le bon jour , & vous fouhaiter une heureuse an- née pleine des bénédictions du ciel & de celles de la terre qui ne gâtent quelque- fois rien . J'ai été fort intrigué au sujet d'une perfonne de mes ...
... j'ay attendu fi - tard à vous donner le bon jour , & vous fouhaiter une heureuse an- née pleine des bénédictions du ciel & de celles de la terre qui ne gâtent quelque- fois rien . J'ai été fort intrigué au sujet d'une perfonne de mes ...
Page 98
... j'ay dans le cœur pour le Roy , & que je ne lui lais- Le pas ignorer . fe Pour la réputation de mon efprit elle me coûte trop cher pour que je fois bien aife de la mériter . Il n'a pas tenu à moi que ma fortune ne fût auffi - bien ...
... j'ay dans le cœur pour le Roy , & que je ne lui lais- Le pas ignorer . fe Pour la réputation de mon efprit elle me coûte trop cher pour que je fois bien aife de la mériter . Il n'a pas tenu à moi que ma fortune ne fût auffi - bien ...
Page 133
... j'ay de votre mé- rite . Dieu mercy nous voicy en beau chemin , puifque vous êtes maintenant dans votre belle maison de Buffy , où vous aurez le loifir vrai - femblablement de tourner quelquefois la tête du côté de Paris . Ce du Comte ...
... j'ay de votre mé- rite . Dieu mercy nous voicy en beau chemin , puifque vous êtes maintenant dans votre belle maison de Buffy , où vous aurez le loifir vrai - femblablement de tourner quelquefois la tête du côté de Paris . Ce du Comte ...
Page 150
... J'ay de la peine à croire que Monfieur de Baviere qui eft brave & audacieux ne hazarde une bataille contre Monsei- gneur ; ce fera un rude combat , mais nous ferons victorieux , car il y a des Troupes invincibles dans notre Armée d ...
... J'ay de la peine à croire que Monfieur de Baviere qui eft brave & audacieux ne hazarde une bataille contre Monsei- gneur ; ce fera un rude combat , mais nous ferons victorieux , car il y a des Troupes invincibles dans notre Armée d ...
Page 153
... j'ay effacé fon nom , pour mettre le vôtre , & vous préferer à la petite - fille d'Henry le Grand . XCII . LETTRE . Du Comte de Buffy à l'Abbé de Choify . A Chafeu , ce 10. Septembre 1690 . LA petite - fille d'Henry IV . eft de meil ...
... j'ay effacé fon nom , pour mettre le vôtre , & vous préferer à la petite - fille d'Henry le Grand . XCII . LETTRE . Du Comte de Buffy à l'Abbé de Choify . A Chafeu , ce 10. Septembre 1690 . LA petite - fille d'Henry IV . eft de meil ...
Autres éditions - Tout afficher
Les lettres de messire Roger de Rabutin comte de Bussy .... Roger de Rabutin comte de Bussy Affichage du livre entier - 1727 |
Expressions et termes fréquents
affez affure aife Anglois Aouft aprés auffi Autun avez avoit bleffez Buffy à l'Abbé Buffy à Madame c'eft c'eſt canon cens cens mille Chafeu chofe Choify au Comte Colligny Comte de Buffy Confeil Dalet Duc de Noailles eft mort Ennemis envoye eſt étoient étoit fans fçai fecours fens fept fera feroit fervir feul fieur Flandres foit fommes fon armée fouhaite fouvent fuis fujet grace Irlandois j'ay l'Abbé de Choify l'Armée l'efprit laiffé Laufun LETTRE long-tems Madame de Maiſons Mademoiſelle Maifons Majefté mande Maréchal Mayence Meffieurs mille écus mille hommes mille livres Monfeigneur Monfieur de Baviere Monfieur de Bouflers Monfieur de Catinat Monfieur de Savoye Monfieur de Seignelay Monfieur le Duc n'eft paffer païs paroît penfe Pere Bouhours perfonne Pignerol plaifir préfent Prince d'Orange Princeffe refte Rhin Roy d'Angleterre s'eft Seignelay Septembre 1690 Teffé tems Tirconel toûjours Toulonjon Troupes Turcs Vaiffeaux
Fréquemment cités
Page 340 - Je vous le dis sans compliment, la manière dont vous venez de m'obliger m'engage toute ma vie à la plus vive reconnaissance dont je puisse être capable. Vous aurez bien de la peine à me fermer la bouche : je ne puis me taire sur cette circonstance qui me dédommage de n'avoir pas été reçu dans un corps à qui vous faites tant d'honneur.
Page 48 - Il faut donc que j'achève comme j'ai commencé; et pour cet effet, madame, je vous supplierai de recommander à M. votre mari une affaire que j'ai dans sa chambre. Je me suis jusqu'ici si bien trouvé de vos recommandations, que je ne prendrai jamais d'autre voie; d'autant plus que cela me donne lieu de vous dire toujours que vous êtes la personne du monde que j'estime et que j'aime autant, et que j'aimerois encore davantage, si je me sentois digne d'être aimé.
Page 374 - Ce 18 mars 1692 Monsieur, j'ai vu par ce que vous m'écrivez sur le mariage de ma fille les témoignages que vous me donnez de la. part que vous prenez aux choses qui me touchent. Je vous en suis bien obligé et je vous prie de croire que j'aurai toujours beaucoup de joie quand je pourrai trouver des occasions de vous faire connoître que je suis , monsieur, etc. (1) Le mariage du duc du Maine avec mademoiselle A