Le Moliériste: revue mensuelle, Volume 7Georges Monval Librairie Tresse, 1886 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 24
Page 19
... ment à ce sonnet : ( Pages 108 et 109 de l'édition originale , épuisée . ) « ... ..Et avant le Régent et le Sancy , le Kohi - noor ! Cette monta- gne de lumière auprès de laquelle vont pâlir le sonnet de Mile de la Vallière et le sonnet ...
... ment à ce sonnet : ( Pages 108 et 109 de l'édition originale , épuisée . ) « ... ..Et avant le Régent et le Sancy , le Kohi - noor ! Cette monta- gne de lumière auprès de laquelle vont pâlir le sonnet de Mile de la Vallière et le sonnet ...
Page 25
... ment tolérante . On peut en inférer ce que devait être la doc trine et la procédure du clergé soixante ans plus tôt , à l'égard des comédiens français . Le mandement du 11 août 1667 , qui défendait de « repré- senter , lire ou entendre ...
... ment tolérante . On peut en inférer ce que devait être la doc trine et la procédure du clergé soixante ans plus tôt , à l'égard des comédiens français . Le mandement du 11 août 1667 , qui défendait de « repré- senter , lire ou entendre ...
Page 28
... ment répétée de Kyrie eleïson ( edencov ) . Molière lui - même en a consacré l'usage dans ce vers célè- bre des Femmes savantes : On voit partout chez vous l'ithos ( nos ) et le pathos . Mais d'autre part je lis , dans un intéressant ...
... ment répétée de Kyrie eleïson ( edencov ) . Molière lui - même en a consacré l'usage dans ce vers célè- bre des Femmes savantes : On voit partout chez vous l'ithos ( nos ) et le pathos . Mais d'autre part je lis , dans un intéressant ...
Page 39
... ment dont personne encore ne s'était avisé . par con- Voilà ce que le Moliériste « enregistre pieusement » , et non pas les erreurs de MM . tel et tel . Pour achever son édi- fication , M. Brunetière n'aura qu'à rouvrir le tome Ier LE ...
... ment dont personne encore ne s'était avisé . par con- Voilà ce que le Moliériste « enregistre pieusement » , et non pas les erreurs de MM . tel et tel . Pour achever son édi- fication , M. Brunetière n'aura qu'à rouvrir le tome Ier LE ...
Page 46
... ment ces traditions de goût et de politesse . Au P. Desmo- lets succédait , en 1745 , le P. Jannart , lequel eut pour rempla . çant le P. Félicissime Adry . Jannart logeait au - dessous de la chambre que l'on donnait aux jeunes ...
... ment ces traditions de goût et de politesse . Au P. Desmo- lets succédait , en 1745 , le P. Jannart , lequel eut pour rempla . çant le P. Félicissime Adry . Jannart logeait au - dessous de la chambre que l'on donnait aux jeunes ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
acte Archives AUGUSTE BALUFFE Bargy Baron BIBLIOGRAPHIE Bieule Bourgeois gentilhomme Brouchoud BULLETIN THÉATRAL CLARETIE Clerh COMÉDIE FRANÇAISE Comédie-Française comédiens comte concile Conti Coquelin aîné Coquelin cadet D'ESTRÉE Dépit amoureux Dimanche document ÉPHÉMÉRIDES MOLIÉRESQUES ERREUR esté Femmes savantes fille Fourberies de Scapin GALERIE DU THÉATRE George Dandin GEORGES MONVAL Grange HILLEMACHER HOUSSAYE j'ai janvier Jeudi Jeudy Joliet Joseph Béjart joue Kalb l'abbé l'Avare L'Ecole des Femmes l'Illustre Théâtre Languedoc LAPOMMERAYE Larroumet Leloir librairie TRESSE livres LOISELEUR Louis Lundy Lyon Madeleine Béjart maison Malade imaginaire Mardy Mariage forcé Marquise Martel Médecin Médecin volant Mercr MESNARD Misanthrope Mlle Mmes Modène mois Moland Monceau Mondorge Monsieur MONTAIGLON novembre NUMÉRO Pézenas pièce Pierre Pocquelin PIJARDIÈRE Pourceaugnac Précieuses ridicules premier publié Recette du mois Registre Roger rôle Rosimond Samary scène SEPTIÈME ANNÉE sieur soirée populaire Soulié Tartuffe THIERRY tion troupe de Molière Truffier Versailles Vieuget Villain Vitu XVIIe siècle
Fréquemment cités
Page 14 - M'avez-vous, avant le mariage, demandé mon consentement et si je voulais bien de vous? Vous n'avez consulté, pour cela, que mon père et ma mère; ce sont eux proprement qui vous ont épousé...
Page 103 - Assurément, madame; et quand, pour la difficulté, vous mettriez un peu plus du côté de la comédie, peut-être que vous ne vous abuseriez pas. Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins, et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le théâtre les défauts de tout le monde.
Page 3 - Le vers est la forme optique de la pensée. Voilà pourquoi il convient surtout à la perspective scénique. Fait d'une certaine façon, il communique son relief à des choses qui, sans lui, passeraient insignifiantes et vulgaires. Il rend plus solide et plus fin le tissu du style. C'est le nœud qui arrête le fil. C'est la ceinture qui soutient le vêtement et lui donne tous ses plis.
Page 16 - Dandins s'y accoutumeront, s'ils veulent; car, pour moi , je vous déclare que mon dessein n'est pas de renoncer au monde, et de m'enterrer toute vive dans un mari. Comment! parce qu'un homme s'avise de nous épouser , il faut d'abord que toutes choses soient finies pour nous, et que nous rompions tout commerce avec les vivants!
Page 14 - ... fait. Elle a de l'enjouement, de l'esprit; elle est sensible au plaisir de le faire valoir; tout cela m'ombrage malgré moi. J'y trouve à redire, je m'en plains. Cette femme, cent fois plus raisonnable que je ne le suis...
Page 14 - J'y trouve à redire, je m'en plains. Cette femme cent fois plus raisonnable que je ne suis veut jouir agréablement de la vie ; elle va son chemin : et assurée par son innocence, elle dédaigne de s'assujettir aux précautions que je lui demande. Je prends cette négligence pour du mépris ; je voudrais des marques d'amitié pour croire que l'on en a pour moi, et que l'on eût plus...
Page 72 - Mais à convoiter, moi, je ne suis point si prompte ; Et je vous verrais nu du haut jusques en bas. Que toute votre peau ne me tenterait pas.
Page 15 - ... aux précautions que je lui demande. Je prends cette négligence pour du mépris; je voudrais des marques d'amitié, pour croire que l'on en a pour moi, et que l'on eût plus de justesse dans sa conduite pour que j'eusse l'esprit tranquille. Mais ma femme, toujours égale et libre dans la sienne, qui serait exempte de tout soupçon pour tout autre homme moins inquiet que je ne le suis, me laisse impitoyablement dans mes peines ; et, occupée seulement du désir de plaire en général, comme toutes...
Page 14 - J'ai cru que ma femme devoit assujettir ses manières à sa vertu et à mes intentions; et je sens bien que dans la situation où elle est elle eût encore été plus malheureuse que je ne le suis si elle l'avoit fait.
Page 15 - J'y trouve à redire, je m'en plains. Cette femme, cent fois plus raisonnable que je ne le suis, veut jouir agréablement de la vie ; elle va son chemin ; et, assurée par son innocence, elle dédaigne de s'assujettir aux précautions que je lui demande. Je prends cette négligence pour du mépris ; je...