Histoire de l'Italie nouvelle et du roi Victor-Emmanuel: annales du mouvement italien de puis 1815. tóme 1er, Volume 1Amyot, 1861 - 342 pages |
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Histoire de l'Italie nouvelle et du roi Victor Emmanuel: annales ..., Volume 1 Ernest Rasetti Affichage du livre entier - 1861 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 265 - L'administration vénitienne serait présidée par un archiduc vice-roi, qui résiderait à Venise comme lieutenant de l'empereur. L'État vénitien porterait les frais de sa propre administration, et il contribuerait aux dépenses centrales de la monarchie, comme le maintien de la cour impériale, le service diplomatique, etc., en proportion de ses ressources, et prenant...
Page 294 - AUX NATIONS DE L'EUROPE CIVILISÉE. « Le Gouvernement sarde, contraint par la suite des événements, à rentrer dans la carrière où l'appela l'année dernière le vœu des peuples italiens déterminés à reconquérir leur nationalité, s'adresse avec confiance à l'opinion de l'Europe pour la juste appréciation de ses intentions et de sa conduite.
Page 167 - Péninsule, il est d'autre part fermement résolu , en ce qui concerne l'état de possession assigné aux divers États italiens par les actes dont il est garant, à ne transiger en rien sur la marche que lui prescrivent ses devoirs et ses intérêts politiques. En Sicile, il ne reconnaîtra aucun changement qui, sous quelque forme ou quelque prétexte que ce soit, équivaudrait à la rupture...
Page 187 - Souvenez-vous que la justice seule édifie, que les passions ne savent que détruire, et que Celui qui prend le nom de Roi des rois s'appelle aussi le Dominateur des peuples. « Puissent Nos prières monter devant le Seigneur et faire descendre sur vous cet esprit de prudence, de force et de sagesse dont la crainte de Dieu est le principe ; afin que Nos regards contemplent la paix sur toute cette terre...
Page 272 - Vous m'avez fait connaître vos vœux ; non-seulement j'y ai accédé, mais encore j'ai la ferme volonté de rester en tout temps fidèle à mes promesses. » Je n'ai pas oublié les acclamations dont vous m'avez salué à mon départ; au milieu du bruit des batailles, elles charmaient encore mon oreille. Ayez confiance dans votre roi.
Page 299 - ... médiation n'aurait été ni un mérite de leur part, ni un titre à la reconnaissance de la Sardaigne. Le gouvernement sarde a pensé que l'Autriche n'ayant adopté aucune base de la médiation, et ayant, en outre, déclaré itérativement, dans des actes publics et officiels, ne vouloir rien céder des traités de 1815, ni céder aucune partie des pays possédés par elle en vertu de ces traités, le but de la médiation était évidemment manqué. Il a pensé que, si la France et l'Angleterre...
Page 145 - Ce silence des congrégations centrales, ajoute-t-il » avec une argumentation pressante, vient de la crainte » de déplaire au gouvernement. Mais cette crainte est «injuste et injurieuse; car il est injuste et injurieux » de supposer que le gouvernement ait accordé à ce » royaume une représentation nationale dérisoire, qu'il «ait trompé et qu'il trompe ce pays et l'Europe, en » faisant des lois qu'il ne veut pas qu'on observe , » poursuivant et punissant ceux qui entendent les ob
Page 213 - Nous avons donc la confiance qu'une nation, si légitimement fière de sa propre nationalité, ne mettra pas son honneur dans des tentatives sanglantes contre la nation italienne ; mais qu'elle le croira...
Page 259 - Naples, aux États du pape, à la Toscane? Il n'ya que le Piémont qui puisse trouver quelque avantage au maintien d'un état de choses qui promet à sa politique cauteleuse et perfide de vendre son alliance au plus offrant; mais comment ce gouvernement oserait-il se déclarer contre le vœu général de l'Italie, et trahir ainsi le honteux secret des motifs qui le font agir? De la part des gouvernements il ne parait pas qu'il puisse y avoir d'obstacles; il ne serait pas impossible que la jeunesse,...
Page 266 - Venise ont été saisies dans les caisses publiques doivent être restituées au Gouvernement Impérial. La troupe vénitienne sera toute nationale quant à son personnel, mais, comme elle ne saurait être d'une force suffisante pour former une armée séparée, elle devra naturellement participer à l'organisation de l'Armée Impériale, et être placée sous les ordres directs du Ministère de la guerre de l'Empereur.